Le complexe Don Quichotte !

                                 

Alonso Quijano se brule le peux de cervelle qu’il lui reste a la lecture des livres de chevaleries, sa rêverie le pousse a change de nom et de parcourir la plaine du montiel comme les chevaliers des temps anciens à combattre les injustices et redressé les tors ! Sont entourage le prend pour un fou et sont fidèle écuyer le brave Sancho pense que sont voisin a des hallucinations, mais qu’il n’est pas méchant. Don Quichotte lui pense qu’il est enchanté et qu’un génie qui est aussi le narrateur de sont histoire lui interdit et lui fait subir une épreuve en contrarient sa propre volonté, et lui mettent des obstacles a sa volonté de justice ; il voudrait échapper a sont emprise.

 Quand il apprend que sont histoire est écrite en temps réelle pars un certain Cide Hamet Ben Engeil, historien philosophe et traducteur arabe, il a une certaine déception. Il pense que si celui qui fait les chroniques de ses aventures est un musulman il va rester en deçà de la vérité, en même temps si il est historien il na pas le droit de se détourné d’un iota de la vérité, et cela le rassure !

 Don Quichotte se bat avec courage, il est l’homme qui sans voir ni comprendre mène une lutte contre la folie de se monde, l’homme qui n’arrive pas à dépasser les frontières de sa province natal ni du monde imaginaire qu’il a construit a la lecture de ses livres de chevaleries.

 Se dialogue entre Sancho Panza et don Quichotte, l’homme simple et le complexe, l’homme qui c’est construit pars le travail, et l’homme qui c’est construit pars la lecture, tous les deux marche a leurs destin. Sancho a reçu des promesses de don Quichotte pour le suivre dans sont aventure, il n’est pas dupe que sont seigneurs ne pour pas tenir tous ses promesses.  

Cervantès dit je suis la plume il est l’épée nous somme née l’un pour l’autre ! Don Quichotte croie tous se qu’il lie et veux le mettre en pratique, il ne voix pas malice. Cervantès lui sais tout la difficulté d’écrire pour que le chevalier se mette en mouvement.

Épilogue et dialogue !

Regard Sancho je vais livrer la plus grand de toutes les batailles contre ses géants !

Mon seigneur prenez garde que se que vous croyez être des géants ne sont que des moulins a vent !

Ami Sancho que tu es simple, en matière d’aventure tu ni comprend rien, l’importent et se que dira l’histoire ; et toi le génie qui écrie cette histoire n’oublie pas de cité mon cheval rossinante sans lui cette grand aventure n’aurais pu être !

Amie Sancho ou toi tu voies des moulins moi je voie des géants envoyer pars le génie pour la gloire de mon nom et détruire les exploits des chevaliers des temps passé ! Et toi dames de mais pensées Dulcinée du Toboso, regarde se que ta rigueur a fait de ton amoureux !