Une célèbre philosophe qui réfléchie sur la vie mais
n’arrive pas a pénétré dans le feu de la connaissance décide de faire appelle a
des vieux vieilles camarades d’école pour pouvoir faire le portrait le plus
juste possible de l’être . Oui mais voila ses vieux vieilles camarades ont tous
disparu.
Trop vieille, Perdu
désespéré dans sa quête de vérité elle se rend au font d’une forêt ou elle a
entendu parler d’une vieille femme capable de communiqué avec l’autre monde et
même de faire parler ceux qui sont parties. Un paradoxe, une personne qui croie
en la réflexion et l’étude pour trouvais des solutions, va a la recherche d’une
sorcière ?
Des son dépars a
pieds sur la route commence le travail initiatique et l’éveille ; la
douleur dans ses membres et l’esprit qui ne veux plus dormir. A l’ instant où
le corps et l’esprit commence à fusionner elle a peur, l’inquiétude l’envahie,
aurai-je le courage d’aller au bout du voyage ?
Après un instant de doute tous lui semble vain inutile, mais
elle décide tous de même de poursuivre sont chemin a défaut de trouvé la vérité,
elle veut s’imprégner une dernier fois de la beauté du paysage, elle veut
chanter le monde avant de le perdre !
La nuit et le
brouillard tombe la lune se dissimule dans les nuages et pour la premier fois
depuis qu’elle est entrait dans la carrière de l’enseignement philosophique
elle a besoin de demandé l’hospitalité a la premier ferme qu’elle trouvera sur
la route. Dans l’obscurité à l’ écart de la route sur un petit chemin une lumière.
Ses pas la conduisent a l’entré d’une étable une famille
s’affaire autour d’une vache qui est entrain de mettre bas, elle est saisie
pars la beauté du cadre et de l’instant. A près le silence et la surprise elle
demande l’hospitalité et une direction. Les paysans non plus l’habitude de
réservoir mais un souvenir des temps ancien vient a eux, et il l’invite à
passer la nuit chez eux. Oui dans un coin de la table près de la cheminé on
installé une assiette et une chaise pour le voyageur le vagabond de passage,
mais cette coutume était oublier depuis plusieurs générations.
Les paysans ne pose que les questions qui leurs semble
utile, mais toujours directe et clair.
Mais que faite vous a pieds et pars ses chemins dans la
nuit ?
Je cherche une Dame
qui vie dans la forêt et qui pourrait m’aidè pars ses connaissances à résoudre
un problème existentiel pour moi, un bute dans ma vie !
A vous cherché la guérisseuse la soigneuse de l’âme et du
corps, celle qui parle aux esprits de ceux qui ne sont plus ?
Un silence !
Mais que faite vous
dans la vie, quel est votre profession ?
Professeur de philosophie a la retraite et écrivaine a mais
temps perdu !
Un nouveau silence !
Puis à nouveau une
parole elle vie la haut dans la montagne que vous voyer dans l’horizon !
Au petit matin alors qu’elle était inquiète sur sa condition
physique, elle na plus aucun douleur dans ses jambes ni bras, elle entend et
sens sont corps mais elle na plus mal comme le premier jour.
Sur la route les
interrogations, tous ses questions sans réponse, tous ses portes qu’elle na
jamais pu ouvrir se bouscule dans sa tête. Elle qui vivais dans sont
appartement qui avais fini pars abandonné tous vie social ne supportent plus la
société citadine qui l’environné découvre un monde qu’elle avait oublié. Elle
pense a toutes ses vies qu’elle na pas vécu ! Puis cette montagne qui est
toujours aussi loin, et ses questions qui non toujours pas de réponse, elles ne
font que chemin avec elle.
Elle fait une halte
pour manger un peu du pain et fromage que la paysanne lui a donné avec un peu
de vin. Un peu de pain avec du fromage et elle a l’impression de faire un
festin jamais elle n’avait ressenti un telle plaisir a mangé. Puis la gorgé de
vin qui l’enivre et lui donne la sensation d’un tourbillon dans sa tête. De se
casse croûte et cette gorgé de vin lui vient une des plus importante des
questions sans réponse de tous sa vie !
La vie est née dans un tourbillon avec une soif et une faim,
que le plus petit ruisseau donne la vie à tous un monde de diversité, comme un
ballet une danse qui vous transporte d’ivresse .
