mercredi 12 juin 2013

la petite



Corine et la plus petite d’une famille de 6 enfants comme j’ai beaucoup de mal a mettre des dates je dirais que cette famille des milieux populaires française et arrivé a foussemagne a l’époque de la construction du lotissement HLM. J’ai beaucoup de mal a expliqué j’avais déjà plus de 18 ans, mais encore un adolescent avec une vie très mouvementés. Nous ont quitté la cité de l’usine et le lotissement HLM apporté des nouveaux habitants de Belfort, a l’époque ont disait les personnes   en grands fragilités des grands ensemble de la ville ; les résidences, les dardels, les glacis etc. bien voila une cinquantaine de famille de la ville dans le village. L’intégration des nouveaux venu ses fait assez facilement, le stade la sale des fêtes, puis surtout le village de foussemagne a une long tradition d’accueillie les juifs de la révolution les italiens du début du siècle dernier puis l’émigration des années 60 70, donc continuité avec l’arrivé des gents de la ville de Belfort en perdition dans la banlieue. Mais revenons à ma petit Corine, Corine a la maison n’avais pas une vie facile la clase populaire française a beaucoup de défaut l’alcoolisme du père, la maman une femme gentil mais déborder et fragile, des grands sœurs aux mœurs très débridés, et des frères entre débiles et très perturbateurs des chercheurs de problème.  Corine elle, elle trainé beaucoup dans le lotissement, et le village, parfois en rentrant du travail elle était chez moi a gouté avec ma mère et a lui raconté tous ses difficultés de vive a la maison, elle trainé des pieds pour retourné chez elle. Moi et mes amies José Joël et Mohamed ont organisé nos différente activité ces a dire nos sorties, disons tous de suite la vérité l’importent a l’époque se sont pour nous les filles le sport et les voitures. Parfois ont était les quatre réunit derrière la sale des fêtes puis apparaissez Corine avec sont petit vélo, nous ont la grondé et lui disais se sont pas des heurs pour trainer rentre vit chez toi !
Corine était le trésor de cette famille, une fille avec beaucoup de caractère, une combattante dans sa maison et le principal soutien de sa maman. Elle était bel lumineuse comme le soleil, une peau blanche, des yeux bleu gris et une chevelure blonde avec des nuages rouge et noir et très brillent. De taille moyenne environ 1m65 bien proportionner ni gros ni maigre des fesses bien ronde et des seins merveilleux de beauté, un ventre plat et des jambes de rêve. J’aimerais aussi parler de sa voie, de sa voie à partir de 15 16 ans, comment décrire cette voie douce et au même temps énergique ?
La différence de l’âge, le plus âgé était José qui avais 3 a 4 ans de plus que moi, puis Joël et Mohamed qui eux avais 18 mois aussi de plus que moi. Quand j’avais 19 ans Corine elle, elle avait 13 ans, et notre jeunesses était la jeunesse de la vitesse en voiture des bals populaires, du sports et de l’insouciance de vivre une période de grand liberté et même ont peut dire de libertinage. Ont avais pas les interrogations d’aujourd’hui, ont parlé pas d’intégration, ni de justice social ; on voulait vivre intensément, bien sur nous a la maison ont était pour Mitterrand mais surtout le socialisme. Comment expliqué ? bien sur notre groupe était intégré a un groupe encore plus vaste a tous les jeunes de foussemagne mais aussi de Reppe Fontaine Frais Cunelières les trois Monteux etc. et même Belfort et ses différents quartiers alors qu’aujourd’hui il ni a plus de contacte avec la banlieue.
Donc voila un peut le cadre de notre vie de village, compétition sportif travail ou pour d’autre étude mais toujours solidaire. Des aventures amoureuses a ne plus savoir quoi faire, parfois je ne dit que si le racisme naissant a cette époque ne viens pas du succès des jeunes de la cité de foussemagne ? Les étudiants de la cité qui réussisse sont plus fort en sport il ni a pas photo et dans les mœurs et la relation amoureuse ils sont plus en avance que le reste de la population. 
