dimanche 24 janvier 2016

Pas d’évolution sans mémoire !



Pas d’évolution sans mémoire ; tous indique que tous en nous est mémoire, la science chaque jour nous le démontre.  La mémoire du récit la mémoire inscrite dans nos cerveaux n’est pas forcement la plus importante, en plus elle est la plus facilement manipulable. La mémoire de la cellule elle nous indique notre cheminement et aussi les ajouts les transformations les adaptations l’évolution.  On est très loin de tous comprendre et sans-doute on ne comprendra jamais le jour d’avant la vie, mais la cellule a une mémoire qui la rappelle à ses origines d’avant la vie telle que nous la connaissons la comprenons.
L’être est esclaves de lui-même mais aussi de tous se qui l’entoure  la fenêtre de son évasion est son imagination, mais il est dans l’impossibilité de transmettre est se réalisé sans le corps, définitivement l’être n’est pas que spirituel il est surtout corporel.   Sans un corps il ni a pas d’esprit, aucun preuve de l’existence d’un souffle sacre sans un corps.  Même le dieu du livre n’a pas d’existence sans qu’une main nous l’accouche par un récit.
 Notre monde est encore très beau et les blessures que l’homme lui inflige ne sont dangereuse que pour la vie et la nôtre, la terre elle se régénéra avec ou sans nous.  Nous avons besoin de changer de modèle économique, mais voilà que les pays et les dirigeants sont convaincus que pour trouver des solutions au chômage et la pauvreté il ni a que la relance et l’investissement, une fuite en avant. Le modèle semble gagnant, mais pas pour longtemps, et certaine alternatif comme transformée l’agriculture en fournisseur d’énergie représente un grave danger, et un appauvrissement des terres arables.
Un peut d’histoire pour comprendre !
Tout le monde se souvient du filme les raisins de la colère de John Ford avec henry Fonda  tiré du roman de John Steinbeck du même nom.  Ce roman et tiré d’un évènement qui c’est réellement produit dans l’Oklahoma, bien sur le romancier lui parle d’une famille  de métayer très pauvre qui quitte l’Oklahoma pour la Californie. En pleine dépression 1939 l’aventure des Joab  sur la route 66.
Une tempête de sable ruine la famille les terres non rien produit et ils sont endette, pas d’autre solution que de reconstruire leurs vie ailleurs, la Californie !
Mais sous le réalisme du roman il y a une autre vérité encore plus réelle, les vents de sables la sècheresse, il y a aussi la méconnaissance de ses gens du travail de la terre, ils ont détruire les terres arables en labourant  trop profondément, l’humus a était détruit et sans humus impossible de produire des végétales. Bien il faut savoir que le monde perd plus de 10 % de ses terres chaque année, plus de cent mille kilomètre carre. Pollution par les engrais mauvais laboure manque d’eau désertification, et manque de variété produite. Bien aujourd’hui sous la pression économique nos paysans travaille de plus en plus mal ils ne comprennent même plus leurs métiers et les besoins de la terre.
Pourquoi je parle d’un roman dans la mémoire des territoires et des peuples ?  Bien le romancier lui construire une histoire humaine ses misères et parfois ses petits bonheurs. Le philosophe lui cherche des réponses à ses interrogations les scientifiques des solutions à nos besoins, le romancier lui raconte la vie, d’une misère et une route il raconte les espoirs de l’être de l’humain !    
Le philosophe et le scientifique finalement apporte plus d’interrogation que de réponse, et si les gens les peuples ne sont pas bien préparer former a la réflexion bien ils vont encore plus se perdre dans l’environnement.  
Ce n’est pas un slogan  les hommes et femme doive retourner à la lenteur  au jardinage a la page de lecture, ouvrir pour de vrais les yeux regardé la nature le cosmos, ne pas avoir peur d’aimer un arbre une rocher. L’esprit n’a pas d’existence sans un corps, l’esprit et née du corps et pas l’inverse, même si aujourd’hui il se nourrir plus de ses combinaisons que de son environnement, il se trompe si il se détache de la nature et le cosmos.

    
      


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