Le monde est musique, chant une danse, mais il ne peut
s’entendre que sur le chemin a l’arrêt ont entent rien il devient confusion
trouble !
Je cherche un nouveau nom, mot pour parler de l’être humain que
celui de l’homme, mais il y a un problème si déjà en employant une langue connu
on ne se comprend que difficilement dans une langue mystérieuse et avec de
nouveau codes on ne se comprendrait plus du tout.
L’homme ne se construit pas que de l’intérieur de l’être,
même si tout ce que l’homme à construire de ses mains et née avant dans son
esprit son imagination et une profonde observation.
L’apprentissage de l’homme, débute dans le ventre de la
mère, puis vient le temps de l’observation de la curiosité de l’expérimentation,
puis de nommé les choses, attribuer un nom à chaque objets chaque couleurs et
formes etc...
Puis vient le temps du rebelle de vouloir dépasser sa
condition l’esprit critique, le refus de la résignation. Je prends un raccourcie
pour dire qu’il arrive le plus souvent qu’un autre temps viens celui de la nostalgie
ou la mélancolie.
Le plus souvent le poète l’artiste pleure ou il rit nous décrives un monde une condition la
nostalgie d’un temps qu’il n’a pourtant jamais connu ni abordé que dans son
imagination. Il pleur un amour perdu il
chante un espoir fou qu’il n’a pourtant jamais rencontré, une vie de lait et de
miel dans une vallée introuvable. «Le corps de sa mère » Il nous
parle d’un monde perdu ou un monde à construire, ou l’amour l’harmonie est son
souverain royaume. Un royaume sans roi ou le roi et l’amour.
Je croie puisque moi aussi il n’arrive de croire que cette
être de sensibilité nous parle du pays qui se trouve dans le ventre de la mère
ou cette petit chose que nous appelons la vie il était nourrir et il passé son
temps à dormir et rêvé, il a vu le monde
comme il devait être et non comme il est. Le poète l’artiste le clone et aussi certaine
personnes avec des handicapes transperce quelque vérité et cherche à nous les
transmettrais dans un langage que nous puissions comprendre.
J’ai toujours éprouvé une grande admiration pour ses
personnes qui cherche dans le passé qui finalement cherche notre filiation nos
origines. Puis aussi ceux qui cherche
dans le ciel eux aussi les origines de la vie. Il y a ceux qui cherche dans nos
gènes et d’autre dans les étoiles, mais le bu et de raconté notre histoire,
d’où l’on vient et où l’on va. L’homme a
fait des calcule très savant juste pour comprendre le temps .il a même peut-être
fait des cartes du ciel avant celle où il posé les pieds.
L’homme est très
jeune dans l’histoire du cosmos et l’odyssée même si elle a débuté
immédiatement a l’instant dès les premiers pas, la montagne la plus élevé il ne
la pas encore abordé il n’est même pas
au pied de la géante. Enfaite tous les êtres ne sont peut-être pas au même endroit,
beaucoup sont dans de futiles combats, d’autre sont dévoré pars les difficultés
de la vie.
L’homme est entrain de ruiné de saccagé se monde du poète de
l’artiste se monde que mais yeux ont ente aperçu. Le petit peuple qui vivais au
bord de la rivière dans la petit forêt derrière ma citée. Enfant il n’y avait
aucun doute sur l’existence de ses êtres exceptionnels plus rapide que la
lumière et plus subtile que le vent, ils anticipé chacun de mais gestes.
Aujourd’hui je sais qui est se peuple, il est l’esprit de la nature et ils ne prenaient pas la fuite ses mais
yeux qui n’arrive pas à voir et ma tête qui ne comprenait pas leurs langage
bien trop subtil, un langage qui entre lentement en vous, qui prend son temps
pour être interprété traduit dans le nôtre. Ils non pas peur pour eux, ils
peuvent dormir des siècles sans problème mais nous si nous on s’endort qui nous
réveillera un autre viendra nous remplacer ? Une nouvel mémoire une nouvel
aventure, ou encore nous mais avec des yeux pouvant voir et une tête qui
comprend la subtilité de l’esprit de la forêt l’écho de la montagne le cri du cosmos !
Mais où se trouve cette montagne que l’homme
n’a pas encore identifiée ?
Comment vaincre l’ignorance, comment construire cette outil
pour vaincre tous nos peurs nos préjugées ? Un livre une épée ? Les
deux peuvent aveugler la conscience nous faire croire que nous détenons la puissance
et le droit. L’homme est persuadé que la lecture de plus en plus petite, des
petites particules lui donneront la réponse. D’autre que de lire et interprété
le cosmos et le plus grand et le plus loin lui aussi nous apportera une réponse.
Mais pour ce que nous connaissons à chaque porte à chaque manuscrite ouvert à
chaque mystère dévoilé, il y a encore plus de questions encore plus d’interrogations
et de possibilités, l’océan l’univers est encore plus vaste, il ni a plus
aucune limite aucun frontière.
La vie est un tourbillon, un mouvement un frottement pour allumer
l’étincelle de vie, il faut aussi une condition mais dès que la condition est présente
la vie surgie et se propage.
Il y a pourtant des
hommes des idées qui veulent réduire l’homme
a un code une condition, qui le divise l’oppose,
lui propose un dieu une philosophie une politique. Il l’oppose le divise, lui
fait croire qu’il est différant qu’il n’a pas les mêmes droits. Pourquoi cette
homme qui s’est construit et a tété le même sein a nourrit en lui la peur le préjugé
et la haine de l’autre ?
Il y a une chose que
j’ai remarqué et qui n’est pas bien considéré par les hommes, la liberté fait
peur la grand majorité des hommes sont effrayer pars la liberté, il la vive
comme un abandon. Et l’égalité ne suffit pas à les rassurés. Ils sont tellement
effrayer, qu’ils sont près a tombé dans les pires idées et mains. La liberté ne
rapproche pas les hommes il est vrais que le fort l’intelligent celui qui escalade
la montagne et cours à travers les forêts et champs, travers les mers et encore
plus renforcé, alors que l’homme qui n’arrive pas a surmonté ses handicapes et
encore plus distancé. Voilà pourquoi il
faut encore d’avantage de fraternité de solidarité.
La grandeur des peuples des nations leurs raison d’être vient
justement de la, construire faire le lien entre liberté et fraternité trouvé le
cadre qui permet au plus rapide d’avancé et au plus fragile de se sentir
protégé soutenu. Voir l’autre comme un éclaireur
celui qui prend des risques pour ouvrir la voie trouver le chemin, et non comme
celui qui veut nous abandonner partir seul.
D’ailleurs il faut comprendre qu’un homme qui arrive au
sommet de la montagne si il est seul et incapable de partagé son bonheur de transmettre,
sont travail ses efforts son sans intérêt et vain même lui na pas grandi !
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