lundi 7 décembre 2009

l’émigration

 J’avais lu une billette chez leeloo qui parle de l’arrestation dans un train pars la Garde civils d’un clandestin, et d’une femme avec son enfant qui pris place dans le wagon et tout les gens font silence ! (j’avais était particulièrement ému pars sont récit de cette histoire et un souvenir d’enfance ma troublé) Moi quand je vois l’évolution de nôtres Europe et de la France ou je vie sa me rappelle le franquisme ou l’arbitraire était la règle.  Touts les vrais voyous étaient dans le camp du franquisme. Alors quand j’entends parler d’identité nationale, de couvre feu pour les jeunes, et que le curé et plus importent que le professeur sa me mais en colère.
Histoire de train vécu part un petit enfant qui quitté son pays sans le savoir !  Nous partons rejoindre nôtre père manuel (surnom Manolo) qui a trouvé un emploi dans la région de Colmar en Alsace dans les tuileries Sturm.  Je ne me souviens pas bien de toute l’histoire mais plutôt bien des nomment les plus drôles et curieux de se voyage. Nous somme nombres dans le groupe mon père à trouver du travail pour sais amies et connaissances dans le village de cueto. Nous moi julio mon frère José Manuel (manu) et ma sœur Barbara (Barbarita) ma mère Virginia (surnom la UCA) et mes deux oncles frère de na mère, Enriquez et Facundo (el niño) et Gregoria (segunda) la mère de ma mère, les autres se sont tout-se des hommes de touts âges il vienne en France pour travailler nous somme la seul famille du groupe. Arriver a la frontière et les premiers ennuis qui commencent.  La garde civile avais vous quelle que chose a déclarés, certain hommes ont de l’alcool en grande quantité qui leurs sera confisqués, mais le pires sais non oncle el niño ; on fuie la misère que voulez-vous que l’on déclare ; et la police l’arête et le mais a l’écart ; ma mère se retourne et le policier luis dit de continuer son chemin, mais elle refuse elle dit aux policiers quelle ne partira pas de la sans sont frère. Le policier dit, insulte à l’autorité ; ma mère dit insolence d’un enfant de 16 ans ; le policier, sa va luis couté cher ; ma mère et combien ; le policier 4 mille pesetas ; ma mère ont ne les a pas sais trop la somme que vous demander. Ma grand mère dit a ma mère continu le voyagé avec les enfants je reste la avec lui. Et la tout les hommes intervienne et mette la main à la poche pour trouver l’argent que réclame la garde civile.
Irun Hendaye le train pour paris. Dans le train tout se passe bien les hommes chante et ils font beaucoup de bruit mais je n’ai pas souvenirs que les voyageurs et protesté ou fait des réflexions, bon il était nombres et sa devait leurs faire peur. Arriver a la Garde d’Austerlitz, je suis impressionne pars les lieux et les nombres de trains et nous au milieu de cette grand Gard charge de toute sorte de bagage perdue et mon oncle Enriquez avec un matelas sur la tête et qui crie a ma mère uca ne nous abandonne pas ici, une situation super comique. Na mère et le guide du groupe elle est déjà venu plusieurs fois rejoindre mon père, maintenant il faut se dirige a la gare de l’est. Je croie que nous somme observer et pas comme des touristes. Le premiers voyage la tour Eiffel je ne l’ai pas vu j’étais juste impressionne pars la sensation de grandeur de la ville. Le métro et cette drôle j’avais l’impression que les gens s’écarté a notre passage comme si il se sent envahi pars un peuple en marche, mais je ne note aucun agressivité. A nouveau le train direction Colmar et le paysage se transforme il était couver de neige tout étai blanc et une sensation de liberté. Arriver a la gare de Colmar, moi je ne reconnais pas mon père le premier à l’embrasser et un cousin de ma mère, moi je voie un bonhomme avec un bonnet sur la tête et des bottes aux pieds et je me demande pour quoi il est t’élément embrassé pars les autres qui est t’il se tipe que tous le mondes entourer !
 A la fin de la guerre civile un oncle de ma mère du nom de Pedro fallagan Garcia avais disparut de la région la garde civile le recherche il fait parti des hommes qui ont donné l’assaut du bateau Alfonso Perez dans le port de Santander ou des dizaines de prisonniers franquiste sont mort. Pour le village il était mort un disparu comme plus de 36 mille morts ou disparus dans la région a la suite de la guerre, mais dans les années 60 sa sœur reçois une lettre de sont frère qui lui dit qu’il travail a Rouffach en Alsace, et sa ca était le déclencheur de l’émigration de Santander pour cette région de France.

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