lundi 2 mai 2016

L’université a Santander !





L’université de Santander et le seul legs  de la république qui a franchi la période franquiste.
Les autorités sorties des élections de 1931 à Santander proposent deux projets, l’autonomie de la région et le chemin de fer Santander Barcelone, la république rejette les deux demandes.
Fernando de los rios ministre de l’enseignement et des beaux-arts décide de créer avec Le poète Pedro Salinas le physicien  blas cabrera et le philologue et historien Ramon menendez pidal l’université d’été de Santander. Menendez pidal sera le premier recteur.
Santander avais une tradition de grands écoles et de bourses pour étudies à l’étranger, d’ailleurs les générations de 1800 à 1930 ont sans aucun doute était les mieux formés de tous les générations de l’histoire régional.
 Ses hommes ici mentionné aucun n’était Cantabre et ils ont donnée à cette région une institution l’université internationale aujourd’hui Menedez Pelayo que cette terre n’a jamais réclamer.
La tradition Cantabre était plutôt d’envoyer un des enfants de la maison en voyage dans le pays mais aussi à l’étranger, et la voilà que la proposition et de faire venir les hommes et femmes mieux formées d’Europe données des cours et des conférences a Santander. 
Enfaite je ne voulais pas parler de l’université mais de ses fondateurs !

Menendez pidal est le seul qui n’est pas partie en exile  il était plutôt à droit de l’échiquier politique. Mais ne croyais pas qu’il n’a pas combattu le franquisme et les idées totalitaires. Comme président de la royale académie des lettres, il s’oppose à ce que les sièges vacant des exilées politiques soient remplacés tant que les titulaires sont vivants.
En 1934 la république réprime avec une extrême dureté la révolution asturienne et fait appelé à l’armée régulière venue du Maroc avec déjà en 1934 franco a sa tête. Menendez pidal fait partit des intellectuels qui protestent contre la république et cette dureté pour rétablir l’ordre. Mais en 1963 il est aussi dans les manifestations contre la répression franquiste dans les Asturies. Il écrira un manifeste  avec d’autres intellectuels contre les tortures infligé aux familles des mineurs grévistes asturiens.  Menendez Pidal le galicien !

Le physicien Blas Cabrera et le père de la physique moderne espagnol et un des grands esprits de la science en Espagne. Amie de Paul Langevin de Maurice de Broglie de Marie Curie  d’Albert Einstein et bien sûr son compatriote Torres Quevedo.  Il est élu à l’académie française des sciences sur proposition d’Albert Einstein ou il rejoindra son compatriote Qevedo.  
Blas cabrera le Canarien mourra en exile au Mexique. 

Fernando de los Rios qui fût député puis  ministre à deux occasions 1931 1933  de la justice puis de l’éducation et les arts une des principales figure du socialisme. A la différence de beaucoup de ses compagnons de parti il refusa la collaboration avec la dictature de primo de rivera. Il fut exilé À New-York  durant la période 1923 1930 a son retour il se présente à l’élection est et élu député pour Granada. Il a fait plus en un an pour l’enseignement et la culture que les deux cents ans de droite libéral et conservateur.  
Il démissionne en 1933 et est réélu député en 1936 puis nommé ambassadeur en France durant la guerre il partira pour l’exile définitivement à New-York ou il deviendra professeur à Manhattan.  
Fernando de los Ríos le malagueño il mourut a New-York.

Pedro salinas de tous il est mon préféré madrilène de naissance, cet homme timide est discrète grand poète docteur en droit philosophie et lettres. Professeur à l’université centrale de Madrid la Sorbonne  et Cambridge. À la fin de la guerre civile il part pour Baltimore ou il sera professeur de l’université Johns Hopkins  et aussi celle de Porto Rico.
Pourquoi mon préféré bien en plus d’être un homme d’idée il avait compris avant les autres que l’homme se nourrie autant pars l’art la culture que du produit de la terre. Il est le véritable inspirateur de l’université international de Santander.
Puis sont discourt d’ouverture ; dans la péninsule ibérique il y a la péninsule de Santander, dans la péninsule de Santander il y a la péninsule de la Magdalena d’où se déversera l’esprit de la civilisation le chemin de la liberté.  Pendant trois ans 1933 1936 les plus grands artistes et scientifiques viendrons offrir leurs travaux et réflexions. En plus ses hommes était véritablement amoureux de cette terre de Santander ou à la différence du reste de l’Espagne, les troubles et l’agitation avais pris un autre chemin celui de la confrontation intellectuel. Je croie avec sincérité qu’ils rêvèrent pour l’Espagne cette résistance depuis plusieurs siècles de cette Cantabrie, il pensé pouvoir l’offrir a tout le pays.
Ils se sont bien sur trompée et ses le contraire qui s’est produit et c’est la bête qui a gagné la guerre. Mais dans le temps la bête et chaque jour plus terroriser, elle a peur ne trouvent plus de nourriture que ses propre enfants.
 L’Espagne a peur de la démocratie elle a peur de la liberté ont le voie bien aujourd’hui avec ses forces ses pouvoirs qui se cache derrière nos politiques le plus terrible autant de droite comme du parti socialiste qui résiste surtout à sa jeunesse qui veut autre chose.
L’Espagne a une long tradition d’expulsion et maltraitance envers ses enfants hier Pedro Salinas et ses amies et aujourd’hui qui ?  Encore une génération à sacrifier à expulser à détruire?   
Il y a un chemin plus juste et ils le connaissent leurs refus de justice et démocratie est insupportable !








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