lundi 3 octobre 2016

La trahison et la manipulation ! non !




Le socialisme se défendent trahir les intérêts de la société Espagne, pourtant le 1er octobre c'est ce qu'on a vu.
Je suis très en colère de voir ce qu’ils ont fait du socialisme du chemin qu’ils empreinte déjà dans les années 30 leurs indécisions leurs renoncement conduit l’Espagne a une catastrophe. Ils sont loin d’être les seuls responsables, mais leurs volonté de vouloir négocier avec le franquisme a était très justement interprété comme une faiblesse et une trahison. De même aujourd’hui, un pareil coup pour permettre à la droite de continuer à gouverner. Bon la réalité est plutôt que Podemos n’arrive pas au pouvoir.
 Le 1er octobre aurai du être un fête en Espagne, les femmes obtienne le droit de vote ; Clara Campoamor défend son projet dans le groupe des Indépendants, le parti radical républicain refuse de portée sont projet de réforme. Une de ses principales adverses sera une autre femme victoria Kent du parti radical socialiste, nous somme en 1931 et l’Espagne est un pays profondément injuste et inégalitaire.
Aujourd’hui la situation n’est pas plus viable et l’Espagne conduit une politique suicidaire, d’affrontement. Il ne suffit pas de dire non et de jouet à faire peur aux espagnoles avec les indépendantistes. Tous blocages conduit à l’affrontement et ceux qui pense que l’affrontement ne sera que politique se trompe, il y aura forcément violence et retour à la lutte.
 Bien sûr que la catalogne et le pays basque on le droite d’organisé un referendum ; depuis quand le faite de voté et antidémocratique qui a inventé cette supercherie ? Si un pays refuse de suivre le chemin de la justice et la raison à dire la construction d’un état fédéral social et aujourd’hui aussi écologique il est normal de vouloir indépendance.
 Dans les années 30 de l’autre siècle l’Espagne était un pays immensément riche à la différence de la présentation qui en est faite dans les autres pays.  Il est vrais que l’image du pays et ses inégalité social reflété autre chose. L’image d’un pays pauvre de la misère dans bien des régions. Le modèle économique de l’Espagne était un modèle qui se nourrissait de la misère de ses classes laborieuses.
Une guerre civil et 80 ans plus tard la situation redevient a peut près la même, des travailleurs indépendants, des travailleurs précaires, à nouveau des journaliers qui se débrouille comme ils peuvent. Les États-Unis ont Google et Microsoft, et les espagnols ont Pablo le puisatier !

  Ses terribles l’Espagne, l’Espagne et différant !

 Quand j’étais enfant la première fois que je suis allée a l’albiricia quartier caladaramburu, un lieu de misère du Santander de mon enfance !
Ce lieu était une espèce de bidonville, et nous ont vivait déjà en France a foussenagne dans le territoire de Belfort. Le plus jeunes des frères de ma mère, il a 19 ans qui était avec nous reçoit un courrier du consulat, une gamine de 15ans le recherche. Ma future tante ! Un été durant les grandes vacances nous somme invité à diner chez elle.
 Dans ce quartier plus que populaire, dans cette petit baraque, il y a quatre femmes pas d’homme, une mère et ses trois filles ! Les quatre travaillent, la mère dans une usine où l’on fabrique de la porcelaine et les filles plutôt dans des emplois saisonniers, une dans une conserverie de produit de la mer, na future tante, les autres je ne me souviens pas trop. Comment comprendre pour des enfants ? Quatre femmes qui travail et pourtant elle vivait dans la presque grand pauvreté ? Voilà l’Espagne de l’après-guerre et de l’isolement.
Mon frère qui a toujours eux beaucoup d’imagination et voulez nous faire peur, il inventait des histoires extraordinaires. Calembredaine, vous vous souvenez de lui dans Angélique marquise des anges le chef des voleurs a la cour des miracles ! bien il n’est pas mort d’une balle dans le dos et il n’a pas émigré en Amérique, il s’est réfugier a Santander et a donné son surnom a un quartier, caladaramburu espagnol. Il a reconstruit la cour des miracles les va-nu-pieds les coups gorge les nains, le sourd le borgne et le muet etc.  Et les princesses !
La fiancé de mon oncle était un rayon de soleil dans ce lieu une blonde aux yeux bleu dans ce lieu noir comme une nuit sans lune, ce lieur de toutes la misère du monde et l’injustice des hommes !
Bien nous on refuse le retour de cette Espagne que des millions d’espagnoles ont sus vaincre pars le courage la volonté et surtout son émigration, ce que des gens comme mais parents et nous-mêmes avons construit on ne vous permettra pas de le détruire.  Votre Espagne noir votre Espagne de la superstition la haine et le mépris on en veut pas !   



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