vendredi 29 mai 2009

habitants des montagnes

Moi je viens d’une terre de montagnard, à l’ origine dans sais vallées les femmes était les héritières des terres, les hommes, l’aîné était sacrifié au travail de la ferme et les petits ont les envoyés a l’école puis selon leur capacité les un aux Amérique faire fortune les autre tenir des bodegas ou des petit commerce pour vendre les produit de la ferme ! Je croie que sais pareille dans touts les nations les habitants des montagnes sont de grand voyageur de grand navigateur et de grand bâtisseur. Et encore aujourd’hui une poigne de main vaut tous les contrats du monde !
Dans le village de ma grand-mère il ni a que 9 habitants le long de l’année, en été et les fin de semaine le village se rempli de visiteur, il ni a qu’un seul bodegas qui appartiens a une petit cousine de ma mère, bien sur sais aussi le seul commerce, et si vous voulez passé la nuit il ont des chambres. Pour les autres visiteurs une seul solution descendre la vallée et se dirigé a Cabezón de la sal ou vous trouvère de tout. Les voitures sont interdite dans le village pour les visiteurs, il y a un parking a environ 1km a l’entré du village il y a une fontaine pour vous désaltère et une Parc pour Pique-niqué « bien sur ne laissé rien traîné il y a des poubelles pour jeté vos dèches ». Pour si rendre prend le bus ou le train de Santander à Cabezón de la sal !

dimanche 24 mai 2009

Une Grand-Mère espagnole en France

Une Grand-Mère espagnole en France !
J’ai toujours connu ma Grand-Mère âgée, j’ai toujours cru que les grandes mères étai âgée ! A foussemagne il y avait toute sorte de communautés, les plus nombreux les italiens, et les algériens, les espagnoles une dizaine de familles. Les galiciens et les andalous, se rend dans les centres espagnoles, nous non les Cantabres nous ne somme pas communautaire, nous somme solidaire mais assez individualiste dans notre façon de vivre. Dans la cité de l’usine, ma Grand-Mère était très respect pars les différente communautés, il l’appelée l’Abuela, les italiens les algériens et les andalous, avais de drôle de coutume, ils enfermé leurs femmes, et lésai leurs enfants garçons faire toute sorte de bêtise, faut dire les choses comme elle son !et les petit français ne se mélange pas trop avec les étrangers. Mais bon il y avait les garçons et les filles et sa ne se commende pas ! Ma grand mère mon oncle et mais parent eu discuté avec tout le monde, malgré la barrière de la langue il trouvé les formule pour communiqués avec les autres. Quelque anecdote, messieurs Hamache avait la main lourde avec sa femme et sais enfants surtout sais filles, un jour il avait attaché Nasira dans la cave, et ma grand mère et ma mère ont était la détaché, et le réprimandé pour sont attitude ; mais le pire jour que nous avons connu a foussemagne, sais avec les stockel, une des filles stockel était tombe amoureuse d’un jeune algérien, et elle allait le rejoindre, et son père est sorti avec sa carabine. Il veut tuer le jeune, ma Grand-Mère sait interposer, le lendemain il vient présenter sais excuse, pour sont attitude, mais il ne veut pas que sa fille fréquente une arabe. Na grand-mère avait des règles sur la propreté, surtout sur la propreté du corps, elle cuisiné vraiment très bien aussi. Mais quand j’étais plus jeune se qui impressionné le plus chez elle s’était sa façon de tué un animale et le dépecée, mon père avait deux moutons et une chien avais mutile les animaux et il a fallut les sacrifié Et sais ma grand-mère qui les a tué. Cette toujours elle qui sacrifié les animaux a la maison, elle leur enfoncé le couteau entre le cou et l’omoplate, l’animale ne soufrait pas. « Les choses du présent ont à beaucoup de mal à les inscrire dans l’histoire » alors que l’usine de Foussemagne tourne mal, et qu’il faut envisage une nouveau dépare, les choses se présente plutôt bien pour notre famille. Mon père comme toujours il trouve immédiatement un travaille a Rougemont le château et ma mère a Dannemarie, chez brandi mode, mon oncle lui il va connaitre le chômage, mais pas très longtemps, ma mère lui trouvera un travail dans son usine et cette emploi, vas donne une prospérité sans précédent a la famille. Mon oncle avec l’aide de sa mère et sa sœur vas se lance dans la couture, d’abord les filles du coin puis de plus en plus de personne viendront se faire habiller pars mon oncle, cette soudaine prospérité, vas permettes a chacun d’acheté des appartements, et de réparé les maisons dans le village. Mon oncle décide de quitté la France et ma grand-mère partira avec luis
Elle vivra tout le temps avec luis, elle transmettra sont caractère souple mais ferme a sais trois petit filles. En 1998 le téléphone sonne ma grand mère viens d’être hospitalisé, elle se plein pour la première fois de douleur au ventre, les médecins ne diagnostique pas bien les douleurs, au bout de quelle que jours il trouve qu’elle a de la gangrène au ventre il ne preuves pas opérai elle décéda dans les bras de ma mère.

