dimanche 22 mars 2009

Ma cabane sur l’arbre

Ma cabane sur l’arbre

Le jour ou je me suis aperçu que j’existé il étai déjà trop tard pour faire marche arrière.
Enfant solitaire qui ne jouée jamais avec les autres enfants, même pas avec sont frère et sa sœur.
PARFOIS LES PERSONNES ONT UN DÉSIRE DE MORT QUE LES AUTRES NE PREUVE PAS ANALYSE !
Cette impression qu’on n’est pas a sa place, que se n’es pas nous qui sommes là entrain de vivre mais que quelqu’un vous a volé votre identité. Quand vous et tout petit vous ne pouvez pas analyser la situation vous constaté que vous n’arrivé pas à comprendre, que vous êtes en retarde par rapport aux autres, vous fait tout les efforts possible mais rien à faire vous n’arrivé pas, cette autre en vous ne veut pas il ne vous lèse jamais tranquille.
Moi j’ai eu de la chance, pratiquement tout les personnes que j’ai connue mon aimées, mon soutenu, malgré mon attitude sauvage toujours prés a décampé et même a agressé les intrus dans ma petit vie. Ma maman je ne la voulais que pour moi !
Un jour que mon père étai entrain de faire des cages a lapins, une idée mais venu je voulais fabrique ma maison dans un lieu sur.
Et quelle meilleur endroit que le petit bois derrière chez moi au bord de la rivière, je le connaisse bien l’endroit je lavais visité a plusieurs reprise, un endroit magique, OU Vivais UN PEUPLE MYSTÉRIEUX, je les entends mais je n’avais pas réussi a les voire il fallait que je les surprenne il devait êtres très rusé. Alors je ne suis ni a cherchez mon arbre le plus difficile à atteindre je ne voulais pas que les autres puis grimpé a mon arbre, moi je n’avais pas peur je grimpé dans des endroits ou les autres me pouvez pas.
Âpres plusieurs essai qui n’avais pas donnai de résulta je décide qu’il me fallait une corde pour hissée les planches que j’avais récupère a l’usine ou travaille mon père. « A la maison tout le monde m’observé avec étonnement et se demande se que je fabrique avec mon va et viens incessant, trainent dernier moi des planches».
Il me fallait prendre le marteau et les clous de mon père facile à faire, lui volé aussi de la ficèle.
Puis petit à petit avec beaucoup de difficulté j’ai fini pare réussir à faire un plancher sur mon arbre.
Les ennuie on commence très vite, d’abord le garde champêtre qui ma gronde et que j’ai envoyé se faire voire, puis les autres enfants qui voulez visiter mon arbre, pas d’acore il on déclenche la guerre il vont l’avoir leur bataille. Une jeudi après-midi alors que je pêché avec mais main, j’entends du brui dans la forêt, je me cache et surveille pour essayer d’apercevoir ce que sais, et la stupeur je voie les enfants de ma cité avec un échelle, mon frère est parmi eu, la colère me prend.
Je prépare mon lance pierre. Le premier blesse sais Mohamed qui prend une pierre dans le visage, les autres enfants sont prie de panique sauf mon frère qui s’approche et cherche a me maîtrisé, mais je me sauvé et je grimpe sur mon arbre pour me défendre, et je mais enfuit mais assaillent. De retour a la maison avec une inquiétude, ma mère et sa ma pas loupé « bronca » je me suis fait grondé et elle ma obliger à me rendre chez Mohamed pour prendre de ce nouvel. Ou la il avec un œil comme une patate, il la pas perdu sont œil ! Sa va ! Rien du tout ! Beaucoup de bruit pour rien.
Il mon lésé tranquille pour un certain temps, et j’ai pue continué mais recherche sur le peuple de la forêt et du bord de rivière, sans succès il faut dire je mais rien trouvé, mais ! J’ai découvert les garçons et les filles plus âgé du village, et L’endroit ou il se baigné.
Je trouvai que l’endroit étai vraiment trot fréquentai, et que je devais améliorer ma cabane, en luis construisent une rampe et un toit, se n’était pas facile a réalisai sa ma coûté beaucoup de travail, et je me sentais observais par les autres enfants, qui décider de construis eux aussi un cabane au pied d’un arbre.
Moi je préparai mon arsenal je décide de fabrique un arc et des flèche pour me défendre des autres, et au même temps je surveillai les plus grand et leur jeux stupide ; moi je me préparé a la bataille contre touts ces envahisseur qu’il y avec sur mon territoire.
Mais se qui devez arriver arriva, à force d’observais les grand je remarque une fille qui ne se comportai pas comme les autres, il fallait que je m’approche pour savoir pourquoi elle étai différente.
Je décide de me faire voir par eux, de me montrai, il me remarque tous de suite et il m’appelle, mais je me méfie de ces grand dadais, et je me sauve au plus vite je retournerai le prochain samedi avec mais armes on ne ces jamais si il faux se battre.
Pendent ces quelque jours d’attente je pense a ces fille plutôt tranquille, Qui avec une poitrine très jolie !
Enfin le samedi est arrive es je suis impatients de revoir la joli fille, mais il ni a personne a la rivière je suis tout-seul, je décide de me baigné et de mettre une corde a un arbre pour me balancé au dessus de l’eau. Et la alors que je suis entraient de joué a grimpé a l’arbre pour plonge, les grand débarque et il me voyeur sur l’arbre, et ils vont directement a l’eau et il me défie de plonge mais moi je ne les écoute pas se sont eux les peureux qui ne savez pas plonge. Alors il grimpe a l’arbre pour plongeai, mais moi je plonge et je vais de l’autres cote de la rivière pour voire la fille qui me plaid et je lui demande comment elle s’appelle, Ella stupeur elle me répond MARYLINE et elle me demande et toi je lui dis Julio, et elle et surprise par mon prénom. Je lui dis que j’ai une secret mais quelle ne doit pas le révélé aux autres, elle me dit d’acores, je luis dit a jeudi prochain sans beaucoup de conviction.
Le jeudi arrive et je suis impatient de la voire, et la je l’aperçois de loin, Qu’est qu’elle et belle. Elle me donne un bisou, je luis prend la main et je la guide a ma cabane en traversent la rivière par un passage que je croie que personne ne connais.
Je croie qu’elle m’aime bien, qu’elle aime jouet avec moi !
Le plus beau jour de ma vie, je suis entrain de lui apprendre a tiré avec mon arc, et je lui dis que je voudrai bien regarde sa poitrine, elle éclate de rire, moi j’insiste je veux savoir Qu’est que sais ces deux bosses de devant. Elle me demande quel âge a tu, je lui dis que bientôt 11 ans, et toi combien, bientôt 16 ans ; je baisse les yeux, sais une grand fille un vieille !
Et la elle s’approche de moi et elle dégrafe sa robe et se retrouve en soutien- gorge, slip ! Puis elle retire son soutien-gorge et son slip et moi je voie la chose la plus bel au monde, elle me serre contre elle et je voyage au pays des merveilles. On était bien tout les deux ont allai se promène, elle avec sa mobylette moi avec mon vélo c’était le bonheur je croie !puis un jour elle ma dit quelle partais étudie
A Strasbourg, je ne les plus jamais revue. Le peuple mystérieux je ne les jamais trouvé, les bataille avec les autres enfants il y en a eu. Mais le petit enfant qui vive en moi et en dehors et qui vie toujours maintenant je sais qui il est. Et le peuple mystérieux je finirai par le trouvé.
Julio

1 commentaire:

Oxygene a dit…

Ce billet est vraiment beau et touchant.