Pas d’évolution sans mémoire ; tous indique que tous en
nous est mémoire, la science chaque jour nous le démontre. La mémoire du récit la mémoire inscrite dans
nos cerveaux n’est pas forcement la plus importante, en plus elle est la plus
facilement manipulable. La mémoire de la cellule elle nous indique notre
cheminement et aussi les ajouts les transformations les adaptations
l’évolution. On est très loin de tous
comprendre et sans-doute on ne comprendra jamais le jour d’avant la vie, mais
la cellule a une mémoire qui la rappelle à ses origines d’avant la vie telle
que nous la connaissons la comprenons.
L’être est esclaves de lui-même mais aussi de tous se qui l’entoure la fenêtre de son évasion est son
imagination, mais il est dans l’impossibilité de transmettre est se réalisé
sans le corps, définitivement l’être n’est pas que spirituel il est surtout
corporel. Sans un corps il ni a pas d’esprit, aucun
preuve de l’existence d’un souffle sacre sans un corps. Même le dieu du livre n’a pas d’existence sans
qu’une main nous l’accouche par un récit.
Notre monde est encore
très beau et les blessures que l’homme lui inflige ne sont dangereuse que pour
la vie et la nôtre, la terre elle se régénéra avec ou sans nous. Nous avons besoin de changer de modèle économique,
mais voilà que les pays et les dirigeants sont convaincus que pour trouver des
solutions au chômage et la pauvreté il ni a que la relance et l’investissement,
une fuite en avant. Le modèle semble gagnant, mais pas pour longtemps, et
certaine alternatif comme transformée l’agriculture en fournisseur d’énergie représente
un grave danger, et un appauvrissement des terres arables.
Un peut d’histoire pour comprendre !
Tout le monde se souvient du filme les raisins de la colère
de John Ford avec henry Fonda tiré du
roman de John Steinbeck du même nom. Ce
roman et tiré d’un évènement qui c’est réellement produit dans l’Oklahoma, bien
sur le romancier lui parle d’une famille de métayer très pauvre qui quitte l’Oklahoma
pour la Californie. En pleine dépression 1939 l’aventure des Joab sur la route 66.
Une tempête de sable ruine la famille les terres non rien
produit et ils sont endette, pas d’autre solution que de reconstruire leurs vie
ailleurs, la Californie !
Mais sous le réalisme du roman il y a une autre vérité encore
plus réelle, les vents de sables la sècheresse, il y a aussi la méconnaissance
de ses gens du travail de la terre, ils ont détruire les terres arables en labourant
trop profondément, l’humus a était détruit
et sans humus impossible de produire des végétales. Bien il faut savoir que le
monde perd plus de 10 % de ses terres chaque année, plus de cent mille kilomètre
carre. Pollution par les engrais mauvais laboure manque d’eau désertification,
et manque de variété produite. Bien aujourd’hui sous la pression économique nos
paysans travaille de plus en plus mal ils ne comprennent même plus leurs métiers
et les besoins de la terre.
Pourquoi je parle d’un roman dans la mémoire des territoires
et des peuples ? Bien le romancier
lui construire une histoire humaine ses misères et parfois ses petits bonheurs.
Le philosophe lui cherche des réponses à ses interrogations les scientifiques
des solutions à nos besoins, le romancier lui raconte la vie, d’une misère et
une route il raconte les espoirs de l’être de l’humain !
Le philosophe et le scientifique finalement apporte plus d’interrogation
que de réponse, et si les gens les peuples ne sont pas bien préparer former a
la réflexion bien ils vont encore plus se perdre dans l’environnement.
Ce n’est pas un slogan les hommes et femme doive retourner à la
lenteur au jardinage a la page de lecture,
ouvrir pour de vrais les yeux regardé la nature le cosmos, ne pas avoir peur d’aimer
un arbre une rocher. L’esprit n’a pas d’existence sans un corps, l’esprit et
née du corps et pas l’inverse, même si aujourd’hui il se nourrir plus de ses combinaisons
que de son environnement, il se trompe si il se détache de la nature et le cosmos.
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