mardi 19 mai 2009

La province des 9 vallées !




La province des 9 vallées !
Ma grand-mère maternelle est née en 1900 à tudanca « village classé au patrimoine nationale et sais montagnes sont classé pars l’Unesco pour la sauvegarde de la biosphère » dans la vallée de Cabuerniga mont cantabrique, dans une famille d’éleveurs de bétails, comme pratiquement tous les habitants de sais vallées. Pas facile de raconte la vie de sais gentes ci particulier, ils sont la de puis toujours, ils ont résisté toute les invasions, avec une nonchalance et une patience, immenses. A la différence des autres européens et espagnols il élisait leurs représentants depuis toujours, au moyen âge les seigneurs qui les représenté a la cour du roi était des élus. Touts sais habitants était des hidalgos. Mais revenons à ma grand mère, elle a eu une vie intense a trois ans elle reste orpheline, sa mère décède en donnent la vie a sont petit frère Julio.
Une année que l’hiver surprend pars l’enneigement, sont père est sais trois grand frères, parte pour rassembles les troupeaux et les conduire au village, mais au bout d’une semaine ils ne sont toujours pas rentré, et un matin le petit Julio âgé de 11 ans a disparut avec sont cheval, gregoria ma grand mère coure vers l’église pour sonnais les cloches et donnait l’alerte. Dans le village les femmes s’organise pour la recherche, et aux boues de trois jours elle finisse pars trouvé le petit Julio il est tombe dans un précipice avec sont cheval, une louve est couche sur l’enfant, et les loups protège le corps qui est intacte, mais l’enfant est mort.
A 15 ans elle tombe amoureuse d’un homme qui a presque le double de sont âge, sont père mais pas d’acores avec cette relation il le lui fait savoir mais il ne l’interdira pas. A 16 ans elle ce mariera avec l’amour de sa vie ; la veille du mariage il vient la voire se jette a sais pieds en pleur et lui dit qu’il a une grave maladie « maladie sexuelle » ma grand mère est troublait mais ne renonce pas a sont mariage. Ils partiront vivre à Santander ou il possède une maison, elle restera avec lui 11 ans jusqu’à sa mort. La maladie de sont premier marie la laissais complètement ruiné, elle a Hypothéquai tout sais bien, elle a trouvé un emploi a l’hôpital comme blanchisseuse. Sont père viens la voire et lui propose de retourné au village, mais elle refuse, alors il lui donne une alcôve qu’il possède en ville deux chevaux et une calèche avec un box, et lui dit na fille tu na plus d’héritage tu a tout dépensé, tu peux revenir a la maison quand tu veux. Ma grande mère avec un emploi une chambre de bonne deux chevaux et une calèche, démarre une nouvelle vie.
Une paysanne dans la ville
Elle ne portera pas très longtemps le deuil de sont mari, elle trouve un homme qui a une grand famille et besoin de travaille pour nourrie sa famille, elle lui propose une marché, il s’occupe des chevaux et fait le taxi dans la ville, en contre parti il doit la conduirai partout ou elle voudra se rendre. Elle rencontre mon grand père qui est veuf comme elle mais lui il a trois enfants une fille et deux garçons, il est garde civil et vie a Cueto. Il se mari les premières années un certain bonheur, ou plutôt une complicité entre les époux. L’Espagne se réveille un matin avec la victoire du front populaire, pour mais grand parent rien ne change il continu leur vie paisible, mais bientôt sais la guerre civile dans le pays. L’entré des troupes franquiste dans la région, vas bouleverser leur vie, et ma grand mère vas prendre le rôle de chef de famille. Dans un premier temps sont marie sera chasé de la police puis arête, mais grand mère ira trouver le président de la région José maria de Cossio, qui est du même village que elle, au début de la guerre civile il était républicain, quand les franquiste sont entré dans Santander il a change de camp. « José maria de Cossio était anglophile et la région était sous la protection de la marine anglaise, une des raisons pour les quelle les espagnoles somme intéresse de commettre le contenu des archives de cette période de l’histoire ». Il se rendra en personne à la prison ou il est retenu pour le faire sortir delà. Mais les phalangistes ne léserons jamais tranquille mon grand père jusqu’a sa mort en 1958. Sont marie sans travaille la maison ou il vive sera réquisitionné, les franquiste et l’église leurs prendront tout se qu’il possède, Mais ils ne changeront pas de quartier, ils seront relogé pars une sœur de mon grand père, d’ont le mari est une phalangiste, et une voyou. Gregoria ira trouver sont père a tudanca, sont père avec l’accord des sais enfants, lui donnera une vache avec son veau et deux chevaux, et une somme d’argent pour quelle puise acheté une maison. Puis les naissances se succède d’abord une fille puis une autres, ma mère, la misère s’installe en Espagne, des années terribles pour beaucoup de personnes, la répression et la misère. Leurs vie ce stabilise peu a peu, mon grand père travail un peu adroit a gauche, il bricole il se débrouille comme il peu, puis une nouvelle naissance, la vie continu.nom grand père est plus âgée que sa femme, et ma grand mère mais plus ci jeune que sa, mais ils auront encore un fils, le dernier le plus petit des frères de ma mère avec une dizaine d’année de différence. Une vie dure s’installe en Espagne mais les gens sans accommode, il faut se débrouillé pour survivre, les années passe, ma mère ce marie, elle aura trois enfants, sais dure pour éduquer les enfants, et leur donne une avenirs. Nôtres départ pour la France, puis l’arrivé de ma grand-mère avec mon oncle.
Une grand-mère espagnole en France !
La suite bientôt !

