dimanche 12 août 2012

Octobre dans le brouillard


                                                  Octobre dans le brouillard

            La grande bourgeoise ruinée

 Mathilde à 30 33 ans elle est fine et très bien proportionnée, un visage lumineux et un sourire de diablesse, elle roule en Peugeot 206 décapotable et vie dans une immense villa du sardinero dans le quartier Perez Galdós. Elle a fait des études supérieure en micro-mécanique, mais elle est propriétaire d'une boutique de bijoux de fantaisie don elle est très fière .elle parle avec passion de ses produits et amies artisans qui les ont élaboré. Le matin elle ouvre ça boutique a 11h et ferme a14h puis se dirige directement a la plage ou elle rejoint ses amies pour déjeuné prendre un bain de mer et se relaxer puis retour au travail a 17h jusqu’à 21h. elle disparais au volant de ça voiture puis elle réapparais a 23H encore plus bel est diablesse que sa beauté naturel de la journée .les nuits sage  de Santander promenade a Puerto Chico, pinchos et coupe de vin , longue conversation danse et rire, séduction subtile des femmes qui gouverne le rythme des  nuits douce de Santander.

Il est 22H45 la clef dans la serrure tourne ma mère je suppose ?  Tu à dîner ! Non je dîne en ville ! Et toi tu à gagné ! Non ! (« Gagné ; les espagnols comprendront de quoi je parle ! »)
Maman tu sais qui habite dans la bute derrière le casino ; tu sais la grosse maison ? Bien je croie que c'est la maison de la famille L ; le vieux banquier L et mort dans un camp de travail en Algérie dans les années 40 je croie savoir ; mais pourquoi tu veux savoir ! Pour rien salut a demain !
 Le portable bip julien ; je suis au blu ; je ta-temps !en un minute je suis là. J’aperçois Mathilde un verre a la mais qui discute avec des copines, et julien a quelque mètres qui les observes mais il n'ose se pas les abordais. Ont s’approche du bar, julien tu a vu la femme elle est super bel ! Moi tu veux parler de Mathilde ! Comment tu connais sont non ! Bien oui je lui et demander la semaine dernière ! Julien par rejoindre ses copains copines, et moi je tente une approche, un abordage en douceur de la bel.

Mathilde et la fille du avocat et une professeure arriéré petit fille du banquier L .Qui quitta l’Espagne avec sa famille en 1937.août 1937, la ville de Santander tombe entre les mains des troupes franquiste, dans le port les gens les plus compromit avec la république tente de trouver une place à bord des bateaux. La famille Lavin monte a bord du bateau de pêche l’Esperanza direction l’inconnu en l’occurrence Alger la blanche. Il installe sa famille, puis arrêté pars les autorités française.  Il est envoyer avec deux de ses fils dans un camp de travail, la construction du chenin de fer dans le désert algérien ou il mourra d’épuisement. Dans les années 50 sa femme sans ressource décide de quitté l’Algérie et de retourné en Espagne avec ses trois enfants don le grand père de Mathilde. Ils s’installent à Madrid mais les étés ils les passes à Santander dans la maison familiale en famille avec les cousins cousines. Apprêts les études et quelque années a l’étranger Mathilde décide vivre et faire sa vie au bord de la mer.

 Ola chicas ! Ola Mathilde ! Hier je suis passe pars Perez Galdós et j'ai aperçus ta voiture dans le parque et la maison des L ! Qui et tu Mathilde une L ? Elle sourie et dit ; je suis L G et sais chez moi ! Je lui dis ton vergers et un peu abandonner les grilles et le portail sont dans un sale état et la maison a besoin de reforme, non ! Elle bien si tu veux faire les travaux moi ça m’arrange puisque moi je n'ai pas les moyens ! Tu veux rire avec une propriété comme la tienne ! Elle ne m’appartient pas mais a la famille ! Je change de conversation ; et la situation du pays que penses-tu de la direction prise pars les politiques !  Elle bondit ! En octobre le pays sera ruiné définitivement ; es les fils des gangsters irons se faire enculé ! Tu es bien dur je trouve ! Tu te trompe ; tu voies mon histoire tu la construis tous seul et sans problème, mais l’histoire des autres tu ne pourras pas la construire ils viennent de la méchanceté et retourneront a leurs haines, ils non rien apportés a se pays ! En octobre ! Pourquoi en octobre et pas aujourd’hui ? En octobre ils regards leurs caisses pour savoir si ils vont passer l’hiver ! Toi aussi non ! Oui mais mes parents vont m’aidait a passé l’hiver !

Les quelques conversations nocturne avec la chaleur particulier de Santander, se bruit que fait la foule comme un grondement qui fait que moi je ne sais pas pourquoi, je ne tien a distance ! Une tranquillité une passivité dangereuse, une colère rentrer ; les français sont moins bruyant. Au loin j’aperçois ma cousine et sont mari ont vas diner ensemble, Jacoba et Javier, Javier et un industriel il fait partit des riches surtout sont père qui vas l’aidé a passé cette crisse terrible que connait l’Espagne, ils embrassent Mathilde ; moi vous la connaissez ! bien oui ! Sais moi qui lui et fait la devanture de ça boutique. Nous partons diner et octobre revient dans la conversation, Javier en octobre ils vont touts se faire enculé ; puis Mathilde se mais a rire et nous aussi !
 L’Espagne en morceaux, l’Espagne se casses, mais j’ai constaté une rupture particulier, les apparences sont trompeuses, si tous souffre les enfants des fachos cette foi-ci sont entraine de perdre le pouvoir. La prudence et de rigueur il ne faut pas les bousculés les lésais perdre pars eux-mêmes les lésais s'enfoncés dans leur misères et médiocrités sans rien leurs dire, chacun a ça place et les cochons seront bien garder, les espagnols vont enfin trouver la vrais liberté personne viendra sauver les fachos ils ont trop fait de folie la facture et trop élevais. Tous les espagnols payez cette folie mais eux ils iront à la ruine !



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