vendredi 9 février 2018

Réponse !






 L’ignorance et la mauvaise foi attribue a Zapatero la crise mondial de 2007 à 2012 en réalité le début de cette crise en Espagne début au traité de Maastricht. Les états européens doivent faire convergence notamment budgétaire.  Contrôlé le déficit et l’endettement.
L’Espagne ne peut en réalité entre en convergence avec les autres grands économies, simplement sont niveaux de richesse et sont modèle économique n’est pas l’adéquate pour une convergence. 
Il faut trouver une astuce pour adhérer à la monnaie unique, l’euro ? L’astuce est simple privatisé libéralisation se tournée vers le dieu libéral. Ouvrir la bible du libéralisme est se mettre au service du capitalisme international.
Avec la complicité du pouvoir et de la banque d’Espagne les banques empreinte sur les marchés mais aussi aux autres banques surtout européennes, et aussi font entrés dans le capitale et l’actionnariat des investisseurs étrangers.  Les banques espagnoles prêtes aux caisses d’épargnes et aux promoteurs aux agences immobilières.

 Ensuite il faut prêter aux particuliers mais le niveau de vie des espagnoles et plutôt bas, des salaires faibles.  Alors on prête sur de très longue période ,30 40 50 ans et voire plus , les espagnoles sont très endettées. L’ensemble du système économique est endetté les banques les entreprises les agences immobilières et les particuliers. La crise qui frappe les États-Unis arrive en Europe, puis en Espagne, l’Espagne elle va subir une double crise, une crise bancaire et une crise du logement.
Quant Zapatero a pris le pouvoir en 2004 il a bien vu le problème, mais il n’a pas su, il n’a pas pu, il n’a pas eu le courage. Dire aux espagnoles que leurs richesses n’étaient que de la spéculation une folie du libéralisme.  Puis aujourd’hui il faut aussi reconnaitre que le socialisme a viré et remplace la tradition espagnole du libéralisme. Les conservateurs catholiques et les libéraux laïques ou plutôt avec une autre bible. Historiquement ils ont toujours ruiné l’Espagne puis arrive la dictature !
Ont peu aussi accusé à Zapatero tous les banqueroutes de l’Espagne depuis les rois catholiques !
16 banqueroutes depuis les rois catholiques à nos jours ; et si aujourd’hui le pays n’est pas déclaré en banqueroute c’est parce qu’il fait partie d’un ensemble que l’on nomme union européenne !
 Que la cessation de paiement créerait une grande crise bancaire en Europe, notamment les banques allemandes françaises et anglaises.  La sortie de cris actuel est une illusion, la banque central européenne inonde le marcher de monnaie et achète de la dette. La croissance actuelle n’est que de l’endettement de l’état la réforme de l’emploi les économies dans l’administration et vente aux privées des derniers services de l’état.  Le résultat est quelque millions de pauvres supplémentaires en Espagne.
L’Espagne de Rajoy n’est pas en train de préparer un futur lumineux mais une crise encore plus grande et un appauvrissement généralisé de l’Espagne. Les signes sont déjà là !  
Perte de population depuis environs 4 ans, plus de décès que de naissance, une Espagne qui vie vieillie dangereusement.  Rajoy c’est une crise politique une crise économique et une crise sociale d’une ampleur insoupçonnable.  Les intellectuels les esprits les plus pertinents du pays ne parlent pas ou ne sont pas écouté, peu importe. Il faut reconnaitre la difficulté de donnait une réponse, surtout à un peuple qui regarde ailleurs. Cette nouvelle intelligence de l’immédiateté de la réaction à l’émotion de l’hyper modernité. Perte de l’identité pourtant elle est facile a trouvée en démocratie.
La démocratie et le dépassement des croyances des superstitions, même les traditions les plus barbares et inhumaines perde tous valeurs a l’union des peuples .   

  

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