mercredi 13 mai 2009



Je suis née dans la ferme de mais grand parent, a cueto barios bellavista . Je voudrai vous décrire les lieux et la maison. Tout le bas ce sont les écuries qui sont divisé en trois partit avec des passages entre les trois ; le corps principale ces l’étable quand j’étais enfant il y avait une trentaine de vaches, je revoie ma grand mère entrain de traire les vaches et mon grand père ramassé la litière.sur le côté il y avais une écurie avec des box ou était enfermait les chevaux et les ânes et il y avais des box avec des outilles, et toute sorte de trésors pour moi qui passé des heures a fouille dans tout les coin. Aujourd’hui cette partit de la ferme est transforme en atelier de soudure, Est l’étable en garage et entrepôt de tout sorte de matérielles. La partit arrière il y avait toute sorte d’animaux poulet lapin, etc. cette parti serre aussi d’entrepôt. A l’avant de la maison une cour avec un mur est une grosse pierre taillé ou coule une eau de source et la charrette a foin contre la maison ! La parti haut de la maison est divisé en deux parti !une parti serre a entreposé le foin pour les animaux et l’autre et le logement, pour accédé a la parti haute il y a un escalier au milieu de la maison, le logement est divisé comme sui. Une long couloire avec un WC au fond du couloire, Il ni a pas de salon ni sal a mange ; une très grande cuisine ou se réunissez la famille « Gonzalez Blanco mon grand père » et « Ceballos Roumayor ma grand mère » « et mon père et sais quartes frère et deux sœur Gonzalez Ceballos » une sale de bain avec wc, bidet, baignoire et douche six chambres assai grande. Il ni a pas beaucoup de meuble juste le nécessaires. La cuisine de mon enfance était une cuisine à bois et charbon il y avait le feu tout le temps et un gros marmite au feu ? Un vaisselier une table de bois un banc et des chaises il y avait un évier avec l’eau courante et une planche a lavé. La maison de mais grand parent est la première maison du village à avoir eu l’eau courante et l’électricité un peu avant la guerre je croie savoir dans les années trente. La maison et de pierres et de brique qui a sen doute était rajouté a traverse les années, la ferme était l’héritage de mon grand père. La petite route qui passe a gauche de la maison conduit directement à la côte, qui se trouve a environ un kilomètre, la route qui passe derrière la maison vous mène a l’école du village. Le seule à avoir était a l’école sais mon frère, ma sœur et moi, nous avons connue l’école qu’en France.sur le côté droit de la maison deux autre logement sont accolait ils ont appartenu a la ferme en d’autre temps, cette bâtisse a appartenu a la mère de mon grand père, j’ai connu mon arrière grand mère, une femme très actif. Dans se quartier du vilage sais un peu des intrus puisque pratiquement tout le reste du quartier sais la famille de ma mère qui eu sont vraiment très nombreux ; pour précision mais deux grand pères sont de Cueto, mais grand mères une est de torrelavega, et l’autre de tudanca dans la montagne. Voila le lieu de mais vacance d’été, a cinq cent mètre de la plage de mataleña avec sais cent soixante douze marches pour y accédé.
La ferme est toujours la propriété de la famille ! Les terres elle il ne reste plus grand-chose quelle que terrains de-ci de-là ! Les frères et sœurs de mon père vive dispersé dans le village leurs enfants eu plutôt en ville a Santander !
Je vous parlerez des spéculateurs qui ont faille divisé la famille dans un autre billet !
julio

