mardi 21 janvier 2020

Le désert intérieur !



Ce qui se passe à Santander c’est que ça  commence à se voir un peu trop les différences et pas que dans les quartiers mais sur les citoyens eux-mêmes. Je connais le proverbe l'habit ne fait pas le moine, et que les plus riches s´habille faussement négligé. Santander pour les visiteurs donne toujours l'image d'une ville bourgeoise. Et il est vrai que si vous longez la route qui va de Cueto jusqu'à l'hôpital de la ville vous aurez l´image d´une ville riche bourgeoise et prospère.
A Santander jusqu'aux années 30 de l´autre siècle il y avait une bourgeoisie, scientifique intellectuel industriel commerçant et financière, aujourd`hui il ne reste que des traces de se passer. Il y a toujours la financier et un peut la commerçante mais pour les autres on peut parler de disparition. Et pour ce qui est de la financière et de la commerçante il faut quand même être assez clair assez précis et dire qu`ils payent leurs impôts à Madrid.et pas que l´impôts de société mais aussi leurs impôts personnelles. Santander n'est plus en résidence principale c'est devenu une résidence secondaire pour eux. Pour prendre un exemple la banque de Santander cela fait longtemps que se n´est plus un moteur de l´économie régionale.aux origines cette banque est née pour les échanges entre le port et la ville avec les Amériques et Antilles, mais cela fait longtemps que c´est fini. Je ne sais pas si on peut parler de bas-fond à Santander même s'il y a eu un milieu, que le grand banditisme avais une place forte  une rue ici .aujour`hui c´est une des rues les plus abandonnées de la ville. Il faut ajouter tous de suite que le banditisme a Santander na jamais était très violent pour la population ni même de type mafieux, les phalangistes et les franquistes était autrement plus délinquants et dangereux. On peut même parler de contrepouvoir.
La rue entre la place de Mexico et la cathédrale fait peine à voir.les boutiques les commerces les bistrots, etc.. Qui sont fermer ne sont même pas a la vente. Les vieux propriétaires sont morts et les enfants vivent à Madrid à Barcelone à l'étranger, et ils ne cherchent même pas à vendre, on leurs donnerait pas grand-chose sans doute. Un jour ça sera exproprié par la municipalité et ils construiront des immeubles. De toute façon ils ne savent pas faire autre chose ici, ils sont incapables de redynamiser la ville. je vous ai parlé de cette rue mais de nombreuses autres rues sont à peu près dans la même situation.
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Petite histoire du quotidien !
Dans la rue cardinale Cisneros il y a une librairie, il a un couple de libraires très âgé plus de 90 ans. Ce sont des gens d'une gentillesse une sympathie extraordinaire. Il ne gagne plus d'argent avec leur librairie mais là maintiennent parce que c'est leur contact avec l'extérieur. Ils ont une fille déjà elle aussi âgée et un peut malade qui ne peut donc les visites souvent. Les petites enfants de même avec des emplois importent à la capitale du royaume. Un matin on ne se lèvera pas. La commerçante la voisine qui leur apporte les coures appellera notre fille pour lui dire c'est fini, tes parents sont morts. Et la librairie aussi !
La suite au prochain épisode !

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