dimanche 17 mai 2015

Benito Pérez Galdós



 Depuis la mort de Benito Pérez Galdós il ni a plus de romancier en Espagne pour écrire la suite des épisodes national.
Quand je vais en vacance a Santander se qui n’impressionne le plus est la villa palace, la résidence d’été de Benito Pérez Galdós.  Je ne vais pas raconter sa biographie il faudrait l’étudier, juste savoir qu’il est née aux iles Canaries. Qu’il a était député de Guyana une ile de Port Rico, durant l’ancien régime puis député républicain en 1907. Je l’imagine bien se promènent sur le parcourt et promenade Reina Victoria comme tout la bourgeoisie de l’époque. Il fait parti de ses romanciers qui ont réussie à vivre de leurs plumes, chose exceptionnel à l’époque ; née1843 mort 1920.
Dans ses romans il décrie très bien la bêtise espagnole, il se moque de ses contemporains. Il décrie comme personne le snobisme de cette bourgeoisie espagnole qui avais peur de la ruine et qui sans aucun effort ni mérite se trouvé a administré les richesses que les ancêtres leurs avais transmit, le plus souvent des richesses acquit de façon pas très honnête.  Je ne suis pas sur du pourquoi il a choisie Santander comme résidence d’été ? Santander comme Saint-Sébastien était à la mode au milieu du 19 siècle début 20. Pour Santander l’époque fut extraordinaire, la renaissance montagnarde le siècle d’or qui durera depuis le départ des troupes impériale napoléonienne 1814 a la guerre civile 1936. Malgré les troubles les désordres les guerres civiles et internationales de cet parti de l’histoire espagnol. Santander le libéral de gauche le républicain de droite et de gauche atteint un niveau social sans précédent dans sont histoire personnel, encor de nos jours elle survie sur le travail et la réussite de ses générations exceptionnel.
Benito Perez Galdós a très peut écrie sur Santander, cette terre pour lui devais sans-doute représenté cette Espagne qui travail du matin au soir cette activité permanente.  Si il revenait aujourd’hui parmi nous et qu’il apprenait se qui est arrivée a la ville de Santander et sa région, le désastre de 1936 la mort et l’exile, cette léthargie cette mort lente qui n’en fini pas.  L’ignorance au pouvoir, cette haine sourde se manque de liberté, puis surtout de tout le travail les grandes institutions que la région et la ville de Santander avaient construit il ne reste rien que la banque de Santander qui n’apporte plus rien a cette terre. Mais sa villa est toujours là face à la plage du sardinero. À chaque fois que je passe devant je jeté un regard sur le jardin pour voir si il apparait, mais rien alors je l’imagine discutent avec le Marquis de Pombo ou Augusto Gonzalez, ou qui sais avec mon arrière grand mère Rosa qui livrais chez lui le lait et les produit de la huerta !

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