samedi 9 mai 2009

l’arrogance

Tout le monde est conscient que la crise actuel et la conséquence de la mauvaise gestion des gouvernements libéraux, et des faiblesses des partis socialistes qui se sont laissé entrainé dans un mauvais chemin. L’argent la gloire la réussit rapide ne sont pas des solutions. Le travaille la patience et la reflétions sont les chemins de la vrais réussite. Les années Aznar passe une lourde facture a l’Espagne, ne pas trop s’inquiétai les espagnoles ont de la ressource ils vont sortir de la crise part le haut ne le douté pas. Les pays comme l’Angleterre et les USA vont avoir plus de mal a redressé la tête, leur mentalité n’est pas préparé pour affronté les difficultés avec la même sagesse que les espagnole. La France l’Allemagne et l’Italie vont perdre du poids économiques, leur industrie va beaucoup souffrir dans les années à venir. Pour la France, je pense sincèrement qu’il faudra changer de majorité, mettre des personnes plus raisonnable que les actuelles représentent du pays. Le pays ne peu ce privé de sais travailleurs pours avançais dans la bonne direction, l’arrogance du pouvoir actuel, l’incompétence de sais membres les fastes du président trop impliqué avec le monde de l’argent, sais mensonges sur la sécurité, et sais slogans travaillé plus pour êtres encor plus exploité ne tien pas la route. LA France est une grande nation, très riche je me demande comment la rendre encore plus riche ? En massacrent l’Afriques ? Le président est une menteur, vous ne saurais pas plus riche, mais plus asservi sa sais sur. LA France na pas attendu sur Sarkozy pour êtres un grand pays. Nos pays doive devenir raisonnable, amélioré l’école, la recherche l’hôpital, enfin touts les servies de l’état. Arête le massacre de l’administration, de retirais tout les servies de l’état dans les communes du pays. Que les grands philosophes réfléchis à un nouveau développement de nos vieilles nations, plus en Harmonie avec la nature, une agriculture est une pêche plus respectueuse des milieux, aujourd’hui nous avons les moyens de nous développés autrement.
Dans tout les domaines nous possédons la technologie suffisante pour améliore la qualité de vie. Mais les hommes politiques se laisse convaincre pars des lobbies tout puisent, qui leur pronostique tout les malheurs si nous ne continuons pas dans la même direction, et si sa ne suife pas il leur pays des vacances sur leurs yacht, et dans les plus grand hôtels, transporté pars leur avion privé !
Julio !

