lundi 16 novembre 2015

l’âme vagabonde !



Pas facile d’approfondir sur tous les âneries pour leurs données une réponse qui de tous façon ne changera rien. Les hommes on construits des cathédrales des mosquées des synagogues,  des temples a leurs diverses divinités dieux et déesses. Ils ont construits des rituels des pèlerinages des sacrifices et autre prières.
Pas une seule religion n’a évité la mort des êtres aimées, et pourtant on ne peut rien à se désire de croire en quelque  chose plutôt quand rien.
 J’ai lu quelque pars que l’homme dois se rapproché de lui-même apprendre à se connaitre et si tu n’aimes pas ce que tu découvres en toi, bien cherche a ressemblé a un autre trouve toi un maitre. Le problème est que l’esprit vide l’homme sans racine qui ne trouve pas le lieu, le plu souvent s’égare encore d’avantage.
Tous les hommes ont cherché à comprendre, moi non paradis ma vie éternel, je l’ai trouvée avant ma dixième années sur mon arbre au bord de la rivière derrière la cité. Une fois sur mon arbre dans cette cabane je ne voulais plus y descendre, la rencontre avec les autres ne m’intéresse pas. Ma recherche se portée dans le peuple de la forêt. Un peuple tellement rusé subtile qu’il ni avais pas moyen de le surprendre. Puis un jour l’amour ou le désir peut importer est passé par là, il a fallu descendre de l’arbre ouvrir l’esprit pour comprendre établir le contacte, perdre se monde ou je ne trouvée très bien, s’aventurer chaque jours plus loin du lieu confortable du lieu de repos pour mon petit esprit déjà tourmenté.
Aujourd’hui je sais que mon pays ma culture personnel et mon enfance et que mon royaume et là au bord de cette rivière dans cette forêt dans na cabane inaccessible pour les autres enfants de la citée. La été mon observatoire le lieu de la rencontre.
Finalement j’aurais peut faire ermite, mais moi je n’étais pas un enfant  de réflexion, plutôt d’action courir sauter grimper nager chercher gratter la terre pisté les animaux de la forêt, et fabriqué des instruments de chasseur, et pourquoi ne pas le dire de guerrier. J’ai peut-être eu la chance de ne pas avoir à ne révolté contre le père, lui ne nous donné aucun ordre aucun leçon il n’a jamais levais la main ni la voix contre ses enfants, il était pourtant l’exemple même de l’homme courageux du grand bâtisseur de vie l’infatigable travailleur, avec ses mains tous ce qu’il touché se transformé en richesse pour sa maison, et lui vivais comme un pauvre, comme un homme sans aucun besoin sans le moindre lux. Et pourtant enfant moi je le voyais comme un homme soumit  a sa famille, a sa femme et ses enfants, a son jardin et à ses animaux, puis je le voyais partir à son travail, et le soir je savais qu’il serait la dans la cabane de jardin a s’occuper de ses poules et lapins ou dans son jardin a le nettoyais.
Là ou moi je voyais de la soumission, pour lui visiblement c’était la liberté. Mon père est restais un mystère pour moi un homme différant  étranger, un esprit impénétrable.  Il a toujours marché devant nous, ma mère indiquer la direction et lui il y aller, puis il revenait nous chercher !    
 Moi je n’ai pas de religion ni suis superstitieux je ne me tourment pas pour l’au-delà, je cherche juste la paix ici et maintenant, je ne comprends pas ce que recherche tous ses extrémistes. Pourquoi ils veulent limiter nos libertés pourquoi ils veulent nous faire entrer dans se moule inadapté ? Pourquoi ils nous obligent au combat à défendre des libertés qui pourtant elles sont aussi pour eux !   
Moi je ne cherche pas un autre monde que celui-ci, d’ailleurs je veux dire aux croyants, que j’ai lu les écritures que vous revendiqué sainte. Et le paradis et la vie éternel qui est promis dedans, et ici se n’ai pas une promesse pour un lieu céleste. Et pour moi c’est non enfance la est mon paradis le lieu de non insouciance de la douceur de vivre, la paix la rencontre entre le corps et l’esprit, l’âme vagabonde !       

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