dimanche 24 mai 2009

Une Grand-Mère espagnole en France

Une Grand-Mère espagnole en France !
J’ai toujours connu ma Grand-Mère âgée, j’ai toujours cru que les grandes mères étai âgée ! A foussemagne il y avait toute sorte de communautés, les plus nombreux les italiens, et les algériens, les espagnoles une dizaine de familles. Les galiciens et les andalous, se rend dans les centres espagnoles, nous non les Cantabres nous ne somme pas communautaire, nous somme solidaire mais assez individualiste dans notre façon de vivre. Dans la cité de l’usine, ma Grand-Mère était très respect pars les différente communautés, il l’appelée l’Abuela, les italiens les algériens et les andalous, avais de drôle de coutume, ils enfermé leurs femmes, et lésai leurs enfants garçons faire toute sorte de bêtise, faut dire les choses comme elle son !et les petit français ne se mélange pas trop avec les étrangers. Mais bon il y avait les garçons et les filles et sa ne se commende pas ! Ma grand mère mon oncle et mais parent eu discuté avec tout le monde, malgré la barrière de la langue il trouvé les formule pour communiqués avec les autres. Quelque anecdote, messieurs Hamache avait la main lourde avec sa femme et sais enfants surtout sais filles, un jour il avait attaché Nasira dans la cave, et ma grand mère et ma mère ont était la détaché, et le réprimandé pour sont attitude ; mais le pire jour que nous avons connu a foussemagne, sais avec les stockel, une des filles stockel était tombe amoureuse d’un jeune algérien, et elle allait le rejoindre, et son père est sorti avec sa carabine. Il veut tuer le jeune, ma Grand-Mère sait interposer, le lendemain il vient présenter sais excuse, pour sont attitude, mais il ne veut pas que sa fille fréquente une arabe. Na grand-mère avait des règles sur la propreté, surtout sur la propreté du corps, elle cuisiné vraiment très bien aussi. Mais quand j’étais plus jeune se qui impressionné le plus chez elle s’était sa façon de tué un animale et le dépecée, mon père avait deux moutons et une chien avais mutile les animaux et il a fallut les sacrifié Et sais ma grand-mère qui les a tué. Cette toujours elle qui sacrifié les animaux a la maison, elle leur enfoncé le couteau entre le cou et l’omoplate, l’animale ne soufrait pas. « Les choses du présent ont à beaucoup de mal à les inscrire dans l’histoire » alors que l’usine de Foussemagne tourne mal, et qu’il faut envisage une nouveau dépare, les choses se présente plutôt bien pour notre famille. Mon père comme toujours il trouve immédiatement un travaille a Rougemont le château et ma mère a Dannemarie, chez brandi mode, mon oncle lui il va connaitre le chômage, mais pas très longtemps, ma mère lui trouvera un travail dans son usine et cette emploi, vas donne une prospérité sans précédent a la famille. Mon oncle avec l’aide de sa mère et sa sœur vas se lance dans la couture, d’abord les filles du coin puis de plus en plus de personne viendront se faire habiller pars mon oncle, cette soudaine prospérité, vas permettes a chacun d’acheté des appartements, et de réparé les maisons dans le village. Mon oncle décide de quitté la France et ma grand-mère partira avec luis
Elle vivra tout le temps avec luis, elle transmettra sont caractère souple mais ferme a sais trois petit filles. En 1998 le téléphone sonne ma grand mère viens d’être hospitalisé, elle se plein pour la première fois de douleur au ventre, les médecins ne diagnostique pas bien les douleurs, au bout de quelle que jours il trouve qu’elle a de la gangrène au ventre il ne preuves pas opérai elle décéda dans les bras de ma mère.

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