jeudi 7 mai 2009

Voila l’Europe libéral

Les hommes politiques actuel se prenez pour des hommes providentiels, il veule faire le bonheur des peuples contre leur gré.
Nous ont veux le vrais changement, une politique plus proche de nos vrais aspiration, mais eux il ne veule pas, ils se font élire sur le mensonge. Il trompe les citoyens en leur promettent des jours meilleurs. Ils sont corrompus ils sont les amis des voleur, et des profiteur.
Nôtres société à besoin d’un développement plus en harmonie avec la nature, un plus grand respect de nôtres environnements se développement est possible. Nous avons besoin de dirigeants qui ne se lèse pas influences part les lobbies, qu’il ne coure pas après l’argents est la gloire personnelle.
Le libéralisme sais le laissé faire, se sont des dirigeants qui se réunisse dans de grand hôtels pour complotai contre leurs peuples, il se comporte comme des sectes et des mafieux.
Le nouvel ordre en européen ressemble de plus en plus a une forme de franquisme !
L’école et l’hôpital Aux curés et aux bon-sœur. Les curés pourront vous mettre a l’amende si vous jures ou craché parterre. : Créations d’une société doloriste, basé sur la prière.
A l’école les enfants commencerons les coures pars un chant patriotique, et le rosaire, a l’hôpital plutôt’ que de calme la douleur des patients on fera des prières et on lèsera mourir les personnes dans la détresse et les souffrances les plus inhumaine (il parait que sais sa la volonté de dieux).
Dans le domaine économique des interdictions de tout genre pour développé les groupes mafieux et l’économie parallèle tout-sa contrôlé au sommée par les pouvoirs politique, la justice au ordre de l’état Pour pouvoir condamné les dissidences et le désire de liberté !

Voila l’Europe libéral qui na de libéral que le non ! Ce sont des groupes mafieux !
Tout devient marchandise le corps la conscience et même l’âme tout se négocie voila la politique des libéraux
La violence est entrain de se généralisais dans tout le pays elle est devenu une tactique pour la droit .Nicolas Sarkozy a était ministre de l’intérieur il est président il a fait beaucoup de loi et la violence a explosé, qu’il s’explique, et sans langue de bois.
La vérité sais que sais lois font de tout les citoyens des délinquants nous sonne tout-ce des voyous Si tu ne m’aime pas Nicolas t’est un délinquant.
« La France et aussi un paradis fiscale pour les présidents dictateur d’Afrique qui font mourir leur peuples et qui achète des villas avec l’argent qui ont volés a leurs peuples ou les commissions qu’il on reçue des grandes multinationale ! »
Julio.

dimanche 3 mai 2009

cannions

Je fabrique des carrosseries de véhicule industriel « cannions »
Dans un petite entreprise je travail la depuis toujours !
J’ai fait mon apprentissage avec le vieux patron.
Je fais parti des meubles dans l’entreprise.
Je suis le plus ancien dans la boutique mais pas le plus âges.
Ces dernier années ont a connue une évolution assai spectaculaire
Dans le travail avec les nouveaux produits qu’il y a sur le marché.
Quand j’ai commence a travail il y avec dans la boite quatre vieux
Et une secrétaire. Les vieux sont parti a la retraie il y a longtemps
Et la secrétaire a la fin de l’année dernière.
Aux jours duit nous somme toujours une petite entreprise de treize personnes.
Nous travaillions toujours de façon artisanale mais avec plus de produit industrielle
Qui nous facilite le travail.
Je suis le seul dans l’entreprise qui sait fabrique une carrosserie au complet.
Les plus jeunes sont plus spécialisés dans l’électricité qui a beaucoup évolué,
Il faut s’en cesse faire des stages pour être au niveau.
L’Hydrauliques aussi a beaucoup évolué ; en faite tous les procède ont évolué et les matériaux.
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Mon vieux patron et sa femme au jour duit décédé sont les meilleures personnes que j’ai rencontre, je me souviens toujours de la première fois, un âpres midi d’été avec mon vélo Je me suis arrêtai vair l’atelier et j’ai demande à voir le chef et je luis et demandé du travail . Il ma répondu se n’ai pas possible tu et trop jeune, je luis et dit que je ne voulais plus aller a l’école , il ma dit de traversé la route et de sonne a la porte de la maison et la une dame est sorti et elle ma fait entre ont a discuté longuement . Par la suite elle a fait toute les démarchez Administratif.

