L’Espagne inconnu et mystérieuse !

 L’Espagne a l’art de construire des groupes marginaux à chaque période de son histoire, et à l’époque actuelle elle n’échappe pas à sa tradition.

La démocratie devait réussir l’intégration le rassemblement de l’ensemble de la population, mais pas en Espagne, la démocratie espagnole a la particularité d’être excluant.

 L’Espagne a l’art de trouver des responsables je devrais dire des coupables a ses échecs, qui ne sont pas collective, même si il y a la volonté de responsabilisé l’ensemble pour les justifiés.

On peut remonter loin dans l’histoire pour apporter les preuves de ce comportement les juifs les maures, puis les républicains, puis plus près de nous les plus pauvres et modestes, et encore plus près a dire aujourd’hui les basques et les catalans. La réponse à leur demande et de leur dire si vous n’êtes pas content partez. Voilà la réponse de ce pays qui cherche soi-disant à se construire.

Mais il y a plus grave pire elle a aussi cette mauvaise mère l’art de construire la pauvreté et l’exclusion. En Espagne il y a des peuples presque invisibles. L’exemple le plus connu et les Mercheros se petit peuple don les origines sont castillane. Chassés de chez eux puis maltraité par les autorités, ils ont inventé un langage ; le pidgin, des codes et comportements puis un déplacement pour pouvoir échapper a une forme de répression de l’autorité.

Mais il semblerait qu’avec la crise actuel et l’exclusion de nouveaux groupes sont en formation très compliqué jusqu’où peu aller cette dérive actuel mais il est peu probable qu’il y et une réponse sociale adapté et réparatrice a cette nouvelle exclusion. Il est entendu que les jeunes espagnols les mieux préparé formé vont sans le moindre doute trouver des solutions à leurs situation et le plus sûr dans d’autre latitude à l’étranger. Pour les autres à nouveaux la misère la débrouille au quotidien et la répression. Ce n’est pas quelque chose pour le futur c’est déjà quelque chose qui est la présent dans l’Espagne actuel.

La démocratie a-t-elle échoué en Espagne ?  Oui il y a clairement un échec, elle a était incapable de réparé de réconcilier les différents formes de pensés de voir la société.  C’est une démocratie, mais sous surveillance et même sous menace de revenir en arrière si les intérêts et les privilèges des conservateurs et réactionnaires non pas le derniers mot et si l’avantage n’est pas pour eux. On peut dire aussi qu’il y a une droite en catalogne au pays basque qui gouverne depuis la transition démocratique, oui mais voilà c’est une droite qui vient d’un combat contre la dictature. Puis c’est une droite qui vient du travail, ils ont réellement contribué à leurs régions. La droite des autres territoires ne peut se vanter de la même chose. Corruption détournement de fonds, proximité avec le pouvoir et l’administration, favoritisme fonds publique détournée évasion fiscal etc...  On peut dire que les catalans ont fait un peu pareille, mais pas dans les mêmes proportions puis aujourd’hui on sait que cela a favorisé à une famille et la maison du roi, les Pujol et Juan Carlos.

En fait les réclamations de la catalogne et du pays basque, ce n’est pas nouveaux elles sont très anciennes, et il y a aussi autre chose, tous les régions d’Espagne ont de graves problèmes, tous les régions du centre ont un problème démographique, l’Espagne se désertifie se dépeuple.  La population espagnole se concentre sur la côte.

Le silence coupable des intellectuels !

Il ni a aucun risque de guerre en Espagne, il peut se produire des violences, mais pas une guerre. La raison en est simple l’Espagne est un pays vieux avec une démographie déclinante.

Pourquoi les intellectuels sont aussi prudents dans les critiques ?  La peur d’un retour aux divisions ? Ou plutôt aucun projet a proposé et un conformisme ? Pour moi l’Espagne est dans l’antichambre de la mort, une agonie lente si le corps persiste dans le dysfonctionnement, si l’esprit ne réussit pas à donner des réponses, la mort est certaine. Le gouvernement central ne donne aucun réponse, non seulement aux régions qui ont des revendications mais encore moins a d’autre qui sont devenu apathique. Les régions de l’ancienne Castille ne revendique plus rien elles sont en train de mourir dans l’indifférence du pouvoir mais aussi de l’intérieur de sa propre structure de gouvernance. Le seul sentiment que ses régions ressentent est la peur. Le dépeuplement est relativement ancien mais avec la guerre civile le franquisme le mouvement s’est accéléré, et dernièrement même les petites villes perdent de la population et il ne s’agit pas d’un retour dans les villages mais bien d’une mort lente.

Il y a plus de morts que de naissances depuis ces dernières années, les étrangers la quitte plus de travail, et sa jeunesse de même plus d’opportunité de moyen de progrès. Pour ce qui est du progrès rien de nouveau, il y a des forces conservatrices qui ont toujours vu le progrès comme l’œuvre du diable, et ils le condamnent. Le progrès en Espagne est venu le plus souvent de l’extérieur, toujours en retard de plusieurs décennies.

Le peuple espagnol a il est entendu un très grand charme, un peuple plutôt de tendance libertin, cela fait partie des contradictions de l’Espagne. Une très grande religiosité de façade et un grand problème avec la sexualité. Il y a aussi la fierté espagnole mais qui souvent dépasse la frontière pour ne plus être que vanité au-delà de l’orgueil. Il y a aussi le problème tribale, les espagnoles ressemble a un peuple puisqu’ils sont des gens de la rue, il aime la vie de la rue, les rues sont animée. Mais en fait ils sont très famille puis groupe puis territoire région bien avant de se revendiqué nation, l’Espagne n’est pas une nation malgré la volonté centraliste de l’élite et le pouvoir, sa a toujours était un échec. Il y a aussi la superstition les préjugés les ventes noir etc...

Il est entendu que l’Espagne est aussi le pays de Cervantès et sont Don Quichotte, de Picasso et sont Guernica, de juan Goytisolo et sa littérature si particulier, juan sans terre, Almodovar et tout sur ma mère etc.  Mais tous ces gens ont et soufre la réprobation des secteurs les plus conservateurs, qui supporte mal d’être montrés dans leurs comportement mesquin obtus et intolérants !