dimanche 24 juin 2018

La fierté de Santander !


Les hommes c’est surprenant le plus souvent ils sont d’une stupidité, une bêtise, et le pire ils vont jusqu’au crime par ignorance.
L’Espagne est un pays qui a beaucoup de difficulté avec la modernité, quand je dis l’Espagne je devais dire certains secteurs groupes.
Quand les nouvelles méthodes modernes de médecine sont apparues en Europe l’Espagne fessait de la résistance. Surtout bien sur l’église et les militaires. (« Et bien sur une partie importante de la population fanatisé par la religion. »)  Les étudiants en médecins qui s’étaient formé à l’étranger notamment en Angleterre Allemagne et France il y en avait ; mais rentré au pays il avait les plus grandes difficultés pour mettre en pratique le nouveau savoir.
Santander est une des villes pionnière dans cette nouvelle médecine et dans les infrastructures les équipements et le financement de cette nouvelle médecine.  Au début cela a était très compliqué une lutte politique d’une violence inouïe.  
Finalement et surtout grâce à certains hommes qui ne se sont pas plié et laisser abattre par l’adversité et la haine ambiante qui était distillé le principale projet d’un hôpital modère et gratuit a vu le jour dans cette ville. (« La gratuité cela n’existe pas effectivement. Pour que le projet puis voir le jour il a fallu convaincre les corporations et les différents organismes mutualistes de la ville et région de la montagne. Le mutualisme existe à Santander depuis la nuit des temps et en tout cas il y a des références depuis le moyen-âge.la confrérie des pêcheurs l’union et mutuelle paysanne et une des plus importante la mutuelle des artistes et artisans commerçants de la ville.et bien d’autres petits mutuels, etc.il est entendu que le monde ouvrier et le syndicalisme naissant été parti prennent du projet. ») Il faut aussi reconnaitre que la bourgeoisie de la ville de Santander venais d’un autre monde que la bourgeoisie traditionnel de l’Espagne. 
(« La bourgeoisie espagnole ?
en fait en Espagne il ni a jamais vraiment existé une bourgeoisie, plutôt une petit noblesse méprisé pars la grand noblesse. Cette petit noblesse à partir du 19 siècle a voulu se modernisé et embrasé l’esprit des lumières et les nouvelles révolutions. Elle a était prise entre deux et même trois feux. La colère du pouvoir la monarchie et la grande noblesse, qui a vu en eux des traitres à leurs milieux social. L’église et l’armée qui avais très peur de ses nouvelles révolutions qui réduise considérablement leurs autorité sur la plèbe et remettait en cause leurs enseignements et autorité qu’ils croyaient naturel et divine ; contradiction. Et puis il est vrais une partie importante du peuple qui a cru en une forme d’abandon. La liberté est une chose compliqué et surtout si vous avais toujours vécu sous une forme de soumission a un pouvoir patriarcale. La petit noblesse a disparu et la bourgeoisie ne sais pas vraiment renforcer elle est resté faible »)
La naissance a Santander de cette hôpital et de se système de santé a était possible grâce à l’arrivée du grand capitale colonial surtout Cubain et surtout celui de Don Ramon Pelayo de la Torriente, marquis de Valdecilla. (« Don Ramon a était un émigrant partit pour Cuba, il avait 14 ans. À Cuba il a fait fortune, notamment dans l’agroalimentaire. Mais aussi dans la marine et le commerce avec les États-Unis. Il a fait aussi construire un chemin de fer entre ses terres . Comme il était humaniste et il faut aussi le dire de tendance républicaine progressiste il y avait sur ses terres des logements pour ses ouvriers des écoles déjà mixte pour filles et garçons et un hôpital. À la fin de la guerre contre les États-Unis il fut contraint de partir et revint à Santander avec son immense fortune. Arrivé a Santander il ni sa fortune qu’au service de la population crée des écoles une centaine en Cantabrie et un millier en Andalousie. Puis sont grand projet un hôpital moderne avec des médecins formés à l’étranger et une école d’infirmières. Le grand combat à surtout était contre l’église, son refus de voir des bonne-sœurs s’occuper des malades, il avait beaucoup de difficulté avec la charité chrétienne. Cette homme a était combattu même après sa mort, les franquistes ne l’on pas oublier ils ont même déterre ses os à l’entrée des troupes dans Santander. » )
Il n’était pas seul bien sûr et son projet n’a pas était démantelé pars le pouvoir franquiste, au contraire il a même servie à la construction du modèle de sécurité social espagnol et son système de santé et hospitalier.
À Santander l’hôpital ; Valdecilla et la plus grand et principal fierté des gens de Santander et de l’ensemble de la région, et pourtant il a vu le jour dans une grand douleur et bien des malheurs pour ses promoteurs.  Beaucoup des gens ont connu la prison l’exile et même la mort !
L’Espagne est un pays qui a très peut développer le social, voilà pourquoi la gratuité de la santé a une importance très grande. Si franco n’a pas eu le courage de toucher a cela et même au contraire il l’introduit à tous l’Espagne. Comment aujourd’hui en plein démocratie on puise remettre en question le système hospitalier ?
Ramón Pelayo de la Torriente Marquis de Valdecilla!
Pas de curé et de bonnes sœurs dans l’hôpital qu’ils s’occupent des âmes pendant que les professionnels de la médecine s’occupent des corps et de l’esprit des malades ! Cette phrase lui a couté très cher une haine de l’église et des secteurs réactionnaire du pays. N’empêche qu’ils vont quand-mêmes pour se soigné à l’hôpital, mais ils sont tellement bêtes qu’ils croyant en l’action de dieu dans leurs guérisons !
 Je sais par contre qu’à Santander Valdecilla et comme respiré pleinement intègre dans la ville et principal source de progrès et dynamisme, malgré le comportement misérable de ses dernières années depuis le pouvoir central, qui ne payer pas la dette envers l’hôpital !  

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