dimanche 1 novembre 2015

Jenaro



Jenaro Garcia Falagan née le 26 octobre 1897 Cueto disparu le 26 octobre 1953 ,56 ans le jour de son anniversaire a Cueto, au pont du diable. Son corps n’a jamais était retrouvé !
Militaire dans la cavalerie puis lieutenant de la garde civil ; a participé à la guerre du rif.
Veuf avec trois enfants, Elvira Matias et Teleforo ?marier en deuxième noce le 4 mai 1931 avec Segunda ma grand-mère  enfants Nieves Virginia Enrique et Facundo, ma mère Virginia «surnom la Uca ou la Japonesa ».
Durant la période républicaine il a fait son travail, puis à l’entrait des troupes franquiste en1937 il a fait partit de ceux qui on était épuré.
Chômeur ouvrier et trésorier de la mutuel ouvrier, il a eu une vie très difficile et compliqué jusqu’à sa mort.  Pour se protégé des phalangistes et autre voyou d’extrême droite, il avait un petit carnet avec des noms de personnalité qui avais commis des délits et crimes durant la période républicaine et de guerre. Ce petit carnet et le pistolet est toujours entre les mains de la famille. Puis nous avons aussi un dossier élaboré pars l’administration franquiste le concernent. Qu’un fonctionnaire de l’administration de la justice nous a transmis.
 Dans le dossier ont sais qu’il était considère comme dangereux et un homme à surveiller, mais on sait aussi qu’il était surveiller pars un membre de sa propre famille qui appartenais au mouvement national « les phalangistes », son cousin José Falagan Cuernos. Comme dit ma mère bien franchement si il y avait un voyou et un homme dangereux dans le village cette bien lui.
Ma mère quand elle rencontre ses cousins les fils de pépé elle leurs dit sais quand que vous allez nous rendre ce que votre père nous a volé. Et eux lui réponde mais sais le passé, on a rien avoir avec tout cela. Mais votre père était avec le curé et les phalangistes le jour où ils sont venus arête mon père, et où ils ont vidé la maison, ils nous ont tous prit les lits et même les chevaux qui ont fini chez vous, les chevaux pour mon père cette tous sa vie, la seul richesse qu’il lui resté.    












la famille sans lui





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