dimanche 29 mars 2009

Ma mère a toujours indique la direction


Ma mère a toujours indique la direction, et mon père partez le premier comme un éclaireur. Je ne me souviens pas très bien de notre arrivai en France, dans la région alsace prés de Colmar a Sulzbach-les-bains. Mon père avait trouvé un travail dans les tuileries. Mon frère et moi nous allions à l’école, moi chez des bonsœur et mon frère dans la grande école. A la fin de la journée une fille un peut plus âges que moi et mon frère venait me cherchez a la sorti de l’école, puis ont se dirigé a la grand école ou mon frère étai retenu pour faire ces devoirs. Une institutrice sortez a la porte et nous fessais entre a l’intérieur, la fille se mettais au font de la salle, et moi ou la dame ne mettais et elle allait s’assoir au prés de mon frère puis quand elle avait fini elle sorte une barre de chocolat qu’elle coupé en trois morceaux et nous les donnés, et elle nous raccompagne a la maison dans sa 2 CV Citroën. Je me souviens de cette dame elle porte un tailleur le plus souvent beige, elle avait une coupe de cheveux a la Sylvie Vartan et blonde comme elle, une certaine douceur et une léger sourire, voila l’image qui mais restai de cette personne.1 an apprêt ont partez pour Rouffach je mai plus revue cette personne son doute très importante dans nos petit vie ! Et la petit fille étai la fille d’un contremaître de l’usine ou travaille mon père !je mais pas de souvenir d’école a Rouffach, par contre je me souviens qu’ont a dormi plusieurs jour dans un petite chambre et qu’il nous on fabrique une maison en bois en deux jours sais les seul souvenir don je me souvienne de ce lieu !


Arrive de la famille Gonzalez à Foussemagne dans le territoire de Belfort ; mais parent a la suite de problème de violence entre les différentes communautés .« les espagnole comme nous étions plus individualiste que les autres communautés » déciderai de partirez pour une autre région.mon père parti comme d’ habitude le premier le jour même il trouva un travail a Foussemagne et trois semaines plus tare il vient nous cherche avec un monsieur et une camionnette.ont pris le peu D'affaire que l’on possédé et en route pour notre nouvelle vie ; les enfant a l’arrière de la camionnette sur les matelas, quel voyage superbe génial. ARRIVÉ A FOUSEMAGNE. Pendent que nos parent prenais possession de la maison, nous trois nous étions accueille pars un groupe d’enfants de la cité qui âpres un round d’observation ils nous ont accueille avec des cailloux. La riposte ne se fie pas attendre et mon frère comme d’habitude jetas une pierre qui alla frapper la tète de Marie-France elle fut hospitalise pour se faire recoudre la tête, et nous une réprimande du tonnerre. Les autre petits enfants venez de trouvé un nouveaux chef ! Manu la châtaigne ! « A son retour de l’hôpital la petit fille était dingue de luis » dans la cité ou on habité il i avais beaucoup de petit Algériens, Italiens, et quelque familles d’Espagnoles et Français. Peu après arrivée le plus jeune des frères de ma mère avec ma grand-mère. « Tout les enfants de la cité on apprit a parlé l’espagnole avec ma grand-mère et ma mère, et quelque adulte aussi».

