Depuis la mort de Benito
Pérez Galdós il ni a plus de romancier en Espagne pour écrire la suite des épisodes
national.
Quand je vais en vacance a Santander se qui n’impressionne
le plus est la villa palace, la résidence d’été de Benito Pérez Galdós. Je ne vais pas raconter sa biographie il faudrait
l’étudier, juste savoir qu’il est née aux iles Canaries. Qu’il a était député
de Guyana une ile de Port Rico, durant l’ancien régime puis député républicain en
1907. Je l’imagine bien se promènent sur le parcourt et promenade Reina Victoria
comme tout la bourgeoisie de l’époque. Il fait parti de ses romanciers qui ont réussie
à vivre de leurs plumes, chose exceptionnel à l’époque ; née1843 mort
1920.
Dans ses romans il décrie très bien la bêtise espagnole, il
se moque de ses contemporains. Il décrie comme personne le snobisme de cette
bourgeoisie espagnole qui avais peur de la ruine et qui sans aucun effort ni mérite
se trouvé a administré les richesses que les ancêtres leurs avais transmit, le
plus souvent des richesses acquit de façon pas très honnête. Je ne suis pas sur du pourquoi il a choisie Santander
comme résidence d’été ? Santander comme Saint-Sébastien était à la mode au
milieu du 19 siècle début 20. Pour Santander l’époque fut extraordinaire, la renaissance
montagnarde le siècle d’or qui durera depuis le départ des troupes impériale napoléonienne
1814 a la guerre civile 1936. Malgré les troubles les désordres les guerres
civiles et internationales de cet parti de l’histoire espagnol. Santander le libéral
de gauche le républicain de droite et de gauche atteint un niveau social sans précédent
dans sont histoire personnel, encor de nos jours elle survie sur le travail et
la réussite de ses générations exceptionnel.
Benito Perez Galdós a très peut écrie sur Santander, cette
terre pour lui devais sans-doute représenté cette Espagne qui travail du matin
au soir cette activité permanente. Si il
revenait aujourd’hui parmi nous et qu’il apprenait se qui est arrivée a la
ville de Santander et sa région, le désastre de 1936 la mort et l’exile, cette léthargie
cette mort lente qui n’en fini pas. L’ignorance
au pouvoir, cette haine sourde se manque de liberté, puis surtout de tout le
travail les grandes institutions que la région et la ville de Santander avaient
construit il ne reste rien que la banque de Santander qui n’apporte plus rien a
cette terre. Mais sa villa est toujours là face à la plage du sardinero. À chaque
fois que je passe devant je jeté un regard sur le jardin pour voir si il apparait,
mais rien alors je l’imagine discutent avec le Marquis de Pombo ou Augusto Gonzalez,
ou qui sais avec mon arrière grand mère Rosa qui livrais chez lui le lait et
les produit de la huerta !
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