La bourse française et même européenne viennes de célèbre le
résultat du premier tour de l’élection présidentiel en France. Le plan A et B
du capitalisme sont présent pour le second tour de l’élection.
La France a normalise
le discourt fasciste, le problème de se discourt et que la France n’a pas les
moyens la vitalité pour imposer cette rage folle.
Les sociologues sans
nom les journalistes sans jambes vienne de dessinée le contour le visage des
votants.
Le votant fasciste en
France est un pauvre un incapable qui vie dans l’insécurité, et plus grave il
lui est impossible de sortir de sa situation sans un état qui ferait tous le
travail pour lui.
Puis une France citadine
cultivé qui vie et croque le XXI siècle a plein dents ; cette France serait
la France libéral.
Quant à moi je suis persuadé
que les deux formules conduisent la France à la dislocation.
Il y a aussi un autre grave problème avec l’arrivé de se libéralisme
insouciant et on peut le constater dès les premiers jours de deuxième tour. Le discourt des fascistes est déjà renforcé et
il semble mieux structuré. Il s’agit bien de l’affrontement de deux peurs qui prenne
naissance qui vienne de la même source une bourgeoisie qui veut tous pour elle
et que le peuple n’est plus droit à la parole.
La France entre dans une nuit !
La terre elle tourne, il y a un crépuscule suivie d’une nuit
puis une aurore et un jour ensoleiller, mais chez l’homme il n’en est rien après
le crépuscule vient la nuit profonde et parfois la mort.
L’homme savant aime la nuit, la nuit est plein de signes les
astres brilles et éclaire les esprits les plus affutés. Mais la nuit est mortel
pour l’homme ignorent et peureux elle renforce tous ses peurs tous ses superstitions !
(« Quand j’étais enfant j’aimai jouer dans
la forêt derrière la cité, comme les peuples anciens je ne suis construit un
imaginer fait d’être merveilleux. Dans la forêt au-delà de la rivière vivait un
petit peuple impossible de le surprendre tellement il était rapide. J’avais
beau couper le souffle caché derrière l’arbre ouvrier grand mes oreilles et mes
yeux je n’arriver jamais à le surprendre. Puis un autre peuple le peuple des
enfants de la cité et du reste du village a envahi ma forêt mon territoire et
les berges de la rivière, j’ai vite compris que le petit peuple mystérieux de
la forêt ne se montrerai jamais. Il n'aura de la vie quand moi en dehors de moi
il sera toujours un mystère ! »)
Après la nuit vient le jour l’homme savant avec encore plus
de savoir de connaissance et l’homme ignorent encore plus perdu dans ce monde
qui devient toujours plus énigmatique et plein de danger pour eux. La peur et la superstition la haine et la
violence en prime !
Mais il faut finir sur une note d’espoir ! Le mal à
besoin du bien le contraire non, il suffit de faire un pas de côté de prendre
un autre voie. Bien sur le mal se positionne à la suite mais déboussolé sans comprendre.
L’importent n’est pas le chemin mais de se mettre en marche le chemin lui se
construit tous seul et à la suite il est toujours derrière nous !
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