lundi 12 décembre 2016

La vérité !





                                                                     La vérité !
Le curé !
 Pour l’église ; chercher la vérité et la vérité te rendra libre ! Le problème de l’église et que la vérité et encadrer dans la soumission a une autorité divine qui visiblement n’éclaire que les pasteurs et aveugle le peuple .la vérité de l’église et une absence une non présence du dieu qui illumine nos petits vie ; la puissance et l’esprit de dieu ne peu entrer dans l’humain que pars l’intermédiaire éclairer par la foi aveugle, ou le vide comme je le soupçonne ! (l’intermédiaire et le prêtre bien sûr)
Pour le curé la vérité a était révéler, plus besoin de la chercher, il faut prier et se prosterné elle est soumission.  Elle n’a pas libéré elle na évité aucun catastrophe, et elle promet un enfer a l’enfant rebelle et un paradis a l’enfant soumis à l’autorité. La vérité est dieu et croire sans avoir de doute et être prêt a tué ou a mourir au nom de cette vérité !


Le philosophe !
 Pour la philosophie la vérité et une idée, un concept inaccessible une vis sans fin un bateau sans gouvernail, un rayon de lumière qui traverse l’univers, une nuit sans fin ; la vérité un lieu qui n’est jamais au même endroit ! Peut-être que, environs ici ou là, à peu de choses près, quelque pars par-là, etc. ! De tous les humains le philosophe et celui qui comme le théologien en est le plus éloigner ! La vérité du philosophe et un doute un chemin sans fin un puits sans fond, plus ont sans approche et plus elle devient obscure. A aucun instant il envisage que la vérité n’existe pas, qu’il ni a aucun vérité !

 Le con !
 Le con comme l’alcoolique il vie avec, d’ailleurs si tu lui aurais demandé il te l’aurait dit. Plus il s’enfonce dans la connerie plus il est persuadé de la détenir ! Il lui arrive de crié des vérités elle se multiplie à chaque problème, le coupable le responsable est toujours l’autre l’inconnu l’étranger la femme émancipé. Pour le con comme pour l’alcoolique le fanatique la vérité est une tombe pour ceux qui refuse la sienne !

 L’inventeur !
Il tord et redresse raccourci et rallonge il pense trouver la vérité dans la compression et la transformation de la matière ; il la chauffe et la refroidie et il n’est jamais satisfait du résultat. La vérité il lui arrive de la frôler mais elle lui échappe comme un amour farouche et sauvage, comme un cheval indomptable elle lui résiste ! La vérité de l’inventeur et au-delà de l’atome encore une explosion plus loin, la vie est frottement explosion bien encore une accélération supplémentaire.

 Le savant !
 Il a la folie de croire que dans une formule une équation au fond de son éprouvette se cache la vérité, mais au fond il ne fait qu’aligner des numéros tiré des conclusions sur son échantillon et la comète il a la vérité devant les yeux mais ne peut la formuler ! La vérité comme l’eau si elle est stagnante elle finit par se corrompre et si elle coule bien elle devient fuyante. La vérité se cache dans les plis et replies dans la moindre fissure elle pénètre au plus profond de la crevasse. Le savant marche à tâtons pars essais et expérimentations pour la localisé !

 Le peintre !
 Il détient la vérité dans la main parfois il frôle la perfection mais la moindre distraction et elle disparaît dans la toile plus moyen de la faire sortir du cadre ! L’artiste lui-même ne peut dire dans quel coin elle se niche ! Il voudrait l’immortalisé d’un simple traie blanc sur un fond blanc ou un traie noire sur un fond noire, il veut la présenté nu sans les artifices, mais le pinceau l’altère la dissimule à l’ œil du curieux admirateur de l’amateur passionné !

Le musicien !
 Il atteint le sublime, mais le sublime mais pas la vérité sais bien au-delà de la vérité plus haut plus grand, la vérité deviens petit devant la magie de la musique, la musique dépasse le compositeur elle est plus intelligente et véridique que le maitre ! La musique peu elle aussi devenir militaire et accompagne la barbarie faire marchez les hommes au pas. Quand la musique glorifie un drapeau elle devient odieuse petit et mesquine, elle manipule la conscience.

 Le poète !
Le poète la vue dans le mouvement et la grâce de la danseuse, dans la voie du chanteur dans la feuille qui tombe de l’arbre, puis il la cacher avec la pointe de sa plume au fond de l’encrier, sur le papier il n’a laissé qu’un sentier à suivre pour la rencontrer ; mais tu dois savoir que tu seras écrasé pars ça puissance et son indifférence de toi qu’elle trouvera insignifiant ! Le poète pleur un temps qu’il n’a pas connu un amour qu’il n’a jamais rencontré. Il voudrait reconstruire l’origine quand l’homme et la femme était un et surtout savoir quand c’est produit la division, il voudrait reconstruire l’instant ou les corps se détache pour pouvoir se retrouver avec encore plus de passion de folie amoureuse ! Le poète est née lui-même de cette instant ou l’homme est la femme se sont redresser ni debout sur leur pieds.
 Ils ont eu le besoin de faire une ronde une danse pour comprendre l’instant le retour de la chaleur du besoin de s’accoupler. La vérité du poète est la rencontre des corps, et quitte à mourir autant mourir d’amour !
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 Pour celui et celle qui marche au milieu de la foule la vérité n’a aucun importance, l’importent et de s’interroge. Comment faire pour la rencontre au milieu de cette foule de gens distrait ou interrogatif, presser ou nonchalant, la vérité n’a aucun importance elle n’est pas un sujet. L’importent et un parfum croiser, un regard fuyant, une démarche particulier, un pleur ou un rire d’enfant au milieu de cette foule impersonnel trouver le singulier dans cette masse pluriel.
Pour celui qui marche dans la foule l’importent et cette question cette interrogation qui je suis comment vivre la relation quoi faire demain qui je vais rencontrer, pourquoi je veux vivre !
La vérité est dans la liberté mais si cette liberté est menacer je ne la perds pas je la renforce, je construis une vérité contre l’oppression du monde, je détiens la vérité je possède le trésor.   
La vérité en ruine mais moi je marche au milieu des décombres de la ville en feu et à sang, je suis la vérité la liberté parce que je résiste à la tyrannie, je reconstruis avec mais mains nu ce que les saccageurs ont détruire avec des armes et des idées corrompus.
La vérité est changeante comme dans les poèmes de Verlaine, elle n’est ni tout à fait la même ni tout à fait une autre. Et je vais au vent mauvais qui m’emporte de ça de là comme la feuille morte !

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