lundi 9 novembre 2015

donné un nom



 La connaissance est la capacité à nommer les choses évènement  objet et sujet, pour les imbéciles, étudié analysé le vivant la faune  et  la Flore  réfléchir est expérimenté, à la fin on nomme ; conclusions,  on peut leurs attribuer un nom.
Sais une capacité que très peut d’homme et femme ont ; un exemple les politiques ont la mauvaise idée de donné un nom à leurs réformes, pas toujours très convaincant, il s’agit souvent de leur propre nom.
En économie c’est différent pour la grand majorité ils pensent que c’est très complexe et il y a même des écoles pour former les économistes. Autant dire tout de suite que c’est pareille que la religion ou l’astrologie. Une construction fabriquée sur des conjonctures des suppositions des approximations des augures et autres prédications. A la différence d’une vrai science qui cherche à simplifier et éclaircir, apporté des réponses pertinentes, et construire un procédé intégrateur, même si cela reste très complexe pour la grand majorité le bu et l’émancipation pars la connaissance.
Donc l’économie n’est pas une science et pourtant chaque évènement de nos vie et une dépense une usure, l’homme la femme na que lui pour construire, enfaite même en s’économisent on n’économise pas, notre organisme et construit pour l’usure le vieillissement et la mort.  La première des connaissances de l’être est le pleur pour avoir le sein de sa mère, ça se complique plus tard.
Le pouvoir lui a toujours pour origine la capacité d’offrir un espoir une idée un projet un idéale, les hommes l’on pervertie en proposent une race supérieur un ennemie à détruire ; en pointent un doigt accusateur pour désigner un ennemi souvent un pauvre diable comme repoussoir et celui qui maudit nos travaux.  « Il faut le détruire »  
Un jour les hommes et femmes ont décidé de passé du troc à donner une valeur monétaire a nos échange ,et le pouvoir à changer de main ,très difficilement mais il a changé et le puisant est celui qui fabrique l’argent , le plus souvent les états et nations . Mais depuis une centaine d’année et surtout ses derniers temps ceux qui fabrique l’argent et marque le rythme se sont les banquiers les spéculateurs et autres organismes comme par exemple les fonds de pensions les réserves stratégiques des puissances pétroliers etc.
On ne peut vraiment bien savoir l’argent qui circule dans le monde est nos économie, mais pour sur plusieurs fois nos réelle besoin pour faire du commerce. Donc les états sont condamnés à faire souffrir une partie chaque fois plus importante de sa population pour rembourser non les placements mais l’endettement.
 Historiquement la dette n’a jamais était remboursée, les rois et empereurs fessais assassinée les financiers. Puis plus récemment les états utilisé l’inflation pour réduire la dette. On passe sous silence les guerres la spoliation le trafic d’esclave et une longue suite d’atrocité.
Bien nous y voilà !  Être pauvre et ne plus avoir d’emprise sur sa propre vie être a la merci de celui qui détient la clef du coffre-fort, a dire la machine a fabriqué l’argent. Celui qui décide de la valeur du travail et du produit. Les économistes eux prétendes que c’est le marché qui décide mais la réalité se sont eux de façon arbitraire et selon leurs intérêts qui décides.
Et l’état qui devrais regarder l’intérêt général  qui est élu de façon démocratique, bien ils ne font rien et sont aux ordres du capital.
La connaissance et liberté  l’émancipation, la religion est condamnée à complexifier sont discourt l’entourait de mystère. Ils tordent tellement les mots que même eux se perde sur leurs chemins. Pour l’économie sais pareille, ils construisent une liturgie et un message de plus en plus complexe aujourd’hui eux-mêmes ne contrôle plus le monstre qu’ils ont construit. Et ils savent très bien qu’un jour le monstre les anéantiras eux aussi !      

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