jeudi 18 juillet 2019

Un nom dans la nuit !



Quand Federico Garcia Lorca arrive à New York il est très vite profondément troublé, dans ses poèmes on constate le désespoir la solitude d’un homme dans la ville. Ses poèmes sont édités dans deux éditions différant une au États-Unis et l’autre en Espagne. il envoie deux manuscrits différents. Un bilingue a Arofe Humhrise des éditions Norton et l’autre en espagnol a José Bergamin de chez Séneca.
Lui qui viens d’une terre pauvre mais avec une histoire riche de plusieurs millénaire, et New York la cité monde, le nouveau monde encore plus tragique et misérable que son Andalousie natal.
(« La terre a le même âge partout, mais en Andalousie plusieurs civilisation ont vu le jour ! »)
À New York il voit bien sur la statue de la liberté les grands immeubles la richesse qui s’affiche, mais dans les rues lui il voit surtout la misère la brutalité, la discrimination et les injustices, une société de classes. Le nouveau monde et surtout le blanc est déjà plus malade que le vieux monde. Son d’espoir est tel que du haut de la tour du Chrysler building il pousse un cri à Rome.  
(« New York. la nouvel Amsterdam est aussi brutal que les peuples néerlandais. Les indiens Lenapes n’ont pas survécu pour le raconté. La nouvelle Amsterdam rebaptisé New York du nom du duc de York deviens très vite une ville monde. Tous les misérables les persécutés surtout en Europe, mais pas qu’eux se retrouve là. New York et une ville d’une très grande vitalité d’une très grande brutalité .je croie qu’elle écrase encore de nos jours les plus fragiles de ses habitants.  La crise des années 30 démontre que New York est la capitale du monde puisque le monde entier est frappé par la crise. sa veut dire aussi qu’un homme persécuté brutalisé dans son pays peu lui aussi devenir une brute qui brutalise les autres. »)  
  Il finit par fuir New York pour la Havane.
À cuba c’est différant même si les États-Unis cherche a imposé leur vision du monde, le mélange culturel le mélange ethnique est bien là, le poète retrouve un peu de paix !
(« L’histoire d’Espagne est terrible pas de problème à le reconnaitre. Mais aussi beaucoup moins que la politique française Hollandaise portugais ou anglaise dans les colonies. »)   
 Même l’esprit le plus savant a besoin d’une identité, pour le poète Federico c’est sa Grenade. Il retourne à Grenade ou la mort l’attend.
(«Personnellement je pense que l’on peut avoir plusieurs identités. Et sans conflit entre les identités ou maitrisé. Je dis maitrisé parce que dans mon enfance j’étais moi et un autre. Celui qui se montre que l’on voit très limité avec une intelligence moyenne. Et l’autre capable de se déplacé à la vitesse de la lumière. Qui n’a pas besoin d’anticipé puisque insaisissable au mouvement bien plus rapide que celui de l’homme.la seul certitude et que j’ai c’est que je ne l’ai pas sacrifié a de vaines promesses de futur. J’ai il est entendu une analyse plus grande mais on ne peut pas la développée avec des phrases on est obligé de construire des images, et une image fige un sujet dans le cadre.»)
 L’identité :
L’identité la plus connu et ton prénom et ton nom, mais en fait une autre est inscrite dans tes gènes. Tu grandi dans un environnement culturel qui te construire une autre identité. Puis plus tard tu t’émancipe. Cela ne veut pas dire que tu trouves ta véritable identité, au contraire parfois ou même le plus souvent tu te perds et tu cherches un maitre un chef pour te guidé dans ta confusion. Puis après l’égarement si tu ne trouves pas tu reviens au père à la mère. Tu commences a leurs ressemblé en fait tu as échoué. Puis la vieillesse l’oubli et la mort te prenne dans ta défaite. D’autres se construise une identité qui les arranges un masque qui cache le visage d’une réalité triste a mourir. 
Une nouvelle société est déjà née, très différente de celle de mon enfance. Elle a de bons côtés, mais l’être de raison est obligé de constater toutes les failles. Toutes cette nouvelle technologie tout sais nouveau instrument ne construit pas l’union ni la paix. Des tribus se construisent une très grande violence contre ceux qui ne pense pas pareille. On à plusieurs exemples les nouvelles technologies de l'information on réunit des hommes et des femmes ; on peut prendre l'exemple de l'Égypte puis finalement ce sont les forces de la brutalité qui ont repris le pouvoir. Et soyons clair au sujet des forces pro-occidentales. Et soyons aussi assez clair sur le sujet ce ne sont pas les peuples de l'Occident qui sont d'accord avec cette situation. Ce sont nos forces politiques, les lobbys des industries de l’armement et d'autres industries d'ailleurs. On attend toujours l'intervention américaine au Venezuela et en Iran ? Il y a des imbéciles qui parle de durcir le discourt.
Faut-il réinventer une nouvelle démocratie ? Oui mais on y arrivera pas !
La technocratie a pris le pouvoir, des ingénieurs de l’économie des stratèges en gestions, le facteur humain lui est géré par le politique à lui de se débrouiller pour apaiser les conflits. En Espagne les soi-disant forces progressistes n’arrivent pas à s’entendre. En fait cela est simple à comprendre, on ne veut pas que la rue entre au conseil des ministres. Parce que les dossiers des ministres non pas était élaborés par leurs équipes puis amender au parlement. Ce sont des dossiers des recommandations qui viennent d’obscurs cabinets de lobbyistes.  Le politique se défende en disant qu'ils ont été mal compris qu'il s’est mal exprimé qu'il y a manqué de pédagogie. Mensonge il est incohérent parce qu’il ne vous a pas tout dit, la principal information et retenu dissimuler. Lui-même ne comprend pas le dossier qu’il cherche à vous vendre. Il est entendu que c'est plus complexe que cela bien sûr. Mais la contrepartie à tout cela c'est que le populisme les idées les plus rétrogrades est en train de prendre le pouvoir. On sait très bien que le capital sont accommode très bien, c’est même le plan B du capitalisme. Moi ce qui me fâche le plus c'est que des petites gens se laisse manipuler si facilement. On a l'exemple dans l’agriculture, ce sont les paysans qui nous nourrisse et eux sont les plus pauvres, en plus aux élections ils votent pour ceux qui les frappes a la tête le plus fort.
(« Tous les idéologies et croyances on échoués, mais cela ne veut pas dire qu’il faut perdre espoirs. La démocratie elle aussi semble patinée parce que certaine veule la transformée en idéologie elle aussi. Mais la démocratie n’est pas une idéologie mais un mode de vie une suite d’idées un lieu de rencontre. actuellement l’Europe ne se comporte pas bien , il ni a même pas besoin de chercher loin ; criminaliser le secours en mer ou l’aide a des misérables a la frontière et la preuve d’une démocratie malade . »)    

