L’Espagne est le pays
le moins égalitaire de l’union européenne, rien de nouveaux en réalité, la seul
période où il y a eux plus d’égalité se fut durant la période franquiste dans
un pays en ruine.
L’Espagne a plusieurs réalité, si nous regardons région part
région et a la loupe nous découvrons une autre réalité ; pour prendre
l’exemple de ma région de la Cantabrie qui est un nom surgie de la nouvel
constitution et n’était même plus utilisé dans les documents administratifs et
officiels, seul les historiens l’utilisait dans leurs travaux d’investigations,
pour marqué les différences entre les différentes régions et provinces de la Castille.
Donc si nous regardons a la loupe ont constats que depuis
1900 tous les autorités qu’ils soient démocratique plus ou moins autoritaire
militaire ou civile ont tenté de copié le modèle Asturo Cantabre pour le
généralisé dans le pays sans rencontrais la réussite.
Le pauvre a une histoire et tous les pauvres non pas la même
réflexion sur leurs conditions.
Je suis obligé d’être
très prudents pour ne pas réveillé les démons de l’Espagne, mais les pauvres
qui ont combattu pour le franquisme ont reçu un meilleur traitement que ceux
qui ont lutté pour la république. De la surgisses les problèmes actuel de
l’Espagne, les pauvres qui était démocrate était pauvre matériellement et
accablé pars les taxes impôts et autres pénalité, l’intimidation et la
répression ; intellectuellement et pour le travail ou même pour se
débrouillés pour faire chemin ils trouvaient facilement des solutions pour eux
et leurs familles.
Bon on ne va pas expliquer ici et maintenant tous
l’histoire.
Disons pour être pratique que Santander d’avant la guerre de
1936 était plus riche que le Santander de 1956, Santander a eu besoin de plus
de 20 ans pour récupéré son nivaux économique, avec de profonds changements qui
ont même modifié sa mentalité comme ville, et un peut sa physionomie.
Santander et sa province avais déjà dans les années 1900 de
profonde et puissante structures, tous les enfants était scolarisé, un système
de santé universelle et de prestige dans tous le royaume. Une presses et des
plumes de reconnaissance aussi national et même international, très écouté pars
sont libéralisme et liberté d’expression et de ton ! Sans oublier les pensions de retraite les
jours de congé la semaine de travail a 40 h, un système financier et
administratif très impliqué dans le progrès et le bien-être de sa population
etc. pour cette terre l’arrivé de la démocratie en 1975 et sa transition que
l’on peut dire finie en 1986 avec l’adhésion a l’union européenne , na était
qu’un retour a une forme de légalité , mais Santander n’avais plus cette
énergie positif une société plus dual que jamais.
Il est vrai que c’est
mieux que des historiens étrangers parlent de la situation et la réalité
historique d’un pays ; plus de sureté dans la non manipulation de la
réalité, puis aussi ont pourra mieux discuter du chemin parcouru.
Il ne faut pas voir
le passé avec nostalgie puisque l’aventure est devant nous, mais nous somme
tout-de-même obligé de constaté le drame et la perte d’un chemin qui a conduit
a la réussite d’une terre.
Un historien qui ferait une étude de la période 1814 le
départ des troupes napoléoniennes a 1936 le début de la guerre civil. Se
trouverais confronté à un paradoxe, une région riche dynamique égalitaire, dans
un pays pauvre malade et en crise. Puis sous le franquisme un autre paradoxe,
le régionalisme de la province de Santander qui s’impose au reste de l’Espagne.
Oui mais que la vitrine non l’âme et l’esprit. L’exemple le plus visible et la construction,
l’architecture régional montagnard applique a tous l’Espagne, une erreur
tragique et finalement une monstruosité. Bien sur qu’il faut copier un peut se
qui marche chez les autres mais pas tous et aveuglement il faut mettre sa
propre marque, sont style. Prendre exemple sur se qui marche chez les autres
oui, copier non puisque nous ne comprenons pas tous les mécanismes qui ont
conduit a se résultat.
