dimanche 13 décembre 2015

Diego Madrazo un homme de la montagne !




Je suis entrain de lire le peuple espagnol est mort du docteur don Enrique Diego Madrazo y Azcona !
Le docteur Madrazo est née a Vega  de Pas dans les monts cantabrique un 28 février de 1850 et mort à Santander le 8 novembre 1942. A 20 ans en 1870 il obtient sont doctorat en médecine et chirurgie.  Cette même année ; il entreprend un voyage en France puis en Allemagne  pour complété sa formation, et retourne en Espagne en 1876.
  On ne va pas écrire tous son parcours ni parler des livres qu’il a écrit ni même de ses pièces de théâtre ni de son amitié avec Perez Galdós ou Matilde de la Torre  ni de son affiliation au socialisme, président du bloc socialiste et républicain de Santander et la montagne .et les 4 ans de prison sous le franquisme. Ni de sa mort dans la demeure de son plus grand adversaire et protecteur le cardinal Angel Herrera de Oria.  Oria est spéciale dans sa vie il est bien entendu un homme de la montagne de Santander prêtre mais aussi journaliste juriste et politique avant d’être un évêque de l’église. Bien entendu aussi que pour Oria le républicanisme est un accident dans l’histoire d’Espagne.
Trêve de rigolade revenons à Madrazo. Madrazo na pas était que le précurseur de la chirurgie moderne en Espagne, il a aussi fondé plusieurs hôpitaux et écoles dans la région, défenseur des nouvelles méthodes pour l’enseignement, il introduit dans les écoles de la région et dès la petit enfance l’expérimentation et la recherche scientifique.  Il lutera aussi pour les autonomies et le fédéralisme comme seul moyen de sauvée l’Espagne de la décadence et la misère.
Il créera aussi une revue de chirurgie avec la collaboration des grands scientifiques espagnols est européennes  du moment, une revue mensuel scientifique publier a Santander a plus de 5 milles exemplaires.
Il lutera aussi avec Matilde  de la Torre pour une loi sur l’enseignement publique, un enseignement unique pour fille et garçon une école unique.  Il se revendique du siècle des lumières et prétend dans la force de l’écriture et la lecture avec l’expérimentation le pouvoir du savoir.   
L’interdiction de son livre par l’évêque de Santander puis les autorités espagnole de son livre le peuple espagnol est mort, il ne s’avouera pas vaincu. Il et écrira des œuvres de théâtre de caractère social et aussi régénérationniste.
 Madrazo aura connu l’échec de deux républiques 1873 1936, il aura aussi à souffrir de nombreuses guerres et plusieurs dictatures, une Espagne qui plonge dans l’enfer la pathologie de la haine, et pourtant il ne renonce pas. Libéré en 1942 pour mourir une semaine plus tard chez son amie et adversaire le plus cruel.
 La vie de madrazo a une histoire enfant dans son village de Vega de Pas, il s’enfuit de l’école. Son père à cheval le recherche sans le trouvée à la nuit il voit  son père rentre à la maison abattu et triste. Il sort de sa cacheté et présente ses excuse a son père et sa mère et leurs demande de l’envoyer à une autre école, dans son école du village il s’ennuie !  

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