Faut prendre garde à ne pas finir pars ressemblé a l’ennemie
que l’on combat qui n’est autre que l’intolérance !
Pourquoi l’homme et la femme ? Pourquoi pas
androgyne ? La vie avec les mêmes composent et des cellules identique a
crée la diversité. La vie à telle un
sens un but allons nous quelque part ou seulement l’ hasard nous conduit. Le poète
dit que le chemin se fait en marchent, la vie n’est pas demain mais hier. Nous
vivons nos espoirs et désires de demain à l’ instant dans l’espérance ou
l’angoisse mais dans l’attente.
Le corps et l’esprit de la femme !
J’ai toujours était
attiré pars le mystère de la femme, et adolescent je croyais que la femme caché
un trésor entre ses jambes, et qu’il y avait une relation entre ses seins et se
qui se cachais entre ses jambes. Même si elle s’en défend la femme et un monde
d’érotisme de sensualité, de mouvement étrange et pars ricoché d’inspiration
pour l’homme pas forcement pervers. Ses
cheveux sont nez ses oreilles ses yeux sa bouche, sa chute de rein ses seins
sont sexe et ses jambes, mais qui a-t-il derrière sont regard dans sont
crane ? Adolescent comme j’étais un peut timide, je voulais les séduire
pars projection spirituel dans l’espace ; part déplacement du sentiment et
des sens, je croyais en un corps spirituel transparent mais charger de tous
mais désire passion, de ma personnalité sans les défauts que la matière la
chair projeté de sois. Plus tard quand mon corps a pu les abordés, quand la
chair tiraillé pars le désire de contacte j’aurais aimé fusionner avec sont
corps fusion des gènes et du désire briser la solitude de l’être. La communion
de l’esprit part la chair ; Lucifer était entré en moi, l’ange de lumière.
Pour qu’une graine donne la vie il faut qu’elle meure en terre. Pour qu’une
idée germe en nous il faut la laissé mourir. Ma terre mon cerveaux na jamais
bien fonctionné, il ne produit que déformé, ma mère dit que j’ai des yeux pour
ne pas voir, que je suis têtu et que souvent je dis blanc pour noir.
Mais souvenir d’enfance durant les vacances ses femmes plaza
de la Esperanza, bagarreuses exubérantes et leurs langages fleuris, tous cette
vie cette beauté de femmes travailleuses, cette fierté, leurs voix chantante
leurs bonne humeur. Je défends la créolité de l’humanité. Je n’ai jamais rencontré des femmes plus
libres que la femme de Santander. Je me comporté comme un espion, le matin je
me levé top pour aller au port dans le secteur des ventes, et jamais déçus part
le flot du verbe fleurie et sarcastique des femmes.
L’humain et construit
pour vivre pars le manque et l’effort, vivre dans la précarité avoir le ventre
qui crie famine, vivre dans la peur des lendemains qui ne chante plus. Se
lavais la figure et mettre sur sont visage le plus beau des sourires et sortir de
sa maison affronter le monde, la curiosité et un atout, le désire de comprendre
connaitre.
J’ai jamais
réellement était amoureux j’aime trop les femmes pour tombé amoureux, pour quoi
l’amour ou l’amitié. Se monde dans le quel je vie est construit de façon
différente a se que je vie a la maison et ai toujours vécu ; l’autorité et
le pouvoir était ma mère, le silence et l’homme dans le jardin était mon père,
lui aucun autorité juste l’exemple d’une vie de travail d’amour pour sa maison.
Mon père aurais t-il tué pour sa maison ? Je ne le sais pas aurais t-il
donné sa vie pour nous, il na fait que sa tous sa vie. Ou vont les femmes
vraiment elles cherchent la liberté ? Vraiment en excluant et en
combattant ses désires et passions elles trouveront la liberté ? Et qu'est que la liberté ! Jamais l’humain
ne pourra atteindre cette liberté qu’il chérie tend. Le mystère de deux humains
reste total, le mystère de que tous sur terre et besoin de sexualité et
accouplement pour se reproduire restera un mystère. Si se rapprochement cette
attirance procure un plaisir un orgasme, et finalement une profonde blessure et
un retour a la solitude.
Quel est le plaisir des plants et des fleurs ?
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