Alors qu’elle travers un village et attaque les premières
pentes de la montagne, toujours avec sont interrogation et qui ou quoi a
provoqué se tourbillon, elle entend le rire d’une enfant qui jouet dans un
jardin. Alors elle s’approche pour apercevoir le lieu d’où vient se rire, et là
une petite fille court dans tous les directions puis s’arrête jette une pierre
puis elle éclate de rire. Cette image du bonheur de la joie la bouleverse, elle
qui avais oublié tous sont enfance, et qui n’avais de sont enfance que le coté
sérieux et studieuse imposé pars ses parents. Elle pleur là comme une enfant puis
elle poursuit sa route avec un cœur Léger, et plein de souvenirs enfui au plus profond
de sont corps et esprit, elle avait presque tous oublier.
Un petit chemin une clairière et la une maisonnette un vergé
et un portagé quelque animaux autour de la cabane. Un silence remplie de son,
l’eau le vent dans les arbres, le chant des oiseaux. Puis sous un arbre des troncs
pour s’assoir, comme une table et des chaises. Elle s’installe et attend, puis
au loin une vieille femme les cheveux blanc avec un panier.
Arrivé au pas de sa
porte la Dame aux cheveux blanc la robe rouge et sont panier, dit a la
philosophe vous resterait diné se soir !
La philosophe ; oui je vous remercie, mais qui été vous ?
La Dame aux cheveux blanc ; cette question est plutôt pour
moi ? Puis elle repent la parole ; j’ai travail comme journaliste en studio,
et un jour je ne suis rendu compte que je posés des questions accordé convenu
pour obtenir des réponses déjà prévisible !
La philosophe repend bien moi j’enseignais la philosophie et
se n’est qu’a la retraite seul dans mon appartement que j’ai comprit que j’ai
indiqué la mauvaise direction a des milliers de jeunes gens que tous n’était que
des théories impraticable dans la vrais vie !
La Dame aux cheveux blanc,
bien aujourd’hui nous somme deux vieilles femmes avec un passé incertain et un
futur pour gardé la tête haute resté digne et creusé la terre pour y déterré la
vie, qui pourtant nous emportera.
Je m’en veux tellement
d’avoir enseigné se que la société attendais de moi pour se rassuré sur leurs
comportement et vision de la vie. Et durant nom voyage a pied pour vous
rencontrais j’ai vue tellement de simplicité d’ouverture d’esprit de puissance
fragile comme si la sève de la vie entrait en moi comme une émotion qui remplissais
tous. Je vivais dans la mort, et aujourd’hui je suis toujours dans les ténèbres
mais j’entrevois la lumière au loin caché sous les nuages.
Pourquoi ont dit que vous êtes une sorcière qui communiqué
avec les esprits de ceux qui sont partîtes ?
Je n’en sais rien ; sans-doute parce que je parle seul
et a la nature et les animaux, les gens on beaucoup d’imagination ils aiment le
sensationnel, la réalité et que j’ai un esprit qui voyage, puis revient en moi
avec plein de richesses de tous les trésors qu’il déterre.
Il ni a plus d’espoir ?
Si j’ai découvert que tous n’est que vie, que la vie était un
crie une révolte une pierre que l’on jette contre l’invisible, un rire qui affronte
et défie la peur. Enfant tous était aventure curiosité puis notre entourage a
brisé l’élan a nous de reprendre la route de libéré nos corps et esprits de
nous ouvrir sans nous laissé emporté dans la spirale du néant. La vie est un tourbillon
une dense un frottement une ivresse, la mort et une spiral dans les profondeurs
du puits aucun crie ne vient troubler la vie.
Mais le mal ont ne
peut le nier, et comment le combattre ?
On ne peu le vaincre
mais la nature que tu voies là oui un jour elle le pliera, elle détruira tous
ses enfants, ils mourront dans d’atroces souffrances et rien pour les sauvés. L’eau
les empoisonneras et seront prit de violente douleurs, la nourriture ils la chercheront
comme des désespères. Puis a la fin ils se prosterneront et se mettrons a priés
ils chercheront la parole qui donne la vie sans la trouvé !
Et nous ?
Mais nous il y aura longtemps que nous serons ailleurs au
pays des enfants des fleurs des arbres des abeilles et du miel !
Mais aujourd’hui ?
On ne peut que vivre que par l’exemple la digité, même dans
l’agression, sans jamais se soumettre a cette violence et haine qui habit en
chacun de nous. Ceux qui nous point du doigt
et nous méprisent vient déjà leurs dernier instant ils sont déjà mort mais ils l’ignorent,
ils non aucun pouvoir sur la vie que l’illusion !
Après avoir dialogué
manger dormis notre philosophe repent la route avec encore plus d’interrogation
que de réponse. Mais elle ne retournera plus au confort mais a la prochaine colline,
plus rien ne peu interrompre sa soif sa faim de vivre !
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