A 15 16 ans Corine s’impose dans notre groupe et nous on ne peut pas la jeté, Corine et bonne étudiante et elle est au lycée a Belfort. Elle rêve de travail dans le dessin dans la couture, elle veut faire de la création, nous ont rie, mais elle sait ça qu’elle veut. 
Personnel, je la regarde grandir se transformé en femme, enfant elle était un ciel, mais en jeune femme, elle était un monde de saveur, tous mon corps vibré, un regard un mouvement une parole et tu étais transporté au paradis. Mais elle, elle disait un jour je serais prête pour l’un de vous, mais pour le moment je réfléchie, et nous ont éclaté de rire et elle devenait rouge comme une tomate. Puis une pensé ma traversé l’esprit et tous le corps, Corine choisira celui d’entre nous qui aura eux le cœur brisé ! José c’est trouvé une fiancé, Joël a mi enceinte une fille, et Med et moi ont a pas fini de découvrir le corps et l’esprit des femmes qui non pas encore livrais tous les secrets. Med a un amour secret en réalité je le connais je ne suis pas aveugle il est amoureux de ma sœur mais elle me voie rien et ne verra rien.moi j’ai une aventure avec une femme marié et bien plus âgé que moi, mais ça c’est une autre histoire.
Corine elle me lâche rien toujours là malgré nos infidélités ; puis le temps pas si vite dans l’insouciance de la jeunesse. En quelque moi la vie du groupe bascule dans un autre univers ; Joël épouse la fille enceinte puis peut de temps après c’est l’accident et pour nous la chambre noir pour plusieurs mois. La vie continue sa femme met au monde une petite fille, puis José aussi se marie avec sa copine, nous de nouveaux amies viens s’intégrer au groupe, les naissances de la fille de José puis du garçon, la vie continue. Puis à nouveau la tragédie José nous quitte au fond d’une cuve qu’il souder.
Triste nouvel année
Cette année ont a rien prévu ont discute les deux Corine, la notre, notre soleil et l’autre l’amante de Joël, jean Michel, et moi, Med m’est pas là. Puis finalement on dédise de sortir, tous est complet partout, ont passe la nouvel année dans la voiture en plein campagne direction Saint-Louis en Alsace. Il aurait pu se passé quelque chose mais la tristesse empêché autre chose que de la tendresse ! La vie continu se reconstruire apprendre à vivre avec l’absence puis de nouveau le drame. Elle dit on doit parler, il faut que l’on parle ; puis se jours avec sa copine dans le bus qui les conduits a l’école de Belfort elle me regarde et sa copine aussi puis sa copine lui dit une chose que depuis ma voiture je ne peu entendre elle se retourne dans le bus elle rie et me sourie et a un geste de la main. Depuis je sais de quoi elle parler sa copine me la dit ; si tu l’aime dit lui !
Dans la monté du moulin des bois une voiture dérape Corine sont père sa mère et un de ses frères. La voiture et pulvériser un seul personne et gravement blessés et bien sur c’est Corine qui et toucher a la colonne vertébral. Le constat de la police est accablant le père et soûl au volant.
Aujourd’hui quand je réfléchie a tout çà j’ai l’impression d’avoir vécu plusieurs vies et pouvoir raconté plusieurs histoire et en rajouté entre les lignes, puis apprêt le désastre une nouvel vie toujours à renaitre de ses cendres comme le phénix.
Pourquoi ont arrive jamais a tous comprendre de l’autre le monde intérieur de l’autre et si vaste. Le jour de sont enterrement j’ai apprit quel n’était pas catholique mais protestent et que la cérémonie aurai lieu au temple a Belfort, puis cette colère contre cette famille d’alcoolique.
Moi j’ai de la chance une famille qui sait aimer, à pas 30 ans les personnes les plus importants pour moi étaient presque tous disparu. Il a fallut continuer à vivre, bien sur d’autres personnes sont devenu importent dans ma vie, mais mes premiers amies je les portes en moi.

1 commentaire:

solete a dit…

J'en ai la gorge nouée. Que c'est triste, toutes ces disparitions ! Mais c'est vrai, il faut continuer, la vie est belle malgré tout.