mercredi 27 novembre 2013

Le progrès n’est plus signe de bonheur



Le progrès n’est plus signe de bonheur mais il se transforme en inquiétude !
Je cherche à comprendre pour quoi il existe des gens qui veule construire notre société sur la haine de l’autre ?
J’aurais pu poser la question à un religieux
J’aurais pu poser la question à un scientifique
J’aurais pu poser la question à un politique
Je n’ai pas osée poser la question au poète, il aurait dit le chemin et sa aurais était cherché sans fin !
Puis je me suis souvenue d’un songe, un monde terrible et dans se monde terrible les enfants de la haine était exclu de tous espoirs, ils se dévoré entre eux. Le soleil était devenu un sujet de prière et les fils et filles du malin le prie et le haïsse.
Dans se monde terrifient qui viens les fils et les filles de la haine ne glorifie pas leurs pères ni leurs mères, il tente d’atteindre le pays ou pousse la fleur ou l’abeille produit le miel.
Il y a une pensé étrange en moi comme si j’étais immortel, l’eau de la mer et chaud et les orages détruise tous, les terres sont dévasté. Les arbres les plus beau et majestueux ont migré dans la vallée de la fleur ou l’abeille produit le miel. Toutes les autres forêts se sont écroulées les rivières se sont taris.
Les fils et les filles de la haine ont mangé le poète, ils ont fait un festin ils se sont enivrais de sa chair, ils on tué le guide. Peu à peu la terre c’est débarrassé d’eux et même le dernier na pas était sauvé, il a fait marche arrière, il c’est retourné, et na pu retrouver le lieu de sa naissance. J’ai vue se dernier homme de haine, quand il a aperçu au loin la forêt qui protège la vallée de la fleur ou l’abeille produit le miel, le javelot du guerrier lui a transpercé la poitrine, ses yeux ont vu la vallée mais ses pieds non pu fouler la terre ! J’étais caché sur le plus grand des arbres et le guerrier et passé en dessous et a regardé il a sourie et a poursuivie sur sont chemin. Il était beau dans sa nudité, juste un tissu sur l’épaule une cordelée et quelque instruments ! Puis j’ai entendu les rires des enfants qui jouet dans la rivière !

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