dimanche 22 mars 2009

Ma cabane sur l’arbre

Ma cabane sur l’arbre

Le jour ou je me suis aperçu que j’existé il étai déjà trop tard pour faire marche arrière.
Enfant solitaire qui ne jouée jamais avec les autres enfants, même pas avec sont frère et sa sœur.
PARFOIS LES PERSONNES ONT UN DÉSIRE DE MORT QUE LES AUTRES NE PREUVE PAS ANALYSE !
Cette impression qu’on n’est pas a sa place, que se n’es pas nous qui sommes là entrain de vivre mais que quelqu’un vous a volé votre identité. Quand vous et tout petit vous ne pouvez pas analyser la situation vous constaté que vous n’arrivé pas à comprendre, que vous êtes en retarde par rapport aux autres, vous fait tout les efforts possible mais rien à faire vous n’arrivé pas, cette autre en vous ne veut pas il ne vous lèse jamais tranquille.
Moi j’ai eu de la chance, pratiquement tout les personnes que j’ai connue mon aimées, mon soutenu, malgré mon attitude sauvage toujours prés a décampé et même a agressé les intrus dans ma petit vie. Ma maman je ne la voulais que pour moi !
Un jour que mon père étai entrain de faire des cages a lapins, une idée mais venu je voulais fabrique ma maison dans un lieu sur.
Et quelle meilleur endroit que le petit bois derrière chez moi au bord de la rivière, je le connaisse bien l’endroit je lavais visité a plusieurs reprise, un endroit magique, OU Vivais UN PEUPLE MYSTÉRIEUX, je les entends mais je n’avais pas réussi a les voire il fallait que je les surprenne il devait êtres très rusé. Alors je ne suis ni a cherchez mon arbre le plus difficile à atteindre je ne voulais pas que les autres puis grimpé a mon arbre, moi je n’avais pas peur je grimpé dans des endroits ou les autres me pouvez pas.
Âpres plusieurs essai qui n’avais pas donnai de résulta je décide qu’il me fallait une corde pour hissée les planches que j’avais récupère a l’usine ou travaille mon père. « A la maison tout le monde m’observé avec étonnement et se demande se que je fabrique avec mon va et viens incessant, trainent dernier moi des planches».
Il me fallait prendre le marteau et les clous de mon père facile à faire, lui volé aussi de la ficèle.
Puis petit à petit avec beaucoup de difficulté j’ai fini pare réussir à faire un plancher sur mon arbre.
Les ennuie on commence très vite, d’abord le garde champêtre qui ma gronde et que j’ai envoyé se faire voire, puis les autres enfants qui voulez visiter mon arbre, pas d’acore il on déclenche la guerre il vont l’avoir leur bataille. Une jeudi après-midi alors que je pêché avec mais main, j’entends du brui dans la forêt, je me cache et surveille pour essayer d’apercevoir ce que sais, et la stupeur je voie les enfants de ma cité avec un échelle, mon frère est parmi eu, la colère me prend.
Je prépare mon lance pierre. Le premier blesse sais Mohamed qui prend une pierre dans le visage, les autres enfants sont prie de panique sauf mon frère qui s’approche et cherche a me maîtrisé, mais je me sauvé et je grimpe sur mon arbre pour me défendre, et je mais enfuit mais assaillent. De retour a la maison avec une inquiétude, ma mère et sa ma pas loupé « bronca » je me suis fait grondé et elle ma obliger à me rendre chez Mohamed pour prendre de ce nouvel. Ou la il avec un œil comme une patate, il la pas perdu sont œil ! Sa va ! Rien du tout ! Beaucoup de bruit pour rien.
Il mon lésé tranquille pour un certain temps, et j’ai pue continué mais recherche sur le peuple de la forêt et du bord de rivière, sans succès il faut dire je mais rien trouvé, mais ! J’ai découvert les garçons et les filles plus âgé du village, et L’endroit ou il se baigné.
Je trouvai que l’endroit étai vraiment trot fréquentai, et que je devais améliorer ma cabane, en luis construisent une rampe et un toit, se n’était pas facile a réalisai sa ma coûté beaucoup de travail, et je me sentais observais par les autres enfants, qui décider de construis eux aussi un cabane au pied d’un arbre.
Moi je préparai mon arsenal je décide de fabrique un arc et des flèche pour me défendre des autres, et au même temps je surveillai les plus grand et leur jeux stupide ; moi je me préparé a la bataille contre touts ces envahisseur qu’il y avec sur mon territoire.
Mais se qui devez arriver arriva, à force d’observais les grand je remarque une fille qui ne se comportai pas comme les autres, il fallait que je m’approche pour savoir pourquoi elle étai différente.
Je décide de me faire voir par eux, de me montrai, il me remarque tous de suite et il m’appelle, mais je me méfie de ces grand dadais, et je me sauve au plus vite je retournerai le prochain samedi avec mais armes on ne ces jamais si il faux se battre.
Pendent ces quelque jours d’attente je pense a ces fille plutôt tranquille, Qui avec une poitrine très jolie !
Enfin le samedi est arrive es je suis impatients de revoir la joli fille, mais il ni a personne a la rivière je suis tout-seul, je décide de me baigné et de mettre une corde a un arbre pour me balancé au dessus de l’eau. Et la alors que je suis entraient de joué a grimpé a l’arbre pour plonge, les grand débarque et il me voyeur sur l’arbre, et ils vont directement a l’eau et il me défie de plonge mais moi je ne les écoute pas se sont eux les peureux qui ne savez pas plonge. Alors il grimpe a l’arbre pour plongeai, mais moi je plonge et je vais de l’autres cote de la rivière pour voire la fille qui me plaid et je lui demande comment elle s’appelle, Ella stupeur elle me répond MARYLINE et elle me demande et toi je lui dis Julio, et elle et surprise par mon prénom. Je lui dis que j’ai une secret mais quelle ne doit pas le révélé aux autres, elle me dit d’acores, je luis dit a jeudi prochain sans beaucoup de conviction.
Le jeudi arrive et je suis impatient de la voire, et la je l’aperçois de loin, Qu’est qu’elle et belle. Elle me donne un bisou, je luis prend la main et je la guide a ma cabane en traversent la rivière par un passage que je croie que personne ne connais.
Je croie qu’elle m’aime bien, qu’elle aime jouet avec moi !
Le plus beau jour de ma vie, je suis entrain de lui apprendre a tiré avec mon arc, et je lui dis que je voudrai bien regarde sa poitrine, elle éclate de rire, moi j’insiste je veux savoir Qu’est que sais ces deux bosses de devant. Elle me demande quel âge a tu, je lui dis que bientôt 11 ans, et toi combien, bientôt 16 ans ; je baisse les yeux, sais une grand fille un vieille !
Et la elle s’approche de moi et elle dégrafe sa robe et se retrouve en soutien- gorge, slip ! Puis elle retire son soutien-gorge et son slip et moi je voie la chose la plus bel au monde, elle me serre contre elle et je voyage au pays des merveilles. On était bien tout les deux ont allai se promène, elle avec sa mobylette moi avec mon vélo c’était le bonheur je croie !puis un jour elle ma dit quelle partais étudie
A Strasbourg, je ne les plus jamais revue. Le peuple mystérieux je ne les jamais trouvé, les bataille avec les autres enfants il y en a eu. Mais le petit enfant qui vive en moi et en dehors et qui vie toujours maintenant je sais qui il est. Et le peuple mystérieux je finirai par le trouvé.
Julio

vendredi 13 mars 2009

Vivre a New-York en 2017 le crime a touts les coins de rue les revendeurs de drogue, femmes facile dans tout les barre, et toi la bouteille de whisky a la main enveloppe dans du papier journal que l’ont voie que tu te saoul mais que l’ont ne puis pas savoir avec quel merde. Te dans les affaires, toi sais la magouille tu peu rendre tout sorte de servisse, casais la figure a un type pour qu’elle que dollars, vole une voiture, faire du trafique de tous, enfin tu te pose pas trot de questions tu ne veux pas savoir, tu survie dans la jungle de la modernité et tu ne veux pas être dépasse par les événements. Te dans le noir tu discute avec un type costume cravate con comme une équerre, il te demande d’éventré une jeune femme pour luis volé sais organe, il te propose 20000 dollars 10000 par avance, et 10000 a réception de la marchandise. Toi tu sais qu’il ne va pas te payé et qu’il va te faire abattre, alors tu la suie pour savoir ou il crèche. Puis une foi que tu a le renseignement tu va voire la fille que tu dois tuer, elle est mignonne elle vie dans un cartier pourri de New-York tu l’observe puis tu passe accoter de elle, et tu luis demande se quelle vend, elle ne vend rien du tous mais elle a un joli sourire, alors tu fou le quand de la ! Et tu va cherche t’on fric chez l’autre type. Tu l’attente devant sa port il est surpris tu le bouscule a l’intérieur de la maison. On mont dans les chambres et la une femme et une jeune fille dans un lit elle a l’aire malade elle est belle mais toute pale, tu luis demande ton fric, tu le menace de les abattrais tout les trois si il ne te pays pas, la femme ne comprend pas se qui se passe, tu luis dit que si il arrive quelle que chose a l’autre fille tu les tue tousse, et tu par s’en te retourne la semaine a étai très bonne pour toi !
« Même le diable aime sais enfants, toi ni diable ni dieu, toue’ seul dans la jungle mais tu t’en et bien tiré comme d’habitudes ! »
Julio

lundi 9 mars 2009

Tous les peuples on des philosophes est des bâtisseurs

Tous les peuples on des philosophes est des bâtisseurs,
Les juifs eus ils font des songes qu'il interprète,
Se sont les seuls qui on rencontre dieu.
Ou son les prophètes des autres nations ?
Qu'il vient devant le juge avec leurs témoins,
Sur touts l’église espagnol.
Ils ne peuvent pas se présente il ignore le chemin ;
Il préfère se perdre sur d’autre voie.
Quand j'étais petit garçon j’avais des problèmes pour communique.
Je pensé que j’étais un ange ai j’étais pressé de repartir Là-bas.
Ce petit garçon vie toujours au font de moi, Sans lui
Un homme très violent qui mettrais en terre tous les ennemies de
L'humanité. Je ne supporte rien ! Je ne supporte pas l’injustice.
« Je ne suis pas assai juste pour être l’épée, mai assai pour être le bouclier. »
Malgré mais difficulté d’expression je ne céderai jamais.
Julio
Pour moi pour vous

dimanche 1 mars 2009

El futuro incierto

El futuro incierto

España debe participar en el mantenimiento del orden y la paz en el mundo. Los españoles saben lo que significa el terrorismo.

España ha también practicado la injusticia, la intolerancia, la privación de libertades públicas.

El mundo no pertenece a nadie, y es de todos.

Nuestro mundo ce acerca a una catástrofe des dimisiones insospechables

Para la humanidad.

Con el calentamiento de la tierra la polucione de nuestro espacio natural

. En fin todo lo que vive está en peligro.

España tiene que preparase a viviré en condicione extremase.

Va a ver grandes migraciones de populaciones en el mundo, por falta de agua y alimentación, se nos avecina un desequilibrio demográfico como

Nunca en toda nuestra historia.

España en Europa y con Europa tiene que encontrar soluciones.

A es terrible problema humano, no queremos que nuestra sociedad

Vea el lado negativo y coja miedos.

Seguro que es tarde para muchas cósase y que no vamos a evitar todo.

“Yo ce que desde Cantabria brotará una renovación del occidente y una conquista mas pacifica de la tierra, pero durara tanto como la reconquista de España.”

Julio