samedi 16 mai 2015

A la recherche de l’âme dans la racine !



                              
Dans la littérature le premier homme qui aboli le sacrifice était Abraham, il brisa la tradition du sacrifice humain et du premier née ! Il eu aussi l’intelligence de rejeté tous les dieux pour se tournée vers un dieu plus proche plus accessible. Il se tourna vers un dieu de compassion qui ne te demander rien, et au quel tu pouvais confier tous tes inquiétudes.
Moise plus tard construit une loi aussi très proche de l’humain, il prétendit même dans ses écries qu’il n’abolit pas le sacrifice animale parce que le cœur du peuple était trop dur, mais à l’ origine il en était pas ainsi.
Plus tard dans la longe marche du peuple hébreu, et sont installation a Canaan, et la longue tradition prophétique, le prophète Jérémie révèle a Israël les origines de sa naissance et le pourquoi des malheurs qui l’accable. Un passage d’une beauté surprenante !
Ton père était un Amoréen et ta mère une Hittite, le jour de ta naissance tu a était jeté a terre sans aucun compassion avec ton cordon ombilical pas coupé, et moi je passe pars là ! Je tes vu tu patauger dans ton sang, et j’ai dit qui que tu sois vie. Je tes laver dans le fleuve Jourdain, je tes nourrie de la farine des fleurs et du miel des abeilles, et du lait des chèvres sauvage du dessert et tu a grandit là.  Puis et venu le temps de l’amour, tes cheveux étaient magnifiques et ta poitrine c’est développé. Je tes fait entré sous ma tente, et j’ai dit je vais faire une alliance avec toi, je serais ton père et tu seras mon enfant. J’ai mi une robe sur toi pour couvrir ta nudité et des chaussures a tes pieds, des bracelets a tes bras et ton cou et une couronne a ta tête, tu étais prête pour devenir reine !
Et toi qu’a tu fait femme, te voyant riche et belle tu as planté ta tente au bord du chemin et tu as fait de ton lit un lit d’impudicité tu as couché avec tous les hommes qui passé et tu à eu de nombreux enfants que tu à abandonnée. Aujourd’hui tous tes amants te méprise et cherche a te tué, tu à dit en toi je ne retourner pas vers mon père, et tu a était  caché ta honte aux milieux du dessert. Alors j’ai envoyé mes ambassadeurs vers toi avec un message de pardon, si tu reviens a la maison de ton père, je confirmerais encor mon alliance avec toi, je serais toujours ton père et tu seras mon enfant. Puis comme tu ne revenais pas j’ai envoyé tes enfants a ta rencontre, et tu as dit mais d’où vienne ses nombreux peuples, qui est leur mère ? Toi la femme vieille et séché tu à pleuré, tu a encor eu plus honte de toi, avec ta robe déchiré une corde pour ceinture et tes cheveux blanc attaché avec un lacé. Tous la richesse que je t’avais donné tu la lapidé, tu à fait le contraire de se que font tous les femmes tu as payé pour commettre tes faux. J’étais là parmi la foule de tes fils et filles, je me suis approché de toi et tu ne ma pas reconnu, et je tes dit femme, si tu reviens je ferais de toi une reine de justice, et tu retrouveras la vigueur de ta jeunesse.  Je ne veux ni de tes prières ni de tes sacrifices, je ne tes jamais demander cela je veux juste l’amour !

Bien nous ici en occident ont à oublier d’où on vient et nous avons recherché d’autre dieux dans les autres cultures.  Moi je viens d’un peuple qui n’avais pas de dieu et qui avais pourtant une prophétesse mère, elle n’était pas reine mais oui la maîtresse de ses terres, elle participé au conseil, elle communiqué a travers des rituels de chants et danses autour du feu à trouver l’approbation des ancêtres avant tous désistions importante pour la communauté ! Moi aussi je croie que le conseil vient dans les moments de détente dans la conversation autour du feu. L’âme des nations est une longe construction, les épisodes comme dans un roman national ou il ne faut jamais écrire la fin, et le début nous trouble et ai en perpétuel recherche. L’âme de l’homme de même c’est sont histoire mais aussi ses gènes la mémoire de la chair et du sang. La nourriture de l’homme vient de la même racine qui lui a donné la vie, il se nourrie de la racine des origines !

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