Gunersindo Gonzalez Blanco !

Fils unique de don Ramon Gonzalez Rumayor et Doña Rosa Blanco Arce producteur de lait et agriculteur naturel de Cueto Santander. Epouse Évangelina Ceballos Blanco naturel de Suances près de torrelavega Cantabrie et cousine éloigné côté maternel. 7 enfants 5 garçons et 2 filles.

Son mariage n’était pas un mariage d’amour mais selon les traditions du monde paysan et de l’époque. Ont les mariés très jeunes et chez le notaire chaque parti apporté une dote, puis devenu adulte et avec ce patrimoine il construise leurs vie et Indépendance !

En fait mon grand-père n’a jamais réellement contrôlé sont héritage sa mère Doña Rosa « la dernier señora de la maison la fin d’un mode d’une époque » a toujours diriger les affaires de la maison.  Et sa femme était la neuvième d’une famille de 22 enfants et tous viable, son héritage a était l’église et le cimetière de son village qu’elle a donné au villageois et à l’évêché de Santander.

 J’ignore d’où lui viens sont socialisme, j’ignore bien des choses sur sa personnalité, un homme plutôt silencieux mais la famille de mon père et plutôt silencieuse. « Je parle de silence parce que ce sont des gens qui écoute beaucoup et quand ils parlent n’élève jamais la voix ». Il y a un contraste très importent et pour moi facilement vérifiable. Il me suffit de regarder la famille de ma mère, une famille qui porte tous les vertus et défaut de l’espagnol.  Famille de rapport passionnel grand parleur voix forte orgueilleux et fier et aussi les rois de la fourchette grand mangeur etc. («la famille de ma mère sont aussi cosmopolite, a dire les deux sens du cosmopolitisme  il sont citoyen du monde et leurs origine sont diverses. Ils sont présents sur tous les continents dans de nombreuses nations.  » . Non chez mon père rien de tout cela ; pas de religion parler avec eux de religion et comme leurs parler d’extraterrestre. Aucune superstition connue de moi.

 Il y a une particularité surtout dans la ligne maternelle la difficulté pour cette génération d’avoir des enfants, il était quatre cousins est les quatre enfants unique ! Ils ont aussi une autre particularité, il se ressemble énormément dans certains caractères physique.  Cheveux friser paupière arabe peau blanche comme le lait, imberbe pratiquement aucun poile sur le corps le visage ; petite taille ne dépassent pas le 1m75 etc... . Il ne revendique aucun forme de nationalisme il ne se revendique ni Cantabre ni espagnol. Pourtant leurs castillans est d’une beauté une pureté une clarté qui fait vibré jusqu’à l’intérieur des entrailles.

La fin d’un monde !

 Pour quoi pas Point d’interrogation ! Oui mon grand-père vient directement des premiers hommes qui quitte la chasse et la cueillette pour se transformée en éleveur puis agriculteur.

 Ce sont des gens libre par rapport aux autres hommes mais pas par rapport à leurs animaux les saisons et la terre, et mon grand-père n’échappe pas à cela. Il y a aussi une chose qu’enfant ma toujours émerveiller. Le dialogue entre eux la fluidité la facilité la tranquillité, et aussi avec les autres cette facilité d’aller au contact de faire parler et d’écouté l’autre.

Mon grand-père a vu la fin de son monde à lui, sa mère n’acheter plus les terres mais elle les vendait. La pression démographique de la ville de Santander leurs grignoté leurs terres. Puis les différents drames aussi. La guerre civile d’Espagne a vu la disparition de leur monde. Le combat de mon arrière-grand-père et de mon arrière-grand-mère était de protéger leur fils, mon grand-père, donc la liberté était menacée par le totalitarisme. Nom grand père n’avais pas conscience d’avoir perdu la guerre au contraire il affirmait fréquemment sa victoire sur la bête sauvage ; elle ne demande que du fourrage, elle revient cher puisqu’elle est improductif et sa descendance est stérile aucun beauté ne vient de ses entrailles. Mais ses enfants aimeront la liberté quand ils auront gouté à elle.

Il avait 35 ans quand il est parti faire la guerre, la dernière guerre romantique de l’Espagne est la premier guerre moderne aussi, et la dernière guerre selon ses dires.  Nom grand père était peut-être un paysan, mais aussi la première maison du village avec l’électricité et l’eau courante.

 Mon grand-père a fait une semaine dans un camp de prisonnier un mois de prison et a était jugé par un tribunal militaire.  Alors bien sur lui na pas était condamner, et il n’a pas juré ni signé aucun document ou il reconnaisse le régime de franco.  Un monde qui a disparu dans le silence et qui pourtant indique la direction le futur accepté le monde sans oublier le proche de nous !