mercredi 9 novembre 2016

Poète à New-York




Quand Federico Garcia Lorca arrive en 1929 à New-York il est fasciné par cette ville nation la grande cité et ses tours. Mais finalement ce qui le surprend le plus et la misère dans la rue, l’insécurité de la ville et le sort des noirs qui le trouble et le plonge dans la mélancolie et le désespoir.
Il est surprit lui qui viens d’une région d’Espagne a la réputation de terre archaïque et pauvre. Sont Andalousie natal, la misère de sa Granada n’à rien avoir avec la misère américaine.
Une légende moderne : l’Amérique reste une terre de tous les possibilités mais aussi une terre de violence, il y a tout-de-même la loi du plus fort et une construction mensonger de la conquête américaine.
La légende du cow-boy que la littérature et le cinéma à glorifier, se cavalier émérite qui parcourt les grands pleins défenseurs de la veuve et l’orphelin qui repousse les indiens et qui grandisse l’Amérique.   Se cow-boy n’a jamais existé, les historiens sérieux ne trouve pas le même homme pour vivre dans les intempéries. Ils ont changé le nom et le visage de cet américain. Le cow-boy a plusieurs visages, un homme de couleur un noir affranchi, un hispanique déjà rompu au dur travail de l’élevage. Puis bien sur l’émigration venu de tous les pays et surtout d’Allemagne la France l’Irlande l’Angleterre et aussi russe chinois etc... ; Puis bien sûr on ne peut oublier l’émigration basque et catalane, surtout la basque cette diaspora basque, différente de la diaspora juifs mais qui cherche un lieu de paix. La différence est que le juif reste plutôt communautaire le basque lui embrase la proposition du rêve américaine et la liberté d’entreprendre. Le juif lui sont rêve reste toujours le retour dans la terre promise la nouvel Israël ! On ne va pas tous raconté mais pour les européens se sont des migrants qui cherche un terre d’accueil pour des raisons religieuse pour échapper à la persécution, les irlandais les allemands les français et aussi bien sur les anglais, les espagnoles eux cette déjà un peu avant le siècle d’avant. Les plus connu des persécutés les juifs et bien sûr les protestants !
La rué ver l’or de même, ce ne sont pas les chercheurs d’or qui se sont enrichis, mais si les commerçants les banquiers les industriels etc... Puis bien sur tous une économie et une construction qui se met en place mécaniquement. Puis à nouveaux un grand vague d’émigration venu de partout de tous les pays, toujours se rêve de liberté cette croyance en un monde meilleur.  
Petit histoire dans la grande histoire :
Les femmes je ne veux pas parler de tous les femmes sujet trop vaste pour mais petit moyen.
Non la femme basque dans le Nevada cette femme qui construit son avenir dans le service l’hôtellerie la restauration cette femme basque qui aide ses compatriotes mais aussi tous les voyageurs de passage ou les nouveaux arrivants. Ses compatriotes nostalgique isolé et loin de leur pyrénéens leurs villages. Elle en ont vu passé tous au long de l’histoire ses hommes femmes qui fui la pauvreté mais aussi la guerre qui expulse. L’Amérique les a enrichis mais elles elle ont beaucoup donnée à l’Amérique.
Quand on parle d’émigration Espagnol ont pensé tous de suite à la Galice, et il est vais qu’ils sont sans aucun doute les plus nombreux, surtout parce qu’ils sont très communautaire et qu’ils ont des centres galiciens. Mais bon il y a des espagnols de toutes les régions et certain pays exemple l’Argentine la Pampa les noms de famille sont plutôt basques.
Mais le rêve américain le pays de la liberté lui se rétrécie et finalement si la Californie est à l’origine du rêve, elle reste encore de nos jour le lieu des possibilités, mais il devient excluant destructeur il se rétrécie a l’informatique la science de la micro technologie les services internet et la finance.
 Mais La Californie est Hollywood et la silicon valley mais aussi des universités de prestige une agriculture de tipe méditerranéenne, un vignoble qui n’a plus rien à envier aux meilleurs d’Europe, un tourisme impressionnent, une industrie des plus performant etc... . Mais la Californie n’est pas tout l’Amérique. Et l’Amérique devient une nation comme les autres avec les mêmes peurs incapable de gagné les guerres ou il est engagé. Le problème des États-Unis est le même que celui de tous l’occident, une surproduction une incapacité de changer la direction de la production sans crée de terrible dégâts dans le monde du travail.
 Federico Garcia Lorca à vu New-York la grand cité et ses déséquilibres durant la grand crise des années 30 la richesse arrogante et la misère, il a choisi sont camps et la défense des noirs et minorité, mais ce n’est pas à New-York qu’il a trouvé la mort mais a Granada dans son propre pays.
Le déclin de l’occident entre avec force aujourd’hui l’Amérique malgré une fuite en avant ne trouvera pas le repos et la paix, la démagogie qui trouver des responsables ne sera pas suffisant pour réparer l’incompréhension et surtout cette spiral dangereuse qui nous entraine de tous façon dans un autre monde à la fin il faudra reconstruire nos sociétés.  J’ai toujours espoir après la pluie vient le beau temps. Et finalement cette direction actuel ne me convient pas non plus j’aurais juste aimée une autre rupture que celle que les peuples choisisse, ils seront de tous façon perdent dans l’aventure et là je suis sûr !
Après l’euphorie vient toujours la dépression !








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