samedi 9 janvier 2016

Notre environnement !




Ce ne sont pas les patrons qui créent l’emploi mais l’environnement !
Les nouvelles puissances économiques montantes son elles aujourd’hui en crise, aujourd’hui la crise et globale, le libéralisme a réussi a créé l’effet papillon ou des dominos.
Il y a une confusion sur le libéralisme, le terme ne correspond pas à l’intention de ceux qui sans revendique. Premièrement ils ont besoin plus que personne de la puissance publique, leurs revendication est simple que l’état ne regarde pas ce qu’ils font en affaire et que l’état les protèges et garantisse l’impunité.
Ce que les gens le citoyen  ordinaire ne comprend pas en économie et pourquoi lui et obligé de donner des garanties pour accéder au crédit. Bien sûr il dépend du niveau de crédit et de l’utilisation de ce dernier .pour une voiture un emploi stable est suffisant, pour une maison il y a l’hypothèque,  pour un projet plus importent la signature d’un tiers comme garantie etc.
Le libéral lui n’a pas besoin de tout ça, la puissance publique est la derrière lui en qu’a de banqueroute. L’état viendra au secours !
Aujourd’hui dans le monde circule plusieurs fois la richesse réelle de l’activité humaine et même du patrimoine  des pays « je mais le patrimoine entre parenthèse parce que il y a des richesses qui non pas de prix ». Ce phénomène qui est très dangereux fait que des bulles spéculatifs se crées et que majoritairement le surplus de liquidité finie dans la dette des états plutôt qu’à l’investissement et la recherche.
Pour combattre se phénomène il ni a que très peut de solution et beaucoup de courage, combattre l’évasion fiscale et faire réellement payés l’impôt et taxe aux grands groupes.
Il y a aussi une nouvel orientation à donner à l’investissement et dans tous les secteurs d’activités, les plus importants l’agriculture l’agroalimentaire l’industrie, l’énergie les nouvelles technologies, les transports, et les services surtout le tourisme, la construction, le logement bien sûr.
Les politiques sous la pressions du capitale et du patronat, finalement ne touche pas au modelé et au contraire joue a les renforces dans l’augmentation du capital et la protection du patrimoine.
Puis bien sûr il y a le citoyen qui est devenu un consommateur et refuse de renoncé à cette facilité, et plus grave il veut consommer 7 jours sur 7 et les 24 heures.
Mais voilà les chiffres les limitations sont là est bien réelle, pour que les citoyens les mieux préparé et plus riche continu leur consommation de plus en plus de citoyens devons se contenté des miettes.
 L’effet papillon est à double sens un jour il ni aura pas retour sur investissement, à dire sur faux investissement plus de consommateur pour les produits proposés.  
Nous sommes déjà dans la fuite en avant, dans la surproduction le gaspillage et la pollution qui inonde et détruit tout.
 Des solutions existe mais elles sont complexe à mettre en place, en plus avec la baisse du prix du pétrole et des matières premiers complique le travail. Mais ne pas se mentir se phénomène conduit a la ruine de nombreux projets et réellement nous entrons dans une guerre économique, une relance de la consommation absurde.
L’homme est préparé et à évoluer pour vivre dans le manque la recherche. Construire des outils et des idées, avoir des projets  des illusions et espoir, mais dois éviter d’être rongé par l’ambition.   
Le plein emploi n’existe pas  chaque pays à une formule plus au moins efficace, chaque pays à ses pauvres qu’il cache comme il peut. Pour mieux comprendre il faut marche au milieu du peuple posé sens humilier les bonnes questions.  
Moi j’avoue que j’avais à la maison deux et même quatre professeurs, surtout deux bien sur mon père et ma mère.  
Cette vieille génération sociable qui  parle avec tout le monde,   et pas qu’avec la caissière au magasin du coin ou la boulanger, non vraiment avec tout le monde.
 Bien moi au quotidien je suis en difficulté de m’informer mais je profite des vacances pour aller à l’autre lui parler avec douceur, et surtout l’écouté.  Et vraiment la mine d’info et bouleversante.
Dans nos sociétés chaque pauvres a sa particularité sont parcours, mais on peut le classé en quatre groupes.
  Il y a un pauvre que la société devra prendre toujours en charge. Il à une maladie un handicap qui le fragilise, pour lui la solidarité de la nation doit être total sans faille.
Il y a un autre pauvre, donc moi j’aurais dû faire partit si je n’étais pas née dans la bonne famille ; à dire  celui qui a l’école na pas bien étudier et passé à côté de l’enseignement. Pour lui la nation doit le reformé lui donner d’autres chances, il ni a pas de raison que l’échec sois permanent.
Puis j’ai rencontré d’autre pauvre donc j’ai beaucoup de difficulté à comprendre le parcours chaotique. Ils sont bien formée ont fait de bon parcours scolaire .mais ils sont la parmi les pauvres. Souvent se sont des femmes avec des enfants qui se battent au quotidien seul, aussi des hommes qui ont perdu le lien avec leurs entourage, et sont en crise avec eux-mêmes.  
Mais il y a un autre pauvre qui vient directement de l’administration du politique de la société. Il est pauvre parce qu’il a était écarté mis de côté dans le territoire et aussi dans l’emploi. On l’oblige à mener une vie faite de petit trafique d’économie parallèle, et chaque jour plus nombreux.
Ce pauvre un jour renversera le pouvoir et les codes de nos sociétés, il répondra à notre violence et surtout la violence de l’état l’administration par la révolution et le renversement.  Ce pauvre n’est pas un vrai pauvre il est la conséquence de nos politiques. Il est né des autres misères décrites ici plus haut. Ce sont les enfants des autres pauvretés !

    
  

        



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