Je reviens à l’identité.
L’identité se construit elle évolue elle se découvre. L’identité est plus qu’un drapeau une tradition une croyance. Si on observe les nouvelles nations qui se sont construit sur les décombres d’autres peuples ou civilisations on peut parler d’hybridation réussie. Surtout les anciennes colonies hispaniques. Même les autochtones pour nombre d’entre eux l’Espagne a signifié une libération. Les Anglais les Hollandais les Français et même les Portugais on et de loin mener des politiques coloniales plus destructrices. Je ne cherche pas à minimiser ni a justifier les crimes de l'Espagne. Disons que les Anglais les Hollandais surtout, les Français dans une moindre mesure ce sont plus occuper de l'histoire des Espagnols et de l'Espagne que de la leur.

Les différences d’identités entre l’Europe et l’Amérique et que l’Europe cherchent à l’interrompre et l’américaine est encore en évolution. Et surtout dans les régions hispanique d’Amérique du sud du centre et caraïbe. Les États-Unis et le Canada eux sont plutôt dans la recherche de l’interruption. Ils ne réussiront pas l’échec sera même terrible dans un futur proche. L’Europe aussi à se problème mais l’ennemie le différant est plus complique à identifier. Pour prendre l’exemple de la France on voit bien que l’ennemi et déjà le français de classe ouvrier ou le pauvre qui fait peur à la classe bourgeoise détentrice du pouvoir. En France le pouvoir est vraiment détenu par la classe bourgeoise, a dire la haute administration et le capital .c’est il est vrai la tendance dans tous les pays ; mais ici sais claire.
En Espagne cela est encore différant se sont les régions qui refuse la domination du centre, du pouvoir central. Surtout la catalogne et le pays basque, mais ce ne sont pas les seules. Il faut dire aussi que le pouvoir central en Espagne ne répond jamais à la périphérie. Elle a délégué aux régions tous se qui l’ennuyait, et ensuite elle répond avec brutalité pour soi-disant rétablir l’ordre constitutionnel. C’est assez génial un pouvoir central qui n'a jamais aimé les constitutions qui a toujours gouverné par ordonnance réclamer l'ordre constitutionnel. Encore une contradiction typiquement espagnol, une espagnolade !

On voie avec le procès catalan que l'Espagne veux des tribunaux, un droit, mais que la Constitution elle est mineure elle est secondaire. L’Espagne est une démocratie sur papier certains comportements mais il y a une vision qui se croit supérieur à la démocratie.
Les deux Espagnes c’est déplaisant surtout qu’il y en a plus de deux.
L’Espagne retrouvera l’unité le jour ou la peur disparaitra et les espagnols pourront le revendique réellement.  Aujourd’hui ce n’est pas le cas. Le modèle électorale le modèle territoriale ne le permet pas. Les découpages on était organisé justement pour empêcher au peuple la vraie prise de pouvoir.
a la recherche de t’on vais nom !

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