Quand Federico Garcia Lorca arrive à New York il est très
vite profondément troublé, dans ses poèmes on constate le désespoir la solitude
d’un homme dans la ville. Ses poèmes sont édités dans deux éditions différant
une au États-Unis et l’autre en Espagne. il envoie deux manuscrits différents.
Un bilingue a Arofe Humhrise des éditions Norton et l’autre en espagnol a José
Bergamin de chez Séneca.
Lui qui viens d’une terre pauvre mais avec une histoire
riche de plusieurs millénaire, et New York la cité monde, le nouveau monde
encore plus tragique et misérable que son Andalousie natal.
(« La terre a le même âge partout, mais en Andalousie
plusieurs civilisation ont vu le jour ! »)
À New York il voit bien sur la statue de la liberté les
grands immeubles la richesse qui s’affiche, mais dans les rues lui il voit
surtout la misère la brutalité, la discrimination et les injustices, une
société de classes. Le nouveau monde et surtout le blanc est déjà plus malade
que le vieux monde. Son d’espoir est tel que du haut de la tour du Chrysler
building il pousse un cri à Rome.
(« New York. la nouvel Amsterdam est aussi brutal que
les peuples néerlandais. Les indiens Lenapes n’ont pas survécu pour le raconté.
La nouvelle Amsterdam rebaptisé New York du nom du duc de York deviens très
vite une ville monde. Tous les misérables les persécutés surtout en Europe,
mais pas qu’eux se retrouve là. New York et une ville d’une très grande
vitalité d’une très grande brutalité .je croie qu’elle écrase encore de nos
jours les plus fragiles de ses habitants. La crise des années 30 démontre que New York est
la capitale du monde puisque le monde entier est frappé par la crise. sa veut
dire aussi qu’un homme persécuté brutalisé dans son pays peu lui aussi devenir
une brute qui brutalise les autres. »)
Il finit par fuir
New York pour la Havane.
À cuba c’est différant même si les États-Unis cherche a
imposé leur vision du monde, le mélange culturel le mélange ethnique est bien
là, le poète retrouve un peu de paix !
(« L’histoire d’Espagne est terrible pas de problème à
le reconnaitre. Mais aussi beaucoup moins que la politique française Hollandaise
portugais ou anglaise dans les colonies. »)
Même l’esprit le plus
savant a besoin d’une identité, pour le poète Federico c’est sa Grenade. Il
retourne à Grenade ou la mort l’attend.
(«Personnellement je pense que l’on peut avoir plusieurs identités.
Et sans conflit entre les identités ou maitrisé. Je dis maitrisé parce que dans
mon enfance j’étais moi et un autre. Celui qui se montre que l’on voit très
limité avec une intelligence moyenne. Et l’autre capable de se déplacé à la
vitesse de la lumière. Qui n’a pas besoin d’anticipé puisque insaisissable au mouvement
bien plus rapide que celui de l’homme.la seul certitude et que j’ai c’est que
je ne l’ai pas sacrifié a de vaines promesses de futur. J’ai il est entendu une
analyse plus grande mais on ne peut pas la développée avec des phrases on est
obligé de construire des images, et une image fige un sujet dans le cadre.»)
L’identité :
L’identité la plus connu et ton prénom et ton nom, mais en
fait une autre est inscrite dans tes gènes. Tu grandi dans un environnement
culturel qui te construire une autre identité. Puis plus tard tu t’émancipe.
Cela ne veut pas dire que tu trouves ta véritable identité, au contraire
parfois ou même le plus souvent tu te perds et tu cherches un maitre un chef
pour te guidé dans ta confusion. Puis après l’égarement si tu ne trouves pas tu
reviens au père à la mère. Tu commences a leurs ressemblé en fait tu as échoué.
Puis la vieillesse l’oubli et la mort te prenne dans ta défaite. D’autres se
construise une identité qui les arranges un masque qui cache le visage d’une
réalité triste a mourir.
Une nouvelle société est déjà née, très différente de celle
de mon enfance. Elle a de bons côtés, mais l’être de raison est obligé de
constater toutes les failles. Toutes cette nouvelle technologie tout sais
nouveau instrument ne construit pas l’union ni la paix. Des tribus se
construisent une très grande violence contre ceux qui ne pense pas pareille. On
à plusieurs exemples les nouvelles technologies de l'information on réunit des
hommes et des femmes ; on peut prendre l'exemple de l'Égypte puis
finalement ce sont les forces de la brutalité qui ont repris le pouvoir. Et
soyons clair au sujet des forces pro-occidentales. Et soyons aussi assez clair
sur le sujet ce ne sont pas les peuples de l'Occident qui sont d'accord avec
cette situation. Ce sont nos forces politiques, les lobbys des industries de l’armement
et d'autres industries d'ailleurs. On attend toujours l'intervention américaine
au Venezuela et en Iran ? Il y a des imbéciles qui parle de durcir le discourt.
Faut-il réinventer une nouvelle démocratie ? Oui mais
on y arrivera pas !
