D’où viennent les espagnoles d’aujourd’hui ?
Bien il semblerait avec les nouvelles méthodes scientifiques
de l’ADN et que les espagnoles ont une grande diversité que l’image qui est
véhiculé. Le seul peuple d’Espagne qui ne peut être rattaché a d’autre
civilisation et le basque. Non seulement sa langue est un isola et sa culture
et même physiquement et physiologiquement ils sont différents, et pourtant ils
sont les ancêtres des européens. Ils ne sont pas les seuls mais c’est un des
foyers du repeuplement de l’Europe. (« Il y a tout de même un véhicule
avec le reste de l’humanité il est sapiens. ») L’espagnol d’aujourd’hui ressemble beaucoup à ce
qu’il a chassée combattu et tyrannisé. Il est culturellement proche des pays
latins ; physiquement mais aussi génétiquement proche du monde méditerranéen.
Il a aussi une culture très personnel qui ne se rencontre pas ni au-delà des Pyrénées
ni au-delà de la méditerranée. Il s’agit
tout simplement de la culture musical danse et chant. « Pas le temps de développé
ici et aujourd’hui ! »
Le mouvement nationaliste basque prend naissance aux
alentours de 1895 en fait il revendique le retour des fueros à dire de
l’autonomie. Le pays basque perd son autonomie à la suite de deux événements
majeurs ; l’arrivée de Philippe VI le première bourbon et l’invasion
napoléonienne. La réussite très cruelle et violente du premier bourbon. Le première
bourbon son implantation et une réussite mais pour l’Espagne c’est un drame et
la précipitation de son démantèlement. L’invasion napoléonienne finie par faire
perdre à l’Espagne ses repères avec sa réorganisation territoriale. À partir de
ce moment «à dire 1814 » les diverses régions d’Espagne se batte pour
savoir qui ils sont, reconstruire leurs histoires leurs identités.
À partir du départ
des français plusieurs nationalismes se dispute il y a le nationalisme
espagnol, qui se revendique national et unitaire une seul identité, et des
nationalismes régionaux qui revendique un retour aux fueros a l’autonomie. Ceux
qui ont raison, puisqu’il faut bien se ranger dans un camp se sont les autonomistes.
Ce n’est pas la couronne ce n’est pas l’église ce n’est pas l’armée qui ont raison,
mais la société civile le peuple. Il est vrai que le peuple est très divers
avec des droits très différents selon le lieu géographique. Dans la cordière
cantabrique notamment la Cantabrie et les Asturies se sont des démocraties, la
Galice elle a plutôt un statue encore différant beaucoup plus soumise à la
couronne et aux grands seigneurs. Dans les Pyrénées c’est encore plus
particulier puisqu’il y a comme en Castille le droit d’ainesse, la différence
avec la Castille est que ce droit n’est pas que masculin la femme à la même
autorité. Pour ceux qui l’ignore le
droit d’ainesse et que le premier née et la seule héritière de la maison, qu’il
devient le chef de famille et à l’autorité sur ses frères et sœurs, et s’il a
un titre de noblesse il est le seul à pouvoir le porté. Avec le pays basque et
la Navarre il y a aussi une contradiction. Le fameux arbre de Guernica à dire
qu’ils ont un parlement et le droit de vote, mais leurs représentants ne sont
que leurs seigneurs et ils ont aussi un roi ! Le roi n’est pas une
tradition basque, le roi apparait au pays basque et en Navarre au moyen-âge il mène
deux combats, un contre les rois Castillan et un autre contre les rois Francs. Ils
finiront par imposé leurs rois dans les deux territoires surtout à travers des alliances
et des renoncements pour eux aussi. « Les basques sont donc une démocratie
dans le peuple mais sans la possibilité de renverses le droit d’ainesse, dans
le pays. Démocratie incomplète pour ma part ! »
Pour les Pyrénées du centre et de la méditerranée cela est
encore très différant, pour l’Aragon et la Catalogne et les autres régions qui
font partie de la couronne d’Aragon, il y a des autonomies. Mais ne pas se trompé ils ont des parlements
un conseille de seigneurs et hommes en soutanes, a dire l’aristocratie carolingienne.
C’est presque pire qu’en Castille. Je
dis presque pire mais en réalité cela est pareille les seigneurs et les
religieux ont le droit de vie et de mort sur leurs domaines.
Pour les autres territoires de l’Espagne il ni a qu’un
modèle, a fur et à mesure qu’avance la conquête le modèle féodale s’installe
dans le pays. L’inquisition pourchasse
les autres religions qui ne soient pas chrétienne, et plus tard même le
chrétien soupçonné de fausses pratiques, donc l’hérésie !
En fait la péninsule ibérique et un des dernière pays d’Europe
à introduire la féodalité, mais il sera aussi un de ceux qui résiste le plus a
sont démantèlement par la suite. Pour être plus exacte encore aujourd’hui cette
mentalité perdure. La droite les conservateurs en Espagne ont toujours une difficulté
avec la démocratie. Il faut comprendre aussi que la noblesse
espagnole est toujours très présente, ils ne mettent plus trop leurs titre en
avant et cherche à se confondre avec la bourgeoisie mais ils sont là et bien la !
La bourgeoisie en Espagne ne vient pas comme dans le reste de l’Europe du monde
du travail de l’artisanat le commerce l’industrie la science etc. mais du déclassement
de sa noblesse. Ils ont toujours vécu dans l’administration proche du pouvoir,
de là la confusion et surtout la leurs. Ils confondent le pays avec leurs intérêts
personnels.
De la aussi la confusion qu’ils font, ou les tribunaux sont
gardiens et senseurs de la démocratie. La justice en Espagne n’est pas indépendante
ni neutre. Je comprends bien que cela est perturbent pour beaucoup. La couronne
espagnol n’est pas neutre elle a un parti prit ! La première visite du roi
et le pape et donc il est le chef des catholiques espagnols et pas de l’ensemble
du pays. À la fête nationale, qui n’est
d’ailleurs symbole d’aucune unité du pays, il prend l’habit de militaire comme
chef des armées. Pour moi le chef des armées se devait être le peuple et donc
le parlement. Et à l’année judiciaire il prend la robe de magistrat,
du premier magistrat. La justice en Espagne est au-delà de l’influence, elle
est politisé et défend plutôt des intérêts de classe plus qu’elle applique et
rend la justice. Pour l’Espagne très catholiques
je dirais une phrase de l’évangile. C’est
aux fruits que l’on reconnait l’arbre. Et une phrase laïque pour les autres !
C’est au résultat à la conséquence d’une action ou une parole que ton vrai
visage se manifeste et qui te donne ton véritable nom. On peut dire que la
justice espagnole ne fait pas son travail. Elle est faible et bien veillant
avec le puisant, sans cœur et intransigeante avec le faible le fragile et celui
qui n’avais qu’elle pour retrouver de l’espoir en l’homme de justice !
Non l’histoire noire
de l’Espagne n’est pas une légende. Elle a était peut-être instrumentalisé,
mais l’Espagne n’aurais pas était la dernière démocratie occidentale si elle n’avait
pas eu une noirceur dans l’esprit de beaucoup. Une des dernières à avoir atteint
un pays démocratique, et une des premières a peut-être l’abandonnée par son
comportement irresponsable et mesquin.
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