dimanche 12 juin 2016

Un clin d’œil et je suis là !




 A qu’elle instant de la vie nous trouvons nous ?
Les esprits les plus savants disent que l’homme ne se trouve qu’a l’heure ; à dire que sa fait bientôt une heure que nous sommes là.
Pour ce qui est des animaux terrestres sans-doutes un insecte doit être le plus ancien, il y a une fournie qui est là depuis tous une journée. Mais les plus vieux sont tous marins.
Donc finalement construit l’odyssée de l’humain ne doit pas être si compliqué quand nous aurons trouvé les instruments de décryptage. Le véritable problème est que dans la dernier seconde de cette heure l’homme aura disparu, et personne pour l’étude de cette histoire.
On peut dire sans se trompé que l’homme participe pars son caractère et son comportement, a libéré des produits dangereux que la terre à mi des centaines de millions d’années à enfuir dans ses entrailles pour permettre à la vie d’apparaitre.
Bon il faut dire que ses produits dangereux ont sans-doute participé à construire la vie. Mais libéré sur la surface de la terre ils la détruiront, pas la terre mais la vie.
 L’homme actuel à qu’elle âge se trouve-t-il ? Une réponse pas facile, à la fin de l’âge de fer et début de la cybernétique ?  Il faut dire que l’homme actuel à évoluer dans bien des domaines et a même connu l’esprit des lumières et la révolution industriel, mais ma pas abandonnée le feu et le fer, il les a trimbalé avec lui jusqu’à nos jours
Et l’homme connecté aime à jouer à des jeux de violence ou il tue tous ce qui bouge. Donc visiblement l’homme éprouvette l’homme augmenté l’homme cybernétique franchira cette étape de la vie avec le fer et le feu.
Ceux qui disent que l’homme est bon naturellement j’aimerais les croire mais ils se trompent, l’homme est porteur d’une grand violence, et être civilisé ne garantit en rien la disparition de cette expérience.
Je vais même plus loin dans cette expérience, plus un homme est intelligent et plus il est violent.  Plus il est persuadé de détenir une vérité et plus il est dangereux pour les autres.
Quand j’étais enfant j’étais persuadé que le monde était un frein à ma liberté, adolescent ma révolte n’était pas comprise pars les autres ni même par moi. Adulte j’ai compris que mon manque de liberté était plutôt la conséquence de mon ignorance, l’impossibilité de dépassé les frontières de mon corps de mon esprit, des remparts qui se dressés autour de moi et en moi.
A l’âge adulte et détaché du pays de l’enfance tous se gâche tous se trouble, dans la ténèbres dans cette cage, l’homme a tendance a cherché un dieu et des responsables a sa situation. L’homme se divise, il y a le décourager le peureux l’indifférent celui qui croie avoir trouvée une lumière et la réponse, alors qu’il na même pas le début de la question.
Le radeau de la méduse.
 Après avoir négligé tous les prudences de la navigation et avoir naufrage, les hommes se sont solidarisé pour construire un radeau. Au fur et à mesure que la faim et la désespérance brisée les chaines de la solidarité. Les militaires ont était les premiers a tué et dévoré leurs compagnons. Mais finalement les plus courageuse et les plus durs ont pris le pouvoir sur le radeau ont tué les militaires. Un navire l’argus et venu à leurs secoure et les conduire à Saint-Louis du Sénégal. Il y a toujours un artiste pour transmettre la réalité, la Géricault. Il a même mi un métis à la pointe du courage et du radeau !   
Le pays de l’homme est forcément l’enfance, le seul lieu qui évolue se transforme toujours de nouveaux détailles une nouvel vision à nos expérience. Quand l’homme cherche puis se perd il revient la pour retrouver son chemin. Il redécouvre des choses oubliées ou des détails qui n’avaient plus en tête trop profond en lui. Même les instants douloureux deviennent expérience qui construise la personnalité. Le seul endroit où il n’est pas seul et parfois accompagne d’un interlocuteur qui se trouve partout et même dans les objets. Curieux de tout gouteur et palpeur déjà imprudent et pourtant nécessaire. Quand il coure il se retourne pour être sur de n’avoir pas perdu le lieu protecteur. Puis il se cache pour voir si la protection peut le retrouvé il en joue a bonheur, et il apprend que parfois il faut revenir par ses propres forces !
 Peut-on reconstruire l’innocence ? Peut-on retrouvé le lieu qui nous construit qui nous donnera la force de poursuivre l’aventure de la vie !
     






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