mardi 16 avril 2013

L’Espagne noir



                                                      L’Espagne noir
Se qu’il y a de bien avec la justice espagnol et qu’elle ne rend jamais la justice ! Un des rares pays d’Europe ou seul les innocents doivent craindre la justice.
L’église espagnol a des opinions sur tous les sujets, il ni a que sur dieu et sont paradis qu’elle na que des réponses confuses et peu crédible ! Pour l’église espagnol le royaume de dieu ressemble a l’enfer il ne manque rien ni le feu ni le bûché ni le bourreau, l’innocence est coupable de tentation, le bien est une perversion !
 Le parlement espagnol est un endroit magique qui peut transformer les droits de l’homme en sacrifice, la volonté national en soumission aux puissants, l’esprit de dialogue en litanie ! Se qui sort du parlement espagnol ressemble plus au venin du serpent qu’au vole de la colombe.
 Le peuple espagnol qui a peur du vrai progrès et qui se repli dans des traditions sanguinaire du passé ! D’où viens cette tradition de la corrida et tous ses jeux cruels ou les animaux soufre ? La corrida et un rituel ou l’homme offre au diable un sacrifice la majorité du publique et même le toréro parfois ignore qu’il participe a un rituel diabolique. Et pourtant si vous assisté une seul foi a une corrida et n’étend pas un aficionado vous pourrait constater de cette ambiance dans la place ou la mort et la haine transpercera votre cœur.
 L’académie de l’histoire. L’histoire d’Espagne est manipuler pars des historiens qui ressemble plus a une secte qu’a une académie. L’histoire d’Espagne est raboté, les angles arrondies, la vérité est tordu pour ne laissé qu’un roman d’une qualité douteuse. Condamnation expulsion crime contre le peuple. Les espagnols ont était parmi les premiers a crée des camps de la mort a Cuba, parmi les premiers à avoir utilisé des armes chimiques durant la guerre du rif. Oui l’histoire d’Espagne et une longue suite d’injustice contre sont propre peuple l’inquisition le garrot vil la guerre civil pour plier la volonté du vrai peuple.
Le citoyen espagnol et un être perdu qui a oublié d’où il vient et ou il va, avec les forces du mal pour guide, une église fanatique une armée criminel une monarchie qui parle quand elle devrait se taire et qui se tait quand elle devrait parler.  Il a laissé sont corps aux vautours croyant sauvait sont âme et il a perdu le corps et l’âme c’est évaporé sous le soleil, aucun dieu n’est venu pour le sauvait de ses tortures des blessures qui l’ont marqué. Sa foi sa croyance ne sont que du vent il a tué le poète pour rendre gloire a un dieu qui ne lui a jamais parlé. Il a fermé ses yeux a la vérité pour les ouvrir a l’ignorance il a bouché ses oreilles aux cries de justice pour les ouvrir a des fables.
La grandeur d’une nation ne se mesure pas à sa croyance mais a la place qu’elle donne au plus fragiles ! La richesse d’un pays n’est pas à ses banques mais sa culture et la place qu’elle donne à la nature.
     

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