La vérité !
Le
curé !
Pour l’église ; chercher la vérité et la
vérité te rendra libre ! Le problème de l’église et que la vérité et
encadrer dans la soumission a une autorité divine qui visiblement n’éclaire que
les pasteurs et aveugle le peuple .la vérité de l’église et une absence une non
présence du dieu qui illumine nos petits vie ; la puissance et l’esprit de
dieu ne peu entrer dans l’humain que pars l’intermédiaire éclairer par la foi
aveugle, ou le vide comme je le soupçonne ! (l’intermédiaire et le prêtre
bien sûr)
Pour le curé
la vérité a était révéler, plus besoin de la chercher, il faut prier et se
prosterné elle est soumission. Elle n’a
pas libéré elle na évité aucun catastrophe, et elle promet un enfer a l’enfant
rebelle et un paradis a l’enfant soumis à l’autorité. La vérité est dieu et
croire sans avoir de doute et être prêt a tué ou a mourir au nom de cette vérité !
Le
philosophe !
Pour la philosophie la vérité et une idée, un
concept inaccessible une vis sans fin un bateau sans gouvernail, un rayon de
lumière qui traverse l’univers, une nuit sans fin ; la vérité un lieu qui
n’est jamais au même endroit ! Peut-être que, environs ici ou là, à peu de
choses près, quelque pars par-là, etc. ! De tous les humains le philosophe
et celui qui comme le théologien en est le plus éloigner ! La vérité du
philosophe et un doute un chemin sans fin un puits sans fond, plus ont sans
approche et plus elle devient obscure. A aucun instant il envisage que la vérité
n’existe pas, qu’il ni a aucun vérité !
Le con !
Le con comme l’alcoolique il vie avec,
d’ailleurs si tu lui aurais demandé il te l’aurait dit. Plus il s’enfonce dans
la connerie plus il est persuadé de la détenir ! Il lui arrive de crié des
vérités elle se multiplie à chaque problème, le coupable le responsable est toujours
l’autre l’inconnu l’étranger la femme émancipé. Pour le con comme pour l’alcoolique
le fanatique la vérité est une tombe pour ceux qui refuse la sienne !
L’inventeur !
Il tord et
redresse raccourci et rallonge il pense trouver la vérité dans la compression
et la transformation de la matière ; il la chauffe et la refroidie et il
n’est jamais satisfait du résultat. La vérité il lui arrive de la frôler mais
elle lui échappe comme un amour farouche et sauvage, comme un cheval
indomptable elle lui résiste ! La vérité de l’inventeur et au-delà de l’atome
encore une explosion plus loin, la vie est frottement explosion bien encore une
accélération supplémentaire.
Le savant !
Il a la folie de croire que dans une formule
une équation au fond de son éprouvette se cache la vérité, mais au fond il ne
fait qu’aligner des numéros tiré des conclusions sur son échantillon et la
comète il a la vérité devant les yeux mais ne peut la formuler ! La vérité
comme l’eau si elle est stagnante elle finit par se corrompre et si elle coule
bien elle devient fuyante. La vérité se cache dans les plis et replies dans la
moindre fissure elle pénètre au plus profond de la crevasse. Le savant marche à
tâtons pars essais et expérimentations pour la localisé !
Le peintre !
Il détient la vérité dans la main parfois il
frôle la perfection mais la moindre distraction et elle disparaît dans la toile
plus moyen de la faire sortir du cadre ! L’artiste lui-même ne peut dire
dans quel coin elle se niche ! Il voudrait l’immortalisé d’un simple traie
blanc sur un fond blanc ou un traie noire sur un fond noire, il veut la présenté
nu sans les artifices, mais le pinceau l’altère la dissimule à l’ œil du curieux
admirateur de l’amateur passionné !
Le
musicien !
Il atteint le sublime, mais le sublime mais
pas la vérité sais bien au-delà de la vérité plus haut plus grand, la vérité
deviens petit devant la magie de la musique, la musique dépasse le compositeur
elle est plus intelligente et véridique que le maitre ! La musique peu
elle aussi devenir militaire et accompagne la barbarie faire marchez les hommes
au pas. Quand la musique glorifie un drapeau elle devient odieuse petit et mesquine,
elle manipule la conscience.
Le poète !
Le poète la
vue dans le mouvement et la grâce de la danseuse, dans la voie du chanteur dans
la feuille qui tombe de l’arbre, puis il la cacher avec la pointe de sa plume
au fond de l’encrier, sur le papier il n’a laissé qu’un sentier à suivre pour
la rencontrer ; mais tu dois savoir que tu seras écrasé pars ça puissance
et son indifférence de toi qu’elle trouvera insignifiant ! Le poète pleur
un temps qu’il n’a pas connu un amour qu’il n’a jamais rencontré. Il voudrait
reconstruire l’origine quand l’homme et la femme était un et surtout savoir
quand c’est produit la division, il voudrait reconstruire l’instant ou les
corps se détache pour pouvoir se retrouver avec encore plus de passion de folie
amoureuse ! Le poète est née lui-même de cette instant ou l’homme est la
femme se sont redresser ni debout sur leur pieds.
Ils ont eu le besoin
de faire une ronde une danse pour comprendre l’instant le retour de la chaleur
du besoin de s’accoupler. La vérité du poète est la rencontre des corps, et quitte
à mourir autant mourir d’amour !
………………………………………………….
Pour celui et celle
qui marche au milieu de la foule la vérité n’a aucun importance, l’importent et
de s’interroge. Comment faire pour la rencontre au milieu de cette foule de
gens distrait ou interrogatif, presser ou nonchalant, la vérité n’a aucun importance
elle n’est pas un sujet. L’importent et un parfum croiser, un regard fuyant,
une démarche particulier, un pleur ou un rire d’enfant au milieu de cette foule
impersonnel trouver le singulier dans cette masse pluriel.
Pour celui qui marche dans la foule l’importent et cette
question cette interrogation qui je suis comment vivre la relation quoi faire
demain qui je vais rencontrer, pourquoi je veux vivre !
La vérité est dans la liberté mais si cette liberté est menacer
je ne la perds pas je la renforce, je construis une vérité contre l’oppression
du monde, je détiens la vérité je possède le trésor.
La vérité en ruine mais moi je marche au milieu des décombres
de la ville en feu et à sang, je suis la vérité la liberté parce que je résiste
à la tyrannie, je reconstruis avec mais mains nu ce que les saccageurs ont détruire
avec des armes et des idées corrompus.
La vérité est changeante comme dans les poèmes de Verlaine,
elle n’est ni tout à fait la même ni tout à fait une autre. Et je vais au vent
mauvais qui m’emporte de ça de là comme la feuille morte !
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