mercredi 30 septembre 2009

Frédéric Mitterrand

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/affaire-polanski-etonnante-defense-62352
Frédéric Mitterrand défend Polanski pars ce que lui-même vas en Thaïlande pour coucher avec des garcons ! « Et comme il dit le marché aux esclaves m’excite énormément, j’ai prie le pli de payé pour les garçons ! »
Le ministre de la culture, et une malade pourquoi il ne profite pas des gosses de sais amies parisiens, Il a peur il préfère profiter de la misère sais plus courageux et sa lui donne bonne consciences il croie faire un don une œuvre de charité ! """Frédéric démission !"""

dimanche 20 septembre 2009

Comment parler d’une femme quand on est un homme.

Le doute m’envahit, pas facile de la décrire ; peut-être a travers ma propre humanité, tenter de l’entrevoir ? Il y a des hommes pour qui c’est pas sorcier de parler des femmes, mais moi oui !
J’ai déjà pas mal de difficulté à écrire alors vous la décrire… hu. Sa jeunesse, ses désirs et ses passions on laissé place a sa vie de mère, attentive et passionnée pour ses enfants. Elle a brûlé sa jeunesse avec les hommes qui sont entrés dans sa vie comme des brigands cherchant un trésor, qu’ils ont souvent trouvé collé à son corps voluptueux ; elle s'est donnée avec tout son être, elle a aimé, elle a tellement aimé qu’elle a donné du fruit, que la vie a germé dans sont ventre.
Elle les a fait fuir, sa peau ne les supportais plus, son cœur les aimes encore mais le corps a ses raisons et sa lassitude. Et puis maintenant, elle a ce qu’elle veut des enfants, alors les hommes et leur folie, ça suffit.
Je l’imagine rentrant a la tombé du jour, mais la journée de travail n'est pas finie : passer prendre les gosses a la sortie des classes, aller faire les courses, préparer le dîner, réviser les devoirs d’école et tellement d’autre chose impossible a décrire. La nuit, dans son lit, elle pleure, sa façon a elle de décompresser de ses journées si chargée. Les décisions à prendre, seule, dans la solitude. Mais la solitude, elle connaît bien, même avec les hommes autour d’elle, elle décide seule. La pensée de ses enfants la revitalise, ses pensées deviennent positives après tous sa plus belle réussite ce sont les gosses qu'elle adore par dessus tout.
Bien sur, elle a d’autres petites fiertés, c'est une femme de talent, une fine observatrice de notre société, mais les enfants on prit une importance centrale dans sa vie. Le lendemain il faut les emmener à l’école, puis le rendez-vous chez le médecin, ce rendez-vous toujours reporté, pas le temps, mais le mal de pierres, il faut bien le soigner.
On voudrait parler de ses défauts, de ses colères, mais que voulez-vous, même ses colère sont belles, pleine de véritéx qui font mal à la conscience de ceux qui en ont encore une. Elle, métro-boulot-dodo, elle ne connaît pas, trop prise par la petite famille, leur éducation, l’école, le respect des autres, la santé, leur bien-êtres, dans la sécurité et la justice. Elle connaît les dangers de la vie, voila pourquoi elle veut que ses enfants soient préparés pour affronter le futur.
Des trains, elle en a pris dans sa vie, des rapide et des lents, des trains pas comme les autres, mais, celui-là la conduira au bout de son voyage, la plénitude de sa vie. Plus rien ne peut arrêter sa détermination à vivre pleinement sa vie de femme. Malgré les injustices dont elle est encore victime, ce combat est le sien, mais elle ne se bat pas que pour elle, son combat est pour toutes les femmes sans voix, et les hommes qui vivent toujours la tête courbée, ou avec des vieux schémas et préjugé sur les relations homme femme. Sont truc a elle, c'est le partage de ce qu’elle aimée, c'est une passionnée, son énergie viens de sont ventre. De là vient son mystère. Sa force, elle la puise à la source de la vie. Elle a peut-être la nostalgie de sont île perdue, mais certainement pas de ce vieux monde plein d’injustice. Et s'il faut aller au naturel, elle saura faire. Fabriquer ses savons et parfums faits maison, cela ne lui fait pas peur. Si ses mains ont su aimer et caresser et consoler et écrire de beaux texte, elles sauront bien fabriquer des nouvelles senteurs. Là ou beaucoup subissent, elle aura souffert, crié, pleuré, mais jamais subi sans se défendre. Elle au moins aura vécue sa vie de femme libre et de mère aimante !
Je veux prendre la défense des hommes. Des siècles de mauvaises habitude ne se gomme pas si facilement !