vendredi 11 mars 2016

Le dernier ouvrier !



                 

Je suis le dernier ouvrier de la famille, faut  dire que nous ne venons pas d’un monde ouvrier !
Finalement mon père et moi ; lui a quitté le monde paysans, a émigré et devenu ouvrier, puis moi, donc une génération et demi puis plus d’ouvriers dans la famille. Finalement je suis le seul à avoir était ouvrier tous la vie !

Hier je demandé à ma mère si elle pouvait me parler de la pauvreté et comment elle a connu la pauvreté. Bien sûr elle était petit, elle m’a dit pour mieux comprendre il faudrait demander a mais deux frères et ma sœur les plus âgés, eux si il pourrait mieux en parler.
« Ma mère
Je ne sais vraiment pas comment se débrouiller ou plutôt si ma mère pour que nous mangions tous les jours.   Bien sûr j’ai des souvenirs je me souviens du jour ou les phalangistes et des militaires avec le curé sont venu à la maison. Ils nous ont tous pris, la maison était vide, et ma mère qui protesté, elle disait aux hommes habillés de militaire et au curée, la vache et le veau m’appartienne c’est un cadeau de mon père les sommiers et matelas aussi ils me viennent de ma mère, la maison aussi vous ne pouvais pas nous mettre à la rue. Ils ont tous pris et nous ont traité de voleurs, mais nous n’étions pas à la rue ! Puis ma mère a disparu plusieurs jours elle est partit chez son père, et quelque jours plus tard elle est revenu avec une vache et sont veaux aussi un âne et un cheval, et aussi plein d’aliment surtout des haricots mais plein d’autres choses. Mon père le pauvre homme était plutôt abattu et disais, il non rien à me reprocher j’ai fait mon travail avec honnête, je n’ai jamais arête personés pour ses opinions politiques, et je n’ai pas de sang sur les mains. Il est vrais par contre que mais hommes fessais ce qu’ils voulaient je n’avais plus vraiment l’autorité sur eux, cette la débandade dans la brigade. La seul chose qu’ils avaient contre non père et qu’il était militaire sous Alphonse XIII  puis garde civil jusqu’à la fin de la guerre, et quelque mois durant la période nationaliste. Puis il l’on laissé tranquille pendants un certain temps. Puis à la fin de la deuxième guerre mondiale le pouvoir est redevenu nerveux. Et surtout la misère qui s’installer dans le pays.
Le livret de rationnement, le marcher noire, le chômage les salaires de misère, et le plus grave une violence d’état, des hommes avec des cagoules qui entraits chez les gens dans les maisons et commettait des meurtres. Et pas moyen de se défendre en allant à la police ou chez le juge, cette toi qui finissais en prison.  Voilà les conditions de vie de mon enfance !  » Et plus et pire encore !
 Chez nous ont ne cache rien un jour je construirais l’histoire de ma famille !
Donc je disais que je suis le dernier ouvrier de la famille et finalement aujourd’hui le seul, et aussi pour les plus jeunes l’image qui et donner et répandu dans la société est fausse ou plutôt manipuler.
Les plus jeunes de la famille ce qui n’étudie plus et qui sont entré dans le monde du travail, gagne déjà mieux que moi, sont mieux formée en plus ils parler plusieurs langues et voyage bien plus que moi. Dire que les jeunes n’auront pas les mêmes conditions de vie que les ainées et bien entendu faux, un mensonge et une manipulation dans les médias et les politiques. Par contre il est vrai et il faut dire aux parents que leurs enfants doivent absolument aller à l’école le plus loin possible ,et en tout cas ne rien leurs imposé les laissé choisir le chemin vous votre obligation est l’accompagnement l’encouragement ,les laissé vivre !
Les phrases qui non toujours le plus toucher à la maison sur moi !
Mon père à ma mère : ne lui dit rien tu vois bien que l’on ne peut rien lui dire !
Ma mère : bien il va m’entendre !
Le directeur de l’école a ma mère : vous avais trois enfant et aucun ne se ressemble et surtout les deux garçons ; le jour et la nuit.  Ma mère : Oui Julio est différant il ne ressemble pas aux autres enfants il a ses propres comportements une mentalité et une sensibilité particulier. Mais il est entouré aimée et protégé il est le lien de la maison !
Mon frère : ton comportement fait peur tu ne supportes rien, les gens parle pas toujours bien il dise des choses sans les avoirs réfléchies et toi tu bondis comme un loup un lion et tu les terrorises tu leurs fait peur !
 Ma sœur : tu n’es pas romantique tu n’es pas sentimental, tu aimes peut-être mais tu n’as jamais était amoureux, tu es beaucoup trop dur tu fermes jamais les yeux !  
Voilà un peu de moi vue à la maison !


    



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