vendredi 14 novembre 2014

Comprendre le monde et se trouvé !



                                     
Une célèbre philosophe qui réfléchie sur la vie mais n’arrive pas a pénétré dans le feu de la connaissance décide de faire appelle a des vieux vieilles camarades d’école pour pouvoir faire le portrait le plus juste possible de l’être . Oui mais voila ses vieux vieilles camarades ont tous disparu.
 Trop vieille, Perdu désespéré dans sa quête de vérité elle se rend au font d’une forêt ou elle a entendu parler d’une vieille femme capable de communiqué avec l’autre monde et même de faire parler ceux qui sont parties. Un paradoxe, une personne qui croie en la réflexion et l’étude pour trouvais des solutions, va a la recherche d’une sorcière ?
 Des son dépars a pieds sur la route commence le travail initiatique et l’éveille ; la douleur dans ses membres et l’esprit qui ne veux plus dormir. A l’ instant où le corps et l’esprit commence à fusionner elle a peur, l’inquiétude l’envahie, aurai-je le courage d’aller au bout du voyage ?
Après un instant de doute tous lui semble vain inutile, mais elle décide tous de même de poursuivre sont chemin a défaut de trouvé la vérité, elle veut s’imprégner une dernier fois de la beauté du paysage, elle veut chanter le monde avant de le perdre !
 La nuit et le brouillard tombe la lune se dissimule dans les nuages et pour la premier fois depuis qu’elle est entrait dans la carrière de l’enseignement philosophique elle a besoin de demandé l’hospitalité a la premier ferme qu’elle trouvera sur la route. Dans l’obscurité à l’ écart de la route sur un petit chemin une lumière.
Ses pas la conduisent a l’entré d’une étable une famille s’affaire autour d’une vache qui est entrain de mettre bas, elle est saisie pars la beauté du cadre et de l’instant. A près le silence et la surprise elle demande l’hospitalité et une direction. Les paysans non plus l’habitude de réservoir mais un souvenir des temps ancien vient a eux, et il l’invite à passer la nuit chez eux. Oui dans un coin de la table près de la cheminé on installé une assiette et une chaise pour le voyageur le vagabond de passage, mais cette coutume était oublier depuis plusieurs générations.
Les paysans ne pose que les questions qui leurs semble utile, mais toujours directe et clair.
Mais que faite vous a pieds et pars ses chemins dans la nuit ?
 Je cherche une Dame qui vie dans la forêt et qui pourrait m’aidè pars ses connaissances à résoudre un problème existentiel pour moi, un bute dans ma vie !
A vous cherché la guérisseuse la soigneuse de l’âme et du corps, celle qui parle aux esprits de ceux qui ne sont plus ?
Un silence !
 Mais que faite vous dans la vie, quel est votre profession ?
Professeur de philosophie a la retraite et écrivaine a mais temps perdu !
Un nouveau silence !
 Puis à nouveau une parole elle vie la haut dans la montagne que vous voyer dans l’horizon !

