dimanche 9 février 2014

Nous on fait partie des riches



 L’Espagne n’a pas encore touché le font, il reste des zones d’ombres, beaucoup de chiffre sont truqués ; exemple le logement. On ne sait toujours pas le nombre exact de logements dans le bilan des banques et caisses d’épargnes «sans -doute toujours plus d’un million de logement vide ». La banque spéciale qui a était crée pour racheté les produits toxiques des banques, bien on ne sait toujours pas au près de qui elle place ses produits, elle na servie qu’a l’endettement de l’état. Le commerce et l’industrie a perdu de la musculature, et malgré les bas salaires ne réussira pas a attiré les investisseurs. Les grands groupes résistent plus ou moins à l’extérieur mais en Espagne ils sont affaiblis. L’agriculture est en bonne santé mais reste historiquement déficitaire, et l’Espagne importe plus qu’elle n’exporte dans se domaine, bon il a toujours était ainsi les produits de qualité ne franchise jamais la frontière ai sont peut connu a l’international. Le secteur touristique résiste bien mais avec des promotions et je suppose que les milliards engrangé ne soient suffisant pour se désendetter de l’extérieur. Le chômage baisse légèrement mais est surtout du a l’émigration de ses jeunes et le retour des étrangers chez eux ; des centaines de millier sont déjà partie, donc pour moi rien n’est arrangé tout reste à faire dans le pays. Se n’est pas un gouvernement mais des comptables qui nous distillent le bilan de fin d’année ! La presse la honte, dire que l’Espagne remonte alors que le peuple continu de plonger ! A oui j’oubliais les fonts de réserve de soixante cinq milliard que Zapatero avais économisé pour les retraites du futurs a était dépensé en deux ans pour financer le budget de l’état pour payé des crédits en cours, sans parler de la dette de l’état qui est passé de 65% a plus de 95%.
 Le gouvernement Rajoy na fait qu’accompagner l’Espagne dans la misère en réduisant des droits et des prestations, touts ses reformes ne sont que des retours en arrière et préservés la finance au détriment du pays. Aucun reformes porteuse d’espérance, aucun schéma ni stratégie industriel, juste un soutien a la banque et la finance. La politique imposé par l’Europe de Merkel a approfondit la crise en Espagne, mais le gouvernement de droite est lui aussi responsable de la déroute de l’Espagne, il a choisie la bourse la finance la spéculation les banques contre le travail et le citoyen ;
33% des enfants de moins de 18 ans sont pauvres ,26 % de chômeurs, 10 millions de pauvre dans le royaume d’Espagne !
 Comment repartir de l’avant ?
Bien en temps que société l’Espagne ne réussira pas sont retour, au contraire de se que beaucoup pense se sont les partis de droite qui divise l’Espagne et pas la gauche ou moins.  Chaque régions d’Espagne a sont parti nationaliste les plus connu sont le PNV du pays basque, CUI et ERC en catalogne, mais tous les régions sont contaminé pars le nationalisme en contre force du nationalisme espagnole. Et il on tous la même politique économique très libéral d’ailleurs au parlement européenne il siège tous à droite.
La vérité n’est pas au centre, et en démocratie encore moins ! La vérité est une observation une étude du sujet et malgré tout il n’est pas sur de l’appréhender. La recherche de l’équilibre n’est pas la recherche de la vérité. Pourquoi le fasciste a toujours tord ? Parce qu’il cherche a imposé une point de vu pars la force la violence, ou la manipulation l’intimidation, le faite de réitéré un mensonge mille fois n’en fait pas une vérité.  Une conviction n’est pas une vérité, l’homme qui croie connaitre sont chemin est le plus perdu des hommes, tous les chemins conduise l’homme a sa demeura ultime, et si un chemin conduit a une vérité bien qu’il le prouve. Le religieux propose un dieu avec un paradis et un enfer, le politique nous propose un destin commun encadrer pars la justice et le droit.  En démocratie le chef est le citoyen, et le suffrage est au dessus de tous même la loi ne peut lui interdire sont droit a décidé avec la volonté majoritaire.
 L’autre jour a France inter Daniel Cohn-Bendit a tenu des propos fascisant, il a laissé entendre que l’on peut plier la volonté du peuple, et il a prit pour exemple la peine de mort. Bien il se trompe l’abolition de la peine de mort était dans les 110 propositions de Mitterrand, et les français en lui donnent leurs confiances savais qu’il l’abolirait. La démocratie ne fonctionne pas bien, mais il ni a pas d’autre système plus juste pour la remplacé, et certainement pas le fascisme, qui est un système d’exclusion et de violence.
Mais revenons a l’Espagne et sont modèle de croissance, qui en réalité n’existe pas il n’est que calquer sur les recommandations de l’Europe et du FMI. Le problème de la spéculation immobilière, na rien de nouveaux pour l’Espagne déjà mon père dans les années soixante de l’autre siècle a vécu la crise du fin de règne du franquisme et une terrible crise immobilières provoquer pars le régime et les banques, et des millions d’espagnole qui parte pour l’émigration.
 Tous les espagnols sont responsables ? Mais a des degrés divers, le salarié a qui l’état et le banquier lui on fait miroité qu’il pouvait lui aussi acheté au-dessus de ses moyens sont les véritables responsables, ils non pas expliqué aux espagnole que cette argent les banques ne le possédé pas et qu’ils venaient de l’étranger.
Le plus insupportable dans cette crise est que les véritables responsables sont toujours à la manouvre !

 L’Espagne et la France détienne le record d’Europe pour le défaut de payement dans ses deux siècles d’histoire qui vienne de s’écouler, la banqueroute na rien de nouveaux dans le schéma de l’économie libéral. Mais la pire des banqueroutes a était celle de l’Allemagne dans les années 30 de l’autre siècle.
Il faut entendre le mot libéral dans l’esprit des défenseurs de cette religion. Se n’est pas libéral pour le peuple, ses libéral pour faire se que je veux avec le peuple. Ils sont favorables au désengagement de l’état dans tous les domaines ou on peut faire des affaires mais eux sont présents dans tous les rouages de cet état. Et quand la faillite survient ils font appelle a l’état et a la solidarité national pour éponger leurs dettes et mauvaise gouvernance. Et nos états qui sont composé essentiellement de hauts fonctionnaire libéral font croire au peuple que la faillite d’un banque est une catastrophe, et qu’il faut les sauvais pour le bien de la nation !
 Comme dit mon frère ont vas pas manifester nous aussi ? Nous on fait partie des riches, arête de protesté laisse se monde aller ou il veut. Nous ont sera jamais bourgeoisie décadente, va dans ton jardin, va a ton travail, cette ruine ne nous concerne pas !
Moi ; et la bête qui monte avec tous sont corps les cornes et la queue bien en vu, et qui gratte de la patte et qui bave sa haine et furie ?
Lui ; aucun problème elle a un anneau au museau et du fourrage et ils n’oseront pas la lâché sur le peuple, ils ont encore beaucoup trop a perdre !

Aucun commentaire: