mercredi 18 janvier 2017

Le brexit n’est pas l’apocalypse !?



Le brexit n’est pas l’apocalypse !?
Il y a des mots qui se transforment avec le temps qui populairement dise autre chose que le réel sens de départ.
Le mot apocalypse veut dire révélation mais comme il est le titre d’un live qui renferme un nombre considérable de catastrophes, une lutte entre le bien et le mal, il symbolise une destruction un effondrement. Quand ont lie bien il ni a pas que les humains qui vont périr la nature elle aussi subit une grave destruction. Les hommes se font la guerre et la nature les affames et se rebelle à eux, elle tremble le soleil nous brules. En plus une intervention divine qui nous accables dans un premier temps avant de nous sauver en détruisant le mal.
Le brexit de même à l’ origine il est le retrait de la grand Bretagne de l’union européenne, mais ceux qui le combatte parle de la perte économique et du risque de voir l’Angleterre s’appauvrir.
L’observation elle nous parle plutôt d’un nouveau départ, et il est aussi vrai que ce nouveau départ est le plus souvent difficile, mais pas systématiquement perdant, il peut être gagnant.  
Pour l’Angleterre le vrai problème est que le peuple et plus pauvre que les chiffres qui sont mis en avant, une grand parti de sa richesse ne sont que des transactions financier de l’argent pas toujours très claire et propre ; l’évasion fiscale la vente d’arme le trafic de tout genre etc.  Elle cherche aussi à se réindustrialisé et elle offre de nombreux avantages aux investisseurs mais le problème est que sa population n’est pas forcement bien préparait. Elle fait venir les industriels mais aussi les ingénieurs les techniciens et même les ouvriers qu’elle n’a pas pour son développement.  
 D’un cote les prix qui augmente la perte de pouvoir d’achat de l’autre une plus grand facilité pour l’étranger d’investir. L’un dans l’autre cela peut s’équilibrer pour les sujets de sa majesté.
Il y a souvent des confusions des préjugés sur la réel volonté des pays, exemple l’Espagne n’est pas dans l’union pour son économie mais pour rompre son isolement, pour vaincre ses drames national. 
L’Espagne est dans l’union européenne parce que toutes les autres expériences ont échoué !les guerre carliste trois, le libéralisme et le conservatisme, la dictature national catholicisme, puis la démocratie faussement social avec des autonomies, il ne reste plus que le fédéralisme pour sauver l’unité de l’Espagne .
Le repli des pays d’Europe est pour sur une perte économique pour ses pays, mais sans aucun doute pas identique pour tousses, mais cela peut aussi être un meilleur partage de la richesse national.

L’Angleterre a une économie plutôt artificielle, le pays de la révolution industriel et du foot il n’est plus et voilà longtemps champion du monde, la guerre de l’opium il ne peut plus l’entreprendre. Si la Chine a connu une révolution et aujourd’hui un pouvoir très puisant l’occident a une certaine responsabilité.
 L’Angleterre et l’Europe ont une difficulté avec le brexit, mais nous avons aussi une difficulté ensemble. Les anglais menasse l’Europe de se transformé en un immense paradis fiscal si on ne se plis pas à leurs exigences. Je signale que c’est déjà le cas, mais cela n’est pas suffisant à maintenir et soutenir l’économie du royaume. La politique de la canonnière des blocus portuaires de l’intimidation et de l’intervention dans la politique des autres pays cela ne marche plus.
La réindustrialisassions de l’Angleterre comporte plusieurs graves difficultés, l’Angleterre na pas seulement besoin d’attiré a elle les industriels mais aussi la main-d’œuvre qui va avec. L’Angleterre ne réussira pas à gagner de l’argent avec de l’argent elle aura besoin de proposé autre chose. Et je signale que ce n’est plus l’occident qui détient la véritable industrie du futur mais les pays d’Asie et surtout bien sur la Chine.
L’apocalypse et donc une révélation, il y a plusieurs apocalypses, mais elles sont tous très mal interprété, ou plutôt l’esprit est attiré pars les catastrophes, la bénédiction et la malédiction elles aussi sont incomprise. Les hommes ont donné des noms de dieux à ce qu’ils ne comprenaient pas. Avec le temps on a compris des choses et on sait replace les évènements reconstruire le cheminement qui a conduit à l’évènement.
L’Europe n’est plus une terre de guerrier, et ceux qui vocifères qui dise que l’on se couche devant les dangers se trompe, se sont eux qui vive couché devant les défis de notre temps .plutôt que de vouloir pousser les autres à prendre les armes, qu’ils les prennent eux-mêmes.
L’Angleterre a pris sont destin en main, mais elle n’a pas les moyens d’une politique d’affrontement, en plus il y a un mauvais calcul, l’Angleterre ne paient pas pour l’instant l’énergie dont elle a besoin avec le pétrole et gaz de la mer du nord dont les réserves sont en fasse d’épuisement. Ce qui avait permis à Margaret Thatcher ses réformes et sa guerre contre le monde du travail et les ouvriers en particulier « bénédiction malédiction de l’or noir » un peu comme le Venezuela mais en moi grave il est entendu.  Aujourd’hui il faut reconstruire une industrie que les anglais ne possèdent plus ou qui se trouve entre les mains d’autre pays comme l’Allemagne par exemple.
 Moi je n’ai aucun conseille à donner à Teresa May, ou peut-être si mais au final les anglais ont fait un choix. Faite tournée la planche a billet à plein régime et si la livre devient un monnaie de singe tempi pour les possesseurs. De toute façon l’euro lui aussi grâce aux banques et dans la même situation.
Madame May avant de dire encore plus de bêtises, le raisonnable ne serais pas de retournée devant les électeurs, de nouvelle législative ?   

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