Au petit matin alors qu’elle était inquiète sur sa condition physique, elle na plus aucun douleur dans ses jambes ni bras, elle entend et sens sont corps mais elle na plus mal comme le premier jour.
 Sur la route les interrogations, tous ses questions sans réponse, tous ses portes qu’elle na jamais pu ouvrir se bouscule dans sa tête. Elle qui vivais dans sont appartement qui avais fini pars abandonné tous vie social ne supportent plus la société citadine qui l’environné découvre un monde qu’elle avait oublié. Elle pense a toutes ses vies qu’elle na pas vécu ! Puis cette montagne qui est toujours aussi loin, et ses questions qui non toujours pas de réponse, elles ne font que chemin avec elle.
 Elle fait une halte pour manger un peu du pain et fromage que la paysanne lui a donné avec un peu de vin. Un peu de pain avec du fromage et elle a l’impression de faire un festin jamais elle n’avait ressenti un telle plaisir a mangé. Puis la gorgé de vin qui l’enivre et lui donne la sensation d’un tourbillon dans sa tête. De se casse croûte et cette gorgé de vin lui vient une des plus importante des questions sans réponse de tous sa vie !
La vie est née dans un tourbillon avec une soif et une faim, que le plus petit ruisseau donne la vie à tous un monde de diversité, comme un ballet une danse qui vous transporte d’ivresse .
Alors qu’elle travers un village et attaque les premières pentes de la montagne, toujours avec sont interrogation et qui ou quoi a provoqué se tourbillon, elle entend le rire d’une enfant qui jouet dans un jardin. Alors elle s’approche pour apercevoir le lieu d’où vient se rire, et là une petite fille court dans tous les directions puis s’arrête jette une pierre puis elle éclate de rire. Cette image du bonheur de la joie la bouleverse, elle qui avais oublié tous sont enfance, et qui n’avais de sont enfance que le coté sérieux et studieuse imposé pars ses parents. Elle pleur là comme une enfant puis elle poursuit sa route avec un cœur Léger, et plein de souvenirs enfui au plus profond de sont corps et esprit, elle avait presque tous oublier.
Un petit chemin une clairière et la une maisonnette un vergé et un portagé quelque animaux autour de la cabane. Un silence remplie de son, l’eau le vent dans les arbres, le chant des oiseaux. Puis sous un arbre des troncs pour s’assoir, comme une table et des chaises. Elle s’installe et attend, puis au loin une vieille femme les cheveux blanc avec un panier.
 Arrivé au pas de sa porte la Dame aux cheveux blanc la robe rouge et sont panier, dit a la philosophe vous resterait diné se soir !
La philosophe ; oui je vous remercie, mais qui été vous ?
La Dame aux cheveux blanc ; cette question est plutôt pour moi ? Puis elle repent la parole ; j’ai travail comme journaliste en studio, et un jour je ne suis rendu compte que je posés des questions accordé convenu pour obtenir des réponses déjà prévisible !
La philosophe repend bien moi j’enseignais la philosophie et se n’est qu’a la retraite seul dans mon appartement que j’ai comprit que j’ai indiqué la mauvaise direction a des milliers de jeunes gens que tous n’était que des théories impraticable dans la vrais vie !
 La Dame aux cheveux blanc, bien aujourd’hui nous somme deux vieilles femmes avec un passé incertain et un futur pour gardé la tête haute resté digne et creusé la terre pour y déterré la vie, qui pourtant nous emportera.
 Je m’en veux tellement d’avoir enseigné se que la société attendais de moi pour se rassuré sur leurs comportement et vision de la vie. Et durant nom voyage a pied pour vous rencontrais j’ai vue tellement de simplicité d’ouverture d’esprit de puissance fragile comme si la sève de la vie entrait en moi comme une émotion qui remplissais tous. Je vivais dans la mort, et aujourd’hui je suis toujours dans les ténèbres mais j’entrevois la lumière au loin caché sous les nuages.
Pourquoi ont dit que vous êtes une sorcière qui communiqué avec les esprits de ceux qui sont partîtes ?
Je n’en sais rien ; sans-doute parce que je parle seul et a la nature et les animaux, les gens on beaucoup d’imagination ils aiment le sensationnel, la réalité et que j’ai un esprit qui voyage, puis revient en moi avec plein de richesses de tous les trésors qu’il déterre.
 Il ni a plus d’espoir ?
Si j’ai découvert que tous n’est que vie, que la vie était un crie une révolte une pierre que l’on jette contre l’invisible, un rire qui affronte et défie la peur. Enfant tous était aventure curiosité puis notre entourage a brisé l’élan a nous de reprendre la route de libéré nos corps et esprits de nous ouvrir sans nous laissé emporté dans la spirale du néant. La vie est un tourbillon une dense un frottement une ivresse, la mort et une spiral dans les profondeurs du puits aucun crie ne vient troubler la vie.
 Mais le mal ont ne peut le nier, et comment le combattre ?
 On ne peu le vaincre mais la nature que tu voies là oui un jour elle le pliera, elle détruira tous ses enfants, ils mourront dans d’atroces souffrances et rien pour les sauvés. L’eau les empoisonneras et seront prit de violente douleurs, la nourriture ils la chercheront comme des désespères. Puis a la fin ils se prosterneront et se mettrons a priés ils chercheront la parole qui donne la vie sans la trouvé !
Et nous ?
Mais nous il y aura longtemps que nous serons ailleurs au pays des enfants des fleurs des arbres des abeilles et du miel !
Mais aujourd’hui ?
On ne peut que vivre que par l’exemple la digité, même dans l’agression, sans jamais se soumettre a cette violence et haine qui habit en chacun de nous.  Ceux qui nous point du doigt et nous méprisent vient déjà leurs dernier instant ils sont déjà mort mais ils l’ignorent, ils non aucun pouvoir sur la vie que l’illusion !
 Après avoir dialogué manger dormis notre philosophe repent la route avec encore plus d’interrogation que de réponse. Mais elle ne retournera plus au confort mais a la prochaine colline, plus rien ne peu interrompre sa soif sa faim de vivre !

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