lundi 2 mars 2015

La prophétesse !



                                                               
Il ni a pas besoin de beaucoup d’imagination pour prophétisé l’apprête démocratie !

Une vieille femme assis a la l’entrée de sa maison, parle avec une enfant ; elle lui raconte sont monde d’avant le désastre ; la désolation de l’abomination !
 Notre monde c’était accéléré a partir des années 80 et en 2010 ont ne reconnaisse plus notre jeunesse la liberté était sous surveillance ; jamais la démagogie le mensonge l’hypocrisie avais atteint un telle nivaux, tout n’était que mensonge.
Pourtant nous avions connu un développement sans précédent dans l’histoire de l’humanité, aussi importent que la pierre taillé le feu et le langage de la préhistoire. Ou le moteur a explosion l’électricité et l’aviation de la révolution industriel.

Raconté madame raconté ; dit l’enfant !

L’informatique la communication et les nouvelles technologies ont tout changé, les hommes ont construit des ponts, des murs se sont effondrés. L’économie à tout envahi l’Europe a introduit une monnaie, l’euro, et a ouverte ses frontières internes. Puis des guerres ont commencé a explosé un peut partout autour de nous, chaque jours un peut plus près de nos frontières. Puis des actes de terrorisme à l’intérieur de nos pays.  

L’enfant ; les guerres sont venu de nul parts ?

La dame ; non de problèmes non réglé de problèmes en gestation depuis plus de cent ans. De révolutions frustrer d’échec dans l’émancipation des nations, de mauvaise pratique dans l’exploitation et la distribution des richesses.

 L’enfant ; mais qui sont les responsables ?

La dame ; nous tous, les un par lâcheté les autres par égoïsme et encore d’autres par indifférence.

L’enfant ; et personne pour prévenir ?

La dame ; si mais le message était corrompu par les cries assourdissant des bêtes que l’on nomme démons !

L’enfant ; les bêtes, mais ont ne ma jamais parlé de la bêtes, quelle est donc ses démons ?

La dame ; très compliqué a expliqué les démons. Se sont des idées des comportements des attitudes. Au début ont ne dit pas grands chose puis il gagne le cœur et l’esprit des hommes, puis il grandi en nous et des gestes des violences, puis la violence engendre la violence, puis les peuples réclament vengeance plutôt que justice.

La dame ; je te parle, mais toi petite qui est tu ?

L’enfant ; bien moi je cherche mais je ne sais pas se que je cherche !

La dame ; ton identité, tes racines ?

L’enfant ; sais quoi l’identité ?

La dame ; d’où tu viens qui tu es, comment te trouver, l’identité et la chose la plus compliqué à trouver et pourtant il faut la recherché, l’actualisé tous les jours.

L’enfant ; oui madame, merci madame, voila se que je chercher en l’ignorent, mon identité, mais je ne sais par ou commencer, mon papa et un fou, il a des sons et des images tout le temps dans sa tête !

La dame ; et ta maman ?

L’enfant, ma maman ! bien papa dit qu’elle est parti disparu, et que jamais elle ne reviendra !

La dame ; au début je t’ai parlé de mensonge, bien cherche à comprendre pourquoi ton papa ne veux pas parler de ta maman, et tu commenceras à construire ton identité. N’ai pas peur, ne remplie pas ton cœur et esprit de colère, ne juge pas avec trop de sévérité. Mais cherche à comprendre.

L’enfant ; mais madame par ou commencé ?

 La dame ; Par le son et l’image dans la tête de ton papa, part tes propres réflexions tes interrogations !
L’enfant ; mais sais impossible d’entré dans sa tête, ni dans la mienne, j’ai beaucoup de difficulté.

La dame ; il en parle puisque tu le sais ; bien construit le puzzle entre dans le labyrinthe, mais en laissent des piste pour pouvoir en sortir, dans la tienne, bien si puisque tu ma trouvé donc tu a commence ta recherche par toi-même !

 L’enfant ; oui mais si j’échoue, si je perds courage ?

La dame ; quand ont commence à marcher et on entreprend un chemin, bien même dans l’erreur on ne peut plus se perdre on va a sa maison, même si cette maison est en ruine elle est la notre. Tu voies on a perdu le fil du début de la conversation, et pourtant on est toujours au même endroit mais plus dans le même temps le soleil se couche.
Sois prudente, ne croie pas tout cherche par toi-même, marche au milieu des décombres de notre monde, ne sois pas dans la nostalgie du notre que tu na pas connu il était le notre et nous l’avons détruit par des cries qui l’on fissuré ruiné ! Si tu a faim vient chez moi, si tu es triste vient me voir je te consolerais, ton travail de recherche peut bien attendre de temps en temps !

L’enfant ; Merci madame, je n’oublierais pas !





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