Les paysages de mon enfance

 Nous les hommes ont veut donner continuité a l’histoire avec harmonie mais la réalité et que l’histoire n’est pas linéaire. Elle est faite de fracture de violence d’invasion plus ou moins pacifique.

Un exemple de cette discontinuité et de se mal entendu, la langue française et bien le nom le plus éloigné de la langue parlé dans le pays, le mon viens d’un peuple germain et le pays a une langue romane, a dire qui vient du latin.

Il est très difficile d’accepté que nos ancêtres ne sont pas les hommes de Lascaux, ou d’Altamira pour moi, mais d’autres hommes venu d’autres horizons. Alors bien sur l’humanité, la vie en général, elle oui a une continuité mais pas nos cultures langue et autre mode de vie de communiqué. Actuellement de profond changement sont entrain de changer notre société comme pars exemple l’informatique la communication, et l’interaction entre nous et même avec les objets, et nous ne somme finalement qu’au début de cette mutation.

 Tous change autour de nous, mais lui l’homme change moins vite et il reste encor aujourd’hui un être de passion de sensibilité et d’imagination, l’homme peut-être très cruel ou bienveillant.

Je n’explique mal je ne trouve pas les bon mots, comment dire ? Les paysages de mon enfance sont là ?mais quelque chose ni est plus, il ni a plus d’hirondelles, qui sans inquiète, les cigognes ne migre plus ou presque plus qui le vois ? Il ni a plus de sauterelles dans nos pâturages le grillon ne siffle plus ou si peu. Ou sont les moineaux de mon enfance ? Les champs de maïs sont devenu plus grand, et il ni a presque plus de vaches dans les pâturages, le lait je l’achète en brique au supermarché ! Le jardin de mon enfance était immense aujourd’hui il est bien plus petit, mais j’ai plus de fleur autour de la maison.

 Bientôt tous nos usines seront robotisé et nos maison aussi, mais qui donnera l’énergie pour tous cela ?

 Il y a très longtemps adolescent j’avais fait un rêve très désespèrent au début puis plein d’espoir a la fin.

Je vais vous résumez le rêve !

Au début j’ai vu une immense cité avec des tours, un peuple innombrable je me demandé comment ils fessaient pour administré et d’où ils tiré l’énergie l’alimentation et tous se commerce a l’intérieur de cette ville cité. Puis j’ai vu un monde misérable autour des murs de cette cité, faite d’hommes et de femmes qui travaillé tous la journée et même tous la nuit, j’ai vue deux enfers un dehors et l’autre dedans, et un immense désespoir a traversé tous mon être. 

Puis cette image a disparu en marchant sur les chemins sans but de ma vie, je ne sais plus se que je chercher. Mais, mais pas me conduise en une terre familière que je connais bien, et là je retrouve mon enfance, un monde plus lent avec des animaux dans les champs et des paysans pas pressé sur les chemins. Puis comme si je n’étais qu’un éclaireur je me dirige vair une maison ou se réunisse des sages qui m’interrogent sur mon voyage, ils veulent tous savoir sur l’autre monde de l’autre coté de la montagne. Puis à la fin de l’interrogatoire, une femme âgée se lève, et demande au groupe d’envoyer libéré les esclaves autour de la cité, mais comment les libéré sans l’effondrement de la cité et la guerre qui risque d’éclaté ? bien en libèrent avec lenteur, nous avons tous le temps eux non, ils sont tellement éblouie pars la lumière qu’ils s’ignorent dans les ténèbres, et la violence de leurs monde cruel qui va disparaitre !