Cervantès écrie
qu’Alonso Quijano passe ses journées et ses soirées à lire des livres de
chevaleries.
Il néglige l’administration de ses terres de sa demeure et
dédaigne ses amies.
La gouvernante et la
nièce font appelle au curée et au barbier des hommes lettrés pour juger des lectures
et détruire la bibliothèque de notre pauvre fou.
Très peut de livre échappe à la damnation et au feu de la bassecour,
le titre du livre suffi au curée et au barbier pour la condamnation la
gouvernent et la nièce qui ne savent pas lire leur jugement était déjà fait
depuis longtemps. La lecture la détournée de l’administration de son bien.
Cervantès écrie que don Quichotte et née pour surpasser et
ridiculiser les exploits des chevaliers des temps passé, il se lance lui-même
dans un combat contre les hommes de lettre de son temps. Il parle des plumes
mal affinées tremper dans une mauvaise ancre.
Il ne s’attaque pas qu’aux mauvais écrivains, il s’attaque aussi aux
lecteurs et à la censure. Cervantès lui ne brule pas les livres mais il est
convaincu que ses livres véhiculent de l’ignorance et endorme l’esprit critique.
Il voie dans les récits la censure de l’inquisition la peur du changement et la
soumission à une autorité qui n’est pas compromise avec le citoyen.
Cervantès nous décrie un homme incapable de dépassé les
frontières de sa province de la manche, et incapable de dépassée la croyance
qu’il s’est construit à la lecture de ses livres de chevalerie.
La scène des galériens conduit par les soldats du roi et
l’incompréhension de leurs condamnations, Don Quichotte l’attribue au faite que
le roi et mal informée au sujet de ses pauvres diable.
Après s’être informée par ses questions au près des
condamnés du pourquoi de leurs situation il considère un devoir de leurs rendre
la liberté.
La contradiction entre le romancier est son personnage,
Cervantès veut nous convaincre de l’absurdité des livres de chevaleries, alors
que son personnage s’efforce de vivre dans la vertu le courage la vie des
chevaliers d’autrefois. Il s’obstine à mettre en pratique sais lectures
Mais la contradiction va bien au-delà puisque son personnage
veut faire renaitre l’esprit de la chevalerie avec un amour une quête et la
lutte pour la justice.
Cervantès lui veut juste combattre les intrigues de cette
noblesse se clergé oisive et leurs intrigues de palais. Ses courtisans qui empêchent le roi de voir
la réalité du peuple. Et le peuple de vivre pleinement son émancipation.
L’Espagne de Cervantès était une Espagne qui avais une
inquisition qui pourchassé ce qui n’était pas considéré comme bon chrétien.
Cervantès introduit une idée géniale à l’intérieur du livre
l’auteur est en panne d’idée et il va à la recherche d’un historien et
traducteur arabe, celui qui détient la véridique histoire des aventures de Don
Quichotte.
Don Quichotte lui il voie autre chose un génie qui fait
obstacle a sont désiré de justice et vivre pleinement ses aventures, en plus il
est persuadé que le génie écrit sont histoire en temps réelle. Qui peut
modifier les choses et les évènements.
Ou l’auteur et son personnage se rejoigne et dans le fait de
la conscience de vivre au siècle d’or seul Sancho Panza ne perçois cela.
Alonso Quichano se découvre il est persuadé d’avoir une
mission à accomplir, il devient Don Quichotte puis il reste invariablement lui
jusqu’à son retour définitif ou il meurt dans son lit, il est à nouveau
Quichano, un pauvre homme.
Sancho lui évolue tous au long du récit il se transforme,
quand il va voir son voisin dans son lit de mourant alors que la gouvernante la
nièce le curé et le barbier tante de l’éloigne, ils ont peur de réveille le pauvre
hidalgo et que ne reviens ses idée d’aventure et chevalerie. Il est le seul a
pleuré sur la fin mélancolique de son voisin, et lui fait même une proposition
pour le tiré de cette situation. Il lui propose une nouvel aventure mais cette
foi de prendre les habits et les trais d’un berger.
Mais Quichano décline l’offre et en plus intervient l’auteur
il est conscient d’avoir porté un coup fatal aux histoires de chevaleries mais
aussi au récits et roman pastoral. Les romans bucoliques les amours chaste, le
devoir des amants. Fini ce genre il la bien tué, même si les autorités surveille
et censure il ni a pas possibilité de retour en arrière.
Don Quichotte ne comprend pas que l’on conduise aux galères
des hommes pour avoir aimés et être pris avec l’objet de leurs amours dans les
bras, il ne comprend pas que des hommes qui ont chantés sous la tourmente puis
être condamné. Sancho tente une explication mais Don Quichotte refuse ses explications.
Quand il voie une dame accompagne de moines en noir lui voie un prisonnier une
femme conduite par la contrainte.
Cervantès démasque la
supercherie de son monde, les hallucinations de son personnage dévoilent le mensonge
l’hypocrisie des adversaires.
Suite à la libération
des galériens :
Sancho ; je propose que nous mettre à l’abri dans ses
montagnes proches des fin ligner de la saint inquisition, je sen déjà les
flèches volés au-dessus de nos têtes !
Don Quichotte ; je suis près à attendre de pied ferme
Castor et Pollux les douze pères de France les chevaliers de la table ronde,
tous les frères confrères et confréries de la terre. Je refuse de prendre la
fuite !
Sancho insiste, et fait savoir à son seigneur que lui n’est
que simple écuyer et que par conséquence il n’a pas le droit de combattre
contre un chevalier. Puis de tous façon il s’évanouirait dès les premiers coups.
Pourquoi Cervantès
introduit Cid Hamet Ben Engeli historien moresque de langue arabe, et il prétend
qu’il est coauteur de son Don Quichotte. Don Quichotte lui vois se Cid Hamet,
comme le génie qui transforme sont histoire et mais des obstacles à la réussite
de son projet. Finalement sans les artifices du génie ses aventures n’aurais
pas la même saveur l’histoire aurais manqué de chair. Une histoire fade sans épice
ni piquant.
Cervantès lui parle du moresque de langue arabe comme d’un menteur
ou plutôt comme un personnage qui reste toujours en deçà de la vérité qui cache
beaucoup des exploits et ridiculise notre héros et fait passé sont écuyer pour
aussi bête que sont baudet.
Lui le chrétien dit la vérité que le pouvoir et l’inquisition
lui suggère le moresque lui cherche a déformé l’histoire, comment un homme qui
est obligé de caché son identité pourrais dire la vérité.
Quand Don Quichotte et Sancho Panza retourne à la maison ils
sont déjà au courant que leurs aventure a était publier. Ils en contestent sans
l’avoir lu le récit, il pense avoir était malmener pars l’auteur qui n’a pas
toujours était à la auteure de cette grand aventure, il n’a pas su retranscrire
tous leurs exploits.
Un historien moresque qui écrit en temps réelle et un chrétien
qui recherche dans les archives de la Manche, et chez un écrivain public qui a
la prétention d’être historien traducteur et philosophe !
iEl ingenioso don
Quijote de la Mancha!
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