L’université de Santander et le seul legs de la république qui a franchi la période
franquiste.
Les autorités sorties des élections de 1931 à Santander
proposent deux projets, l’autonomie de la région et le chemin de fer Santander
Barcelone, la république rejette les deux demandes.
Fernando de los rios ministre de l’enseignement et des
beaux-arts décide de créer avec Le poète Pedro Salinas le physicien blas cabrera et le philologue et historien
Ramon menendez pidal l’université d’été de Santander. Menendez pidal sera le
premier recteur.
Santander avais une tradition de grands écoles et de bourses
pour étudies à l’étranger, d’ailleurs les générations de 1800 à 1930 ont sans
aucun doute était les mieux formés de tous les générations de l’histoire
régional.
Ses hommes ici
mentionné aucun n’était Cantabre et ils ont donnée à cette région une
institution l’université internationale aujourd’hui Menedez Pelayo que cette
terre n’a jamais réclamer.
La tradition Cantabre était plutôt d’envoyer un des enfants
de la maison en voyage dans le pays mais aussi à l’étranger, et la voilà que la
proposition et de faire venir les hommes et femmes mieux formées d’Europe
données des cours et des conférences a Santander.
Enfaite je ne voulais pas parler de l’université mais de ses
fondateurs !
Menendez pidal est le seul qui n’est pas partie en exile il était plutôt à droit de l’échiquier
politique. Mais ne croyais pas qu’il n’a pas combattu le franquisme et les
idées totalitaires. Comme président de la royale académie des lettres, il
s’oppose à ce que les sièges vacant des exilées politiques soient remplacés
tant que les titulaires sont vivants.
En 1934 la république réprime avec une extrême dureté la
révolution asturienne et fait appelé à l’armée régulière venue du Maroc avec
déjà en 1934 franco a sa tête. Menendez pidal fait partit des intellectuels qui
protestent contre la république et cette dureté pour rétablir l’ordre. Mais en
1963 il est aussi dans les manifestations contre la répression franquiste dans
les Asturies. Il écrira un manifeste
avec d’autres intellectuels contre les tortures infligé aux familles des
mineurs grévistes asturiens. Menendez
Pidal le galicien !
Le physicien Blas Cabrera et le père de la physique moderne
espagnol et un des grands esprits de la science en Espagne. Amie de Paul Langevin
de Maurice de Broglie de Marie Curie
d’Albert Einstein et bien sûr son compatriote Torres Quevedo. Il est élu à l’académie française des
sciences sur proposition d’Albert Einstein ou il rejoindra son compatriote
Qevedo.
Blas cabrera le Canarien mourra en exile au Mexique.
Fernando de los Rios qui fût député puis ministre à deux occasions 1931 1933 de la justice puis de l’éducation et les arts
une des principales figure du socialisme. A la différence de beaucoup de ses
compagnons de parti il refusa la collaboration avec la dictature de primo de
rivera. Il fut exilé À New-York durant
la période 1923 1930 a son retour il se présente à l’élection est et élu député
pour Granada. Il a fait plus en un an pour l’enseignement et la culture que les
deux cents ans de droite libéral et conservateur.
Il démissionne en 1933 et est réélu député en 1936 puis
nommé ambassadeur en France durant la guerre il partira pour l’exile
définitivement à New-York ou il deviendra professeur à Manhattan.
Fernando de los Ríos
le malagueño il mourut a New-York.
Pedro salinas de tous il est mon préféré madrilène de
naissance, cet homme timide est discrète grand poète docteur en droit
philosophie et lettres. Professeur à l’université centrale de Madrid la
Sorbonne et Cambridge. À la fin de la
guerre civile il part pour Baltimore ou il sera professeur de l’université
Johns Hopkins et aussi celle de Porto
Rico.
Pourquoi mon préféré bien en plus d’être un homme d’idée il avait
compris avant les autres que l’homme se nourrie autant pars l’art la culture
que du produit de la terre. Il est le véritable inspirateur de l’université
international de Santander.
Puis sont discourt d’ouverture ; dans la péninsule ibérique
il y a la péninsule de Santander, dans la péninsule de Santander il y a la
péninsule de la Magdalena d’où se déversera l’esprit de la civilisation le
chemin de la liberté. Pendant trois ans
1933 1936 les plus grands artistes et scientifiques viendrons offrir leurs
travaux et réflexions. En plus ses hommes était véritablement amoureux de cette
terre de Santander ou à la différence du reste de l’Espagne, les troubles et l’agitation
avais pris un autre chemin celui de la confrontation intellectuel. Je croie
avec sincérité qu’ils rêvèrent pour l’Espagne cette résistance depuis plusieurs
siècles de cette Cantabrie, il pensé pouvoir l’offrir a tout le pays.
Ils se sont bien sur trompée et ses le contraire qui s’est
produit et c’est la bête qui a gagné la guerre. Mais dans le temps la bête et
chaque jour plus terroriser, elle a peur ne trouvent plus de nourriture que ses
propre enfants.
L’Espagne a peur de
la démocratie elle a peur de la liberté ont le voie bien aujourd’hui avec ses
forces ses pouvoirs qui se cache derrière nos politiques le plus terrible
autant de droite comme du parti socialiste qui résiste surtout à sa jeunesse
qui veut autre chose.
L’Espagne a une long tradition d’expulsion et maltraitance envers
ses enfants hier Pedro Salinas et ses amies et aujourd’hui qui ? Encore une génération à sacrifier à expulser à
détruire?
Il y a un chemin plus juste et ils le connaissent leurs
refus de justice et démocratie est insupportable !
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