Actuellement en France les hommes de lettres non pas
grand-chose à dire, ils écrivent et traite de sujets sans profondeur, ou ils
écrivent sur leurs maitres ceux qui les ont devancés.
Les philosophes non
rien à dire et quand ils s’engagent ils s’engagent du coté de la violence et la
haine. Ils leurs arrives de traité de sujets sans avoir mi la main a la
pâte. Cervantès a propos de don Quichotte a écrit, lui l’épée et moi la plume, lui et moi nous somme un. Dans
le roman de don Quichotte, moi je suis Sancho Panza, le seigneur perd l’esprit
dans la lecture de ses romans de chevaleries et le paysan s’instruit au
contacte du chevalier a la triste figure et durant le voyage dans la plaine du
Montiel.
Ici et aujourd’hui tous a bien changer les romanciers sont
des professionnels des lettres, ils maitrisent la grammaire et la syntaxe, leurs
sujets est recherché sur internet et travail derrière leurs bureaux, ils vont a
l’écriture comme moi a l’atelier ; avec la différence que eux ils travail
quand il veules. Le monde est malade et eux n’aperçoives rien ils sont comme
des docteurs sans médecines, des chirurgiens sans instruments. Ils ne défendent
plus la justice ils ne se rangent plus derrière celui qui revendique encore
plus de démocratie, mais derrière la puissance de l’argent.
Les mondes possibles n’existent plus dans leurs têtes.
La diversité du monde ne leurs intéresses plus, bientôt ils
vont écrire la chronique sans saveur d’un penseur qui n’avais pas grand-chose à
dire ! Il est loin le temps ou les troubadours et les bohémiens portés des
nouvelles et la fête dans les places des villages et villes.
Ou est votre place dans ce monde ceux qui cherche la douceur
la tendresse ou ceux qui prépare le conflit qui viens ? Vos corps ne sont
pas préparé a affronté la tempête et vos brillants esprit ne trouveront pas les
mots qui vous sauverons du désastre. Pour vivre la vertu il faut courir travers
les champs et la ville, sauter pour travers la rivière. L’humain et construit
pour vivre dans la pénurie, pour combattre les démons qu’il porte en lui, et
non pour se laissé envahir pars ses pensé obscure, vous ne reconnaisses plus
votre frère, vous l’avais mi a la porte de vos vies, il est devenu le rebelle
qui vous fait si peur !