Octobre dans le brouillard
La grande
bourgeoise ruinée
Mathilde à 30 33 ans
elle est fine et très bien proportionnée, un visage lumineux et un sourire de
diablesse, elle roule en Peugeot 206 décapotable et vie dans une immense villa
du sardinero dans le quartier Perez Galdós. Elle a fait des études supérieure
en micro-mécanique, mais elle est propriétaire d'une boutique de bijoux de
fantaisie don elle est très fière .elle parle avec passion de ses produits et
amies artisans qui les ont élaboré. Le matin elle ouvre ça boutique a 11h et
ferme a14h puis se dirige directement a la plage ou elle rejoint ses amies pour
déjeuné prendre un bain de mer et se relaxer puis retour au travail a 17h jusqu’à
21h. elle disparais au volant de ça voiture puis elle réapparais a 23H encore
plus bel est diablesse que sa beauté naturel de la journée .les nuits sage de Santander promenade a Puerto Chico,
pinchos et coupe de vin , longue conversation danse et rire, séduction subtile
des femmes qui gouverne le rythme des
nuits douce de Santander.
Il est 22H45 la clef dans la serrure tourne ma mère je suppose ?
Tu à dîner ! Non je dîne en ville !
Et toi tu à gagné ! Non ! (« Gagné ; les espagnols
comprendront de quoi je parle ! »)
Maman tu sais qui habite dans la bute derrière le casino ;
tu sais la grosse maison ? Bien je croie que c'est la maison de la famille
L ; le vieux banquier L et mort dans un camp de travail en Algérie dans
les années 40 je croie savoir ; mais pourquoi tu veux savoir ! Pour
rien salut a demain !
Le portable bip julien ;
je suis au blu ; je ta-temps !en un minute je suis là. J’aperçois
Mathilde un verre a la mais qui discute avec des copines, et julien a quelque
mètres qui les observes mais il n'ose se pas les abordais. Ont s’approche du bar,
julien tu a vu la femme elle est super bel ! Moi tu veux parler de Mathilde !
Comment tu connais sont non ! Bien oui je lui et demander la semaine dernière !
Julien par rejoindre ses copains copines, et moi je tente une approche, un
abordage en douceur de la bel.
Mathilde et la fille du avocat et une professeure arriéré petit
fille du banquier L .Qui quitta l’Espagne avec sa famille en 1937.août 1937, la
ville de Santander tombe entre les mains des troupes franquiste, dans le port
les gens les plus compromit avec la république tente de trouver une place à
bord des bateaux. La famille Lavin monte a bord du bateau de pêche l’Esperanza
direction l’inconnu en l’occurrence Alger la blanche. Il installe sa famille,
puis arrêté pars les autorités française. Il est envoyer avec deux de ses fils dans un camp
de travail, la construction du chenin de fer dans le désert algérien ou il
mourra d’épuisement. Dans les années 50 sa femme sans ressource décide de
quitté l’Algérie et de retourné en Espagne avec ses trois enfants don le grand
père de Mathilde. Ils s’installent à Madrid mais les étés ils les passes à Santander
dans la maison familiale en famille avec les cousins cousines. Apprêts les
études et quelque années a l’étranger Mathilde décide vivre et faire sa vie au
bord de la mer.
Ola chicas ! Ola Mathilde !
Hier je suis passe pars Perez Galdós et j'ai aperçus ta voiture dans le parque
et la maison des L ! Qui et tu Mathilde une L ? Elle sourie et dit ;
je suis L G et sais chez moi ! Je lui dis ton vergers et un peu abandonner
les grilles et le portail sont dans un sale état et la maison a besoin de reforme,
non ! Elle bien si tu veux faire les travaux moi ça m’arrange puisque moi
je n'ai pas les moyens ! Tu veux rire avec une propriété comme la
tienne ! Elle ne m’appartient pas mais a la famille ! Je change de
conversation ; et la situation du pays que penses-tu de la direction prise
pars les politiques ! Elle
bondit ! En octobre le pays sera ruiné définitivement ; es les fils
des gangsters irons se faire enculé ! Tu es bien dur je trouve ! Tu
te trompe ; tu voies mon histoire tu la construis tous seul et sans problème,
mais l’histoire des autres tu ne pourras pas la construire ils viennent de la
méchanceté et retourneront a leurs haines, ils non rien apportés a se
pays ! En octobre ! Pourquoi en octobre et pas aujourd’hui ? En
octobre ils regards leurs caisses pour savoir si ils vont passer l’hiver !
Toi aussi non ! Oui mais mes parents vont m’aidait a passé l’hiver !
Les quelques conversations nocturne avec la chaleur
particulier de Santander, se bruit que fait la foule comme un grondement qui
fait que moi je ne sais pas pourquoi, je ne tien a distance ! Une tranquillité
une passivité dangereuse, une colère rentrer ; les français sont moins bruyant.
Au loin j’aperçois ma cousine et sont mari ont vas diner ensemble, Jacoba et Javier,
Javier et un industriel il fait partit des riches surtout sont père qui vas l’aidé
a passé cette crisse terrible que connait l’Espagne, ils embrassent Mathilde ;
moi vous la connaissez ! bien oui ! Sais moi qui lui et fait la
devanture de ça boutique. Nous partons diner et octobre revient dans la
conversation, Javier en octobre ils vont touts se faire enculé ; puis Mathilde
se mais a rire et nous aussi !
L’Espagne en morceaux,
l’Espagne se casses, mais j’ai constaté une rupture particulier, les apparences
sont trompeuses, si tous souffre les enfants des fachos cette foi-ci sont entraine
de perdre le pouvoir. La prudence et de rigueur il ne faut pas les bousculés
les lésais perdre pars eux-mêmes les lésais s'enfoncés dans leur misères et médiocrités
sans rien leurs dire, chacun a ça place et les cochons seront bien garder, les
espagnols vont enfin trouver la vrais liberté personne viendra sauver les
fachos ils ont trop fait de folie la facture et trop élevais. Tous les
espagnols payez cette folie mais eux ils iront à la ruine !
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