Le système financier
de même Santander et la Cantabrie avait un puisant système banquier, mais il
était spécifique a la région, sa basse était le commerce international,
l’agriculture surtout l’élevage et les produire de l’industrie. Et le plus
importent, il a était crée pour deux raisons importante. Le crédit au
particulier au commerce l’agriculture et la petite industrie. Puis aussi en
opposition au pouvoir centrale qui n’investissais pas dans les infrastructures.
Le chemin de fer, deux compagnies une de voie étroite qui unissez tous la
cordière cantabrique des Asturies au pays basque et une de voie standard pour
brisé l’isolement historique de la région avec le reste de l’Espagne direction
la vieille Castille et la nouvel pour atteindre Madrid le cœur de l’Espagne.
Notre cheminement historique puisque nous somme finalement nous aussi des
castillans, même si il ni a pas un bon entendement entre nous ! Aujourd’hui il
reste toujours aussi puisant mais il na plus de perspectif, il tourne sur
lui-même et sont but et faire de l’argent pour l’argent et enrichir des déjà
riches ! Se système c’est corrompu et il doit retrouver un chemin utile a
la société.
Puis le plus importent de cette différence la place de la
femme Cantabre dans cette société espagnole.
La femme Cantabre a
toujours était une grande travailleuse, on la voit dans les vieilles photos de
1900 au port décharger les bateaux de marchandise ou de pêche, sur la place du
marcher a préparé ses étales et vendre ses produits, ou aux champs ou dans les
étables à traire les vaches etc...Aujourd’hui elle est encor plus présente,
avec une évolution surprenante, moins ouvrière que pars le passé plus instruit
diplômé, même si pas spécialement plus cultivé que ses aimées qui avais une
connaissance pratique vraiment exceptionnel. Se dynamisme cette prise du
pouvoir pars le travail, na pas était suivie pars les hommes qui sont resté en arrière
et croie toujours dans les vieilles recettes. La femme Cantabre est aujourd’hui
moins en vue dans cette Espagne plus ouverte et moins machiste, mais
tout-de-même cette femme de caractère extravertie et entreprenante, a sus
concilié sa supériorité comportementale avec une grande générosité pour le
conservatisme de certain homme. La femme Cantabre a toujours était maitresse de
sont destin, mais elle a combattu dans le silence contre sa dur situation, le
travail pénible la précarisation pars l’école et un plus grand
professionnalisme. Deux mil ans d’histoire sous la domination de l’impérialisme
la religion et des pouvoirs plus ou moins machiste dans un pays ont caché une
femme de progrès et laborieuse.
Une image de ma
grand mère ; la mère de mon père !
Une petite femme sec comme une trique toujours bien coiffé
avec un chignon, sa longue robe noir de travail et ses espadrilles ; son
cheval sa charrette les bidons de laits, elle descendait le quartier de
bellavista avec son cheval au trot direction le sardinero ! Elle avait le
verbe facile et picaresque, elle n’était pas très a l’aise dans la cuisine,
toujours dans les champs ou a l’étable !
L’Espagne reste un pays mal connu pars les autres peuples de
l’Europe et même part les espagnoles, il est vrais que plusieurs vision du pays
et réalité s’impose, l’Espagne est un pays de nations, plusieurs nations cohabite.
La tentative de centralisation a la française a échoué, il y a dans le pays des
régions états a forts caractères. Si nous ne trouvons pas un objectif en commun,
bien sa risque de devenir difficile la cohabitation. Pour moi l’Europe ne doit
pas rester notre seul objectif, l’Amérique et la méditerranée sont a mon
opinion plus importent pour notre futur. Bien sur il faut rester vigilant et
proche de cette Europe qui n’est pas suffisamment pacifié et reste dangereuse
pour l’équilibre du monde et la paix. L’Europe cherche toujours le mal partout
et peut-être il est partout mais le plus dangereux pour moi il est ici,
l’Europe peut déraper dans la terreur.
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