Convaincre mais parent surtout ma mère « A la maison mon meilleur allié mon frère
De toute façon il et pas normale le gosse il apprendra jamais rien »
Appart grimpe aux arbres et plonge dans la rivière qu’il va finirez par se tué
Il ne ces rien faire. »

samedi 2 mai 2009

Pedro el tonto !

Pedro el tonto !
Pedro est le coussin de mon grand père, sais quelqu’un de très particulier il a un problème, je dirai très Léger dans sa tête !
Il est toujours assis a la porte de sa ferme, et quand mon père va le voire il bondi de sa chaise comme une enfant. Il a 98ans et un fils et deux petits fils.
Malgré sont handicape il fait parti des riche du village il a plus de deux cent vache et une cinquantaine de chevaux.
Sa mère tente Valentine comme l’appelé mon père et touts les voisin , a bien fait les choses pour sont fils, fils unique comme tout les cousins de mon grand père, sais drôle que les quatre familles il on tout-ce eu un fils et pas de filles, deux sont mort a la guerre, Federico qui était le plus jeune 18ans et qui était parti avec mon grand père et qui a était tué, a leur retour alors que la guerre était fini, il et mort a Sant Vicente de la barquera. Il a pleuré trois jours il disait a mon grand père je veux rentre a la maison, je veux revoir mais parent, mon grand père lui disais patience on va rentrer. Mais il se mais a courir sous les tires il est gravement blessé, mon grand père et juan un asturien le conduirons dans un village mais l’enfant meure est sais une vielle femme qui s’occupera de lui donne sépulture !l’autre cousin ruperto était cheminot et il a étai tué a Salta caballo il conduisait le tain qui parcourez Oviedo Santander Bilbao et la frontière française, sont train a était prit pour cible pars l’aviation allemande il et mort la près de Bilbao.
Mais revenons à Pedro ! Sa mère qui était une femme de caractère et qui voulez que sa famille connaisse une suite, fie venir une jeune femme de Madrid pour donne une descendance a son fils, la jeune femme resta a la ferme un peu moins de deux ans le temps de donné un fils a Pedro, et elle repartit pour Madrid, aujourd’hui Pedro est un homme comblé un fils une belle-fille deux petits fils, qui s’occupe de lui, mais sais bien la preuve que l’ont a toujours besoin d’un plus petit que soi. Les deux cousins s’entendaient très bien comme deux frères. Comment décrire Pedro pas facile, il est drôle il aime raconte des anecdotes, il aime parler des vaches et chevaux, de sais petits enfants qui dirige la ferme, il nous fait faire le tour du propriétaire qui est immenses, a oui il est toujours habillai avec un bleu de travail et un béret sur la tète, les mauvaise langues dise qu’il est très riche, mais lui il vie modestement dans sa ferme est sa porte est toujours ouvertes a touts le mondes, les espagnoles de Cueto qui ont immigré savez se qu’il lui doives il allé chez lui pour être aide est il aidai tout se qui partez en leur prêtent l’argent pour le dépare sans leur demande d’intérêt. Il se moqué de sa mère, en disent que la Valentine fessais pipi dans un pot, et quelle était radine quelle ne lui donne que trois sous, et en cachette comme si c’était un capitale pour boire un vert avec sais amies, il faut dire quelle le surveille de prêt et luis interdisais de fumé. Il allé voire sont cousin pour lui demandé une cigarette, et lui disais Cindo tu a une feuille et du tabac, mon grand père lui répondez oui, tien prend, et lui, nom, roule moi une cigarette, et donne moi du feu, tu diras rien a la Valentine, ne t’inquiète pas je lui dirai rien. Un 24 décembre quand il était enfant il a sonné de la corne dans le village il pleuvait et il fessait très froid et les villageois se sont réuni en se demandent mais que se passe t’il, et Pedro, la maison de catuna a prit feu et les villageois se son dirigé ver le lieu ou vivez la famille catuna, une famille nombreuses et très pauvre, et bien sure la maison n’était pas en feu il voulait juste attirer l’attention sur sais voisin pauvre pour ce noël. Pour moi Pedro a un petit problème comme si il avec peur de quelle que chose pourtant il n’avait peur de personne. Sais un homme gentil et tendre et je luis souhaite de vivre encore beaucoup d’années !

En Espagne touts le monde a un surnom!