La technocratie a pris le pouvoir, des ingénieurs de
l’économie des stratèges en gestions, le facteur humain lui est géré par le
politique à lui de se débrouiller pour apaiser les conflits. En Espagne les soi-disant
forces progressistes n’arrivent pas à s’entendre. En fait cela est simple à
comprendre, on ne veut pas que la rue entre au conseil des ministres. Parce que
les dossiers des ministres non pas était élaborés par leurs équipes puis
amender au parlement. Ce sont des dossiers des recommandations qui viennent
d’obscurs cabinets de lobbyistes. Le
politique se défende en disant qu'ils ont été mal compris qu'il s’est mal
exprimé qu'il y a manqué de pédagogie. Mensonge il est incohérent parce qu’il
ne vous a pas tout dit, la principal information et retenu dissimuler. Lui-même
ne comprend pas le dossier qu’il cherche à vous vendre. Il est entendu que
c'est plus complexe que cela bien sûr. Mais la contrepartie à tout cela c'est
que le populisme les idées les plus rétrogrades est en train de prendre le
pouvoir. On sait très bien que le capital sont accommode très bien, c’est même
le plan B du capitalisme. Moi ce qui me fâche le plus c'est que des petites
gens se laisse manipuler si facilement. On a l'exemple dans l’agriculture, ce
sont les paysans qui nous nourrisse et eux sont les plus pauvres, en plus aux
élections ils votent pour ceux qui les frappes a la tête le plus fort.
(« Tous les idéologies et croyances on échoués, mais
cela ne veut pas dire qu’il faut perdre espoirs. La démocratie elle aussi
semble patinée parce que certaine veule la transformée en idéologie elle aussi.
Mais la démocratie n’est pas une idéologie mais un mode de vie une suite d’idées
un lieu de rencontre. actuellement l’Europe ne se comporte pas bien , il ni a même
pas besoin de chercher loin ; criminaliser le secours en mer ou l’aide a
des misérables a la frontière et la preuve d’une démocratie malade . »)
Je reviens à l’identité.
L’identité se construit elle évolue elle se découvre.
L’identité est plus qu’un drapeau une tradition une croyance. Si on observe les
nouvelles nations qui se sont construit sur les décombres d’autres peuples ou
civilisations on peut parler d’hybridation réussie. Surtout les anciennes
colonies hispaniques. Même les autochtones pour nombre d’entre eux l’Espagne a signifié
une libération. Les Anglais les Hollandais les Français et même les Portugais
on et de loin mener des politiques coloniales plus destructrices. Je ne cherche
pas à minimiser ni a justifier les crimes de l'Espagne. Disons que les Anglais
les Hollandais surtout, les Français dans une moindre mesure ce sont plus occuper
de l'histoire des Espagnols et de l'Espagne que de la leur.
Les différences d’identités entre l’Europe et l’Amérique et
que l’Europe cherchent à l’interrompre et l’américaine est encore en évolution.
Et surtout dans les régions hispanique d’Amérique du sud du centre et caraïbe. Les
États-Unis et le Canada eux sont plutôt dans la recherche de l’interruption. Ils
ne réussiront pas l’échec sera même terrible dans un futur proche. L’Europe
aussi à se problème mais l’ennemie le différant est plus complique à
identifier. Pour prendre l’exemple de la France on voit bien que l’ennemi et
déjà le français de classe ouvrier ou le pauvre qui fait peur à la classe
bourgeoise détentrice du pouvoir. En France le pouvoir est vraiment détenu par
la classe bourgeoise, a dire la haute administration et le capital .c’est il
est vrai la tendance dans tous les pays ; mais ici sais claire.
En Espagne cela est encore différant se sont les régions qui
refuse la domination du centre, du pouvoir central. Surtout la catalogne et le
pays basque, mais ce ne sont pas les seules. Il faut dire aussi que le pouvoir
central en Espagne ne répond jamais à la périphérie. Elle a délégué aux régions
tous se qui l’ennuyait, et ensuite elle répond avec brutalité pour soi-disant
rétablir l’ordre constitutionnel. C’est assez génial un pouvoir central qui n'a
jamais aimé les constitutions qui a toujours gouverné par ordonnance réclamer
l'ordre constitutionnel. Encore une contradiction typiquement espagnol, une
espagnolade !
On voie avec le procès catalan que l'Espagne veux des
tribunaux, un droit, mais que la Constitution elle est mineure elle est
secondaire. L’Espagne est une démocratie sur papier certains comportements mais
il y a une vision qui se croit supérieur à la démocratie.
Les deux Espagnes c’est déplaisant surtout qu’il y en a plus
de deux.
L’Espagne retrouvera l’unité le jour ou la peur disparaitra
et les espagnols pourront le revendique réellement. Aujourd’hui ce n’est pas le cas. Le modèle électorale
le modèle territoriale ne le permet pas. Les découpages on était organisé
justement pour empêcher au peuple la vraie prise de pouvoir.
a la recherche de t’on vais nom !