dimanche 27 octobre 2013

Les philosophes qui non rien à dire !



                            
Actuellement en France les hommes de lettres non pas grand-chose à dire, ils écrivent et traite de sujets sans profondeur, ou ils écrivent sur leurs maitres ceux qui les ont devancés.
 Les philosophes non rien à dire et quand ils s’engagent ils s’engagent du coté de la violence et la haine. Ils leurs arrives de traité de sujets sans avoir mi la main a la pâte.  Cervantès a propos de don Quichotte a écrit, lui l’épée et moi la plume, lui et moi nous somme un. Dans le roman de don Quichotte, moi je suis Sancho Panza, le seigneur perd l’esprit dans la lecture de ses romans de chevaleries et le paysan s’instruit au contacte du chevalier a la triste figure et durant le voyage dans la plaine du Montiel.
Ici et aujourd’hui tous a bien changer les romanciers sont des professionnels des lettres, ils maitrisent la grammaire et la syntaxe, leurs sujets est recherché sur internet et travail derrière leurs bureaux, ils vont a l’écriture comme moi a l’atelier ; avec la différence que eux ils travail quand il veules. Le monde est malade et eux n’aperçoives rien ils sont comme des docteurs sans médecines, des chirurgiens sans instruments. Ils ne défendent plus la justice ils ne se rangent plus derrière celui qui revendique encore plus de démocratie, mais derrière la puissance de l’argent.
Les mondes possibles n’existent plus dans leurs têtes.
La diversité du monde ne leurs intéresses plus, bientôt ils vont écrire la chronique sans saveur d’un penseur qui n’avais pas grand-chose à dire ! Il est loin le temps ou les troubadours et les bohémiens portés des nouvelles et la fête dans les places des villages et villes.
Ou est votre place dans ce monde ceux qui cherche la douceur la tendresse ou ceux qui prépare le conflit qui viens ? Vos corps ne sont pas préparé a affronté la tempête et vos brillants esprit ne trouveront pas les mots qui vous sauverons du désastre. Pour vivre la vertu il faut courir travers les champs et la ville, sauter pour travers la rivière. L’humain et construit pour vivre dans la pénurie, pour combattre les démons qu’il porte en lui, et non pour se laissé envahir pars ses pensé obscure, vous ne reconnaisses plus votre frère, vous l’avais mi a la porte de vos vies, il est devenu le rebelle qui vous fait si peur !

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