mardi 15 décembre 2015

Le socialisme est mort vive le socialisme !





 Avant de lancer mon attaque contre  ses hypocrites au pouvoir à dire ses faux hommes est femmes de gauche, et qu’ils veulent faire le casse du siècle.
Moi je suis socialiste  à dire, je suis un homme avec une histoire de gauche !
Le partit socialiste français veut changer de nom pour se revendiqué de gauche ?  En réalité si ses gens veulent se revendiqué de quelque chose il devrait se revendiqué, de partie de la bourgeoisie libéral et spéculatif ; on les a découverts il non plus besoin de se caché !
Après le mini séisme qui s’est produit   à la dernière élection, et la rupture entre les dirigeants et les citoyens, ils non toujours rien comprirent.  
Manuel Valls a le mot république à la bouche, mais il n’a pas la moindre idée de la signification et des conséquences de cette revendication.
 Lui et plutôt absolutiste, il ne supporte pas la contradiction, réclame systématiquement le respect de la fonction et est près a condamnée tous dissidences ; il croie être investi d’une mission, et est persuader de détenir la vérité absolu. « Moi j’appelle cela une religion »
Si on a choisi la démocratie, ses bien parce que nous ne voulons pas d’un chef infaillible et nous voulons avoir le contrôle sur les désistions du pouvoir, ou alors il faut changer de régime politique.
 Bien si ses gens abandonne définitivement le socialisme tant mieux plus besoin de les supportés dans la famille, et avoir honte de leurs comportements.
Oui on veut une clarification des objectifs du pouvoir actuel, ils ne réussiront pas à convaincre le pays, j’ai même l’impression qu’ils non eux-mêmes aucun direction claire, que des mots vide sans rien pour construire un objectifs.
 Pourquoi ne pas réclamer aussi le changement des sigles de la France de république française, la France éternel, ou la France berceau de l’humanité !
Bien non ; république et déjà suffisamment fort et complique à faire vivre a donnée du contenu ! Qu’ils s’attachent a modernisé la république, le travail est bien suffisant.
 La dépression française  na pas qu’une source et ne viens pas d’arrivé la tout de suite, elle ne nous tombe pas déçu par hasard. Coluche na pas ouverts les restos du cœur par caprice, l’abbé pierre na pas lancé sont appelle et crée Emmaüs  pour sa gloire, et tous les autres organismes et ONG, il y a bien un problème d’organisation et surtout un manque de république.
 Les français non pas peur d’affronté les difficultés ils ne refusent pas les efforts et la solidarité, juste ils trouvent que les efforts demandé ne sont pas justement répartie, et en plus ils sont manipulés et mal orientés pars des politiques, qui désigne des coupables et des responsables.
Le pin’s de Gattaz a couté 40 milliard, deux je t’aimes et plusieurs réformes ; ou sont les résultats ?  
La France a besoin de réformes mais pas de celle proposée pars l’actuelle classe politique. La principale réforme pour orienter un pays et la fiscalité, et pas les subventions. Si la France change sa fiscalité et l’oriente vers le renouvelable le logement les transports etc. cela est bien plus puisant et intéressant et efficace, que des aides pour l’emploi, qui ont déjà fait leur preuve d’inefficacité.
Non mesdames  le socialisme n’est pas mort, le socialisme et même le cœur de la république, bien sûr qu’il a besoin de changement et réflexion mais pas de disparaitre ou alors vous allez vous retrouver face à une plus grand désespérance.
 Mon grand-père a fait la guerre dans un bataillon de choc, il s’est battu à la bâillonnée, il a fait une semaine dans un camp de prisonnier et un mois de prison, il a était jugé pars un tribunal militaire qui a ne la pas condamné ses parents ont acheté le juge le tribunal est les fasciste.
Lui se revendiqué socialiste, moi je le trouver plutôt conservateur de gauche, un philosophe paysan qui travailler beaucoup. À la maison la grand-mère et sa mère n’aimer pas qu’on le questionne, elles avaient peur de ses idées. Il aimée le sexe et la lecture. Quand il n’était pas sur la grand-mère il était dans la cuisine à lui faire la lecture, surtout de romans policiers qu’il aimée tous particulièrement.
Il est vrai que mon grand-père comme moi vivais surprotégé, lui était fils unique, et sa mère était prête à tout pour son fils, mais pourtant il était un homme libre, jamais il n’a cru avoir était battu !
Un socialiste qui n’a pas à avoir honte de ses idées de justice social !
  
    

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