Partout ou un homme
se redresse et crie sa révolte les forces des ténèbres tente de le plonger dans
le silence.
Un humain est sortie
du ventre d’une femme il porté en lui la mémoire des blessures qu’un frère
immorale et sans conscience avais infligé a l’humanité. Des le ventre de la mère
il a entendu le crie de détresse des frères humilié battu pars d’autres hommes.
Parfois ont voudrais dire qu’il y a deux humanités qu’il y a
des races, mais bien sur c’est faux il ni a qu’une humanité qu’une seule race. Mais
beaucoup se sont égarés dans le labyrinthe de leurs consciences ;
l’ambition démesurée la soif de pouvoir, les ont conduits sur un chemin de perdissions
et de désespoir.
Nelson Mandela a poussé
le crie du guerrier, un long poème, il a frappé sa cuisse, il a tendu sont puisant
bras, et il c’est élancé contre l’injustice. Sa course imparable jusqu’au cœur du
mal pour lui donné un étincèle de lumière.
La beauté du guerrier. Le guerrier à la différence des autres
hommes, mesure mieux ses forces et les forces des adversaires. Dans sont combat
le but n’est pas la destruction des adversaires mais une invitation à danser
autour du feu ,puis partagé le repas assis a terre autour de l’arbre sacré qui
donne le conseille .
Nous les humains
comme tous les animaux de la diversité nous portons nos racines en nous, mais
la racine mère est restée dans le marécage dans le tourbillon de l’univers. Pourquoi
alors cette égarement pourquoi portons nous le bien et le mal en nous ?
Puisque je ne sais pas vraiment, je dirai que ma reflétions
porte sur la peur, non la peur des souris ou du serpent, mais la peur de la
solitude du noir, de cette ténèbres en nous. Pour moi enfant l’Afrique était la
terre de la liberté des reportages animaliers des grands espaces du guerrier Masaï
invincible à la télé. J’ai vite fait le rapprochement avec le guerrier Cantabre,
ces éleveurs de bétail nomade qui vient sans-doute de l’Afrique. Puis sur l’écran
de la télé est apparu d’autre image un Afrique qui a faim, une Afrique en guerre,
puis un homme blanc qui détruit l’Afrique. Puis sont apparu une longue suite de
romanciers, poètes et Mandela, l’espoir était de retour dans mon cœur d’enfant !
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