De l’imprévu

 Si les politiques sont accusés d’être loin de la réalité, les journalistes de plateau, a dire les polémistes sont encore plus en dehors.

 On entend et ont lis  des critiques vraiment irréfléchie, faut dire que ses gens sont là pour cela. 

Les critiques les plus ridicules !

 Court-termisme : une phrase qui veut rien dire dans un monde libérale ou tout devient obsolète tous les trimestres ; il ni a pas d’autre solution que l’adaptation au plus rapide, avec des politiques d’interaction.

Construire dans la durée : je parle bien sûr d’une politique social et économique, bien de même ont peut pas vouloir une économie libéral  avec liberté des prix  et la loi du marché et réclamé l’intervention de l’état pour sauver un secteur.  Ses toujours l’impôt qui sauve les défaillances du libre-échange. On le voie avec les banques avec l’industrie avec l’agriculture avec les laboratoires pharmaceutique etc. 

 Des politiques de prévisions : il s’agit de la même critique  que cours termisme, il est impossible de construire  une défense pour sois et une précarité pour les autres, dans le libéralisme il ni a que la loi du plus fort, en réalité de celui qui détient un pouvoir sur l’autre. Ce pouvoir ne dure jamais il est changent et en continuel évolution. La Chine a peut-être une politique à long terme, mais sa vision est erronée et réclame aujourd’hui des adaptations, et on voit le désastre écologique et les déséquilibre qu’il entraine.

 Vouloir une politique d’anticipation des déséquilibres, bien il s’agit de se prendre pour un prophète ou un visionnaire. Et les prophètes se trompent 9 fois sur 10. Les politiques ne peuvent être que d’adaptation et réparation.

…………………………………………………………………….

Les libéraux sont à nouveau de sortie ils contre-attaquent dans les médias les réseaux sociaux la presse et les plateaux télés. Moi je veux bien mais leurs arguments ne tienne pas la route, le commerce mondial est déséquilibrer et ont vois bien que l’état et oblige d’intervenir  systématiquement pour résoudre les problèmes qu’il engendre. Qui gouverne le monde actuellement ?  Le capital spéculatif, bien sûr pas que il y a aussi des géants surtout les sociétés de l’internet de la téléphonie  de l’énergie et toujours ou encore quelques vieilles société dans l’automobile et la chimie, la pharmacie engrais et pesticide etc. .   Et bien sur l’industrie du luxe qui se porte mieux que jamais.

Donc je disais que nous somme fatigue d’entendre des gens dans les médias qui parle clairement sans avoir réfléchie par eux-mêmes mais sur commande, il répète se qu’ils entendent ou ils ont appris et travail pour une société de vente de produit, il veule nous vendre un produit sans comprendre le mécanisme. 

 Supposons pour faire plaisir que l’économie soit une science, bien s’est une science de comparaison, d’histoire, de la préhistoire à nos jours.   On peut bien entendu imaginer le futur. Si on se project dans le futur ont vois bien que l’économie actuel conduit à une catastrophe, écologique avec destruction des ressources et de l’environnement. 

Pour moi d’ailleurs cela est devenu inévitable, notre société veule vivre ainsi dans la consommation permanente l’hyper connexion et l’information en temps réelle.  Ils réclament un pouvoir sécuritaire contre le danger surtout des  autres et libéral pour eux. Ils veulent un pouvoir qui réfléchit pour eux et le bienêtre et eux passe à une autre émotion ou indignation  en une minute.

 Moi je veux bien vivre dans une société ultra libérale ou les règles du jeu je les fais moi-même et les fais évolué selon mon intérêt, et que le plus fort gagne.

Le pouvoir lui ne peut tous dire, il ne peut se présente en disent a ses citoyens citoyennes, notre monde est ainsi il y aura de plus en plus de pauvre dans le pays, nous dérégulons pour que vous vous vendiez a meilleur prix, la concurrence mondial fait que notre pays s’appauvrisse et nous vivons sur la dette et le travail de génération du passé.   

  D’ailleurs à la prochaine élection vous voulez remettre en selle une vieille politique qui a fait la preuve de son inefficacité, et inadaptation au monde qui vient.

 Les mesures que prenne nos politiques actuellement ne franchiront pas le temps elles ne sont que pour quelque mois puis il faudra réfléchir à autre chose trouver de nouvelles solutions.  

 Il existe bien entendu des solutions plus longues mais elles sont contraires pour le moment à la spéculation l’investissement à rendement rapide et le capitalisme des héritiers. Le grand projet du futur et une société moins gourmande en énergie moins consommatrice avec une production proche ou le plus proche du consommateur.  Ou quoi qu’en dise les politiques qui travaillera moins, puisque la robotique et l’informatique viendra remplace l’ouvrier et l’employer.

  Nous savons tous que le futur sera écologique ou la soumission la souffrance et la mort.

 Le vieux monde et surtout les hommes du passé refuse les changements et ils cherchent a adapté ce qui vient à leurs intérêt, il crée de la souffrance inutile, plus dur sera la chute.

 Le futur et le passé cohabite ensemble comme aujourd’hui ou nous voyons le passé au pouvoir le passé en guerre pour imposer une vision d’un autre temps.  Il y a plein de contradiction un monde du passé mais qui utilise les nouvelles technologies pour imposer et construit un monde du passé. 

 Ici en France en politique il y a un combat entre plusieurs passé, il y a tout de même des hommes et femmes pour le futur mais ils sont vraiment minoritaire marginalisé, ils ne sont pas moribonds, mais si empêché étouffé. Ils sont interdits de présent, marginalisé.

Les politiques ont une responsabilité oui mais pas celle que l’on croit, avec les agriculteurs ont le vois bien. Ils ont suive la politique voulu pars les syndicats et coopératifs agricoles est aujourd’hui il y a un gros problème. Les gens qui contrôle les coopératifs eux sont riches et vive de la misère des adhérents. Ils les obligent à investir toujours plus a acheté les semences pesticides et autre produit polluent. Et toute une économie vie sur la misère du travailleur de la terre. Mais ils ont eux aussi une responsabilité à leur situation.