samedi 3 novembre 2018

Une démocratie avec des juges superstitieux et fanatiques !


Quelle sont les mécanismes qui peuvent vous condamnez pour rébellion dans un système démocratique ?
En démocratie on à le droit d’opinion, celui de manifestation et même de contestation et désapprobation du pouvoir.
« Bien pour moi cela est impossible, la démocratie et la remise en question de tous les ordres et codes établie, une discussion et une négociation permanente pour faire évoluer l’unité. »
 La démocratie est un régime politique ou le peuple à le pouvoir !
 Ce pouvoir est déléguer par le système des urnes a des hommes et femmes issue de ce même peuple ou société pluriel plus largement, a dire d’un vote populaire et libre. C’est un pouvoir de représentation de service qui n’a rien de sacré ni de permanent.
Même si une loi dit le contraire le vote ou l’organisation d’un referendum ne peut en aucun cas être criminalisé. On peut le contesté le critiqué et l’annulé si il ne remplit pas tous les conditions démocratique.  On ne peut à la démocratie lui interdire ses formes est moyens d’expressions qui le sont tous, sauf les armes de la violence et la haine !  
Si en Espagne il y a un coup d’état c’est celui du pouvoir économique du pouvoir monarchique et celui de l’église avec la complicité de l’armée et de nombreux politiques plutôt à droite, se sont eux qui menace est séquestre la volonté d’émancipation des peuples des Espagnes.
Il existe et l’Espagne à de nombreuses formes d’asservissement la religion est un des principales, mais il y en a bien d’autres. Pays de superstitions de traditions plus ou moins barbares, de rituels et jeux cruels, et voilà que maintenant des juges et des politiques veules en crées d’autres. Ils prétendent que la constitution est un monolithe et que la loi s’est les tables de la loi. Bien non je répète nous sommes en démocratie et la loi et la constitution doive évoluer pour s’ajuster au peuple et non l’inverse. En plus par leurs comportement ils s’élève au-dessus des hommes et femmes pour se placé dans le statut de dieu de divinité, il ne représente pas la loi des êtres mais ils sont la loi.
Il y a une Espagne fanatique ; le mot fanatique n’est pas exagéré, ils sont persuadé d’être inspiré par une idée supérieure à la volonté des hommes et femmes.
Les espagnols ont-ils peur ? bien majoritairement non ! Peut-être qu’il y a de l’inconscience dans ce comportement une mauvaise vision de demain. D’autres cherche une division une rupture brutal, et d’autres sont persuader que dans la confrontation l’intimidation ils peuvent réussie l’union.  Bien moi je crois qu’il faut redonnée la parole au peuple par le seul moyen à notre disposition en démocratie les urnes.
Le but du pouvoir illégitime en Espagne cherche que le sang coule pour pouvoir justifier la confiscation des libertés !
Pour cacher leurs corruptions ils sont près a créé une confrontation, mesurant très mal les conséquences de la rupture entre les espagnoles !
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Histoire du franquisme !
La femme était considéré comme mineur sous l’autorité du père ou d’un frère, pour pouvoir s’affranchir de la tutelle de sa maison elle n’avait aucun réelle solution. Il y avait bien le mariage mais ça ne changer rien elle quitté une servitude pour être attrapée par une autre qui était peut-être encore plus cruel. Je sais bien que parfois il y a des esclavages choisi volontaire et que notre société redevins une société asservie par peur et par son modèle de développement.
Moi je suis née dans une Espagne franquiste et si il est vrais que le franquisme n’a eu le temps de me violenté j’ai pu l’observer. L’Espagne de cette période ne ressemble en rien à l’Espagne d’aujourd’hui. Les femmes était habiller en noir, et beaucoup d’espagnol avais des physionomies difformes. Ils boité ils étaient borgne ou le dos courbé, petit de taille du nanisme dans la société, sans aucun doute des carences des manques alimentaire et de soins etc. le gris était aussi une couleur de l’Espagne. Le gris était présent partout, la fausse paix par les armes. Tous les bâtiments publics il y avait des gris avec un fusil-mitrailleur à la porte. Et si il y avait une explosion ou des tirs cette pas la peine de chercher dans la presse le lendemain silence. Beaucoup de sujet n’était jamais aborder et surtout pas en publique. Il y avait aussi des emplois réservé aux pauvres du régime concierge balayeur de rue policier etc. tout le monde se méfier de tout le monde la peur par la délation.
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 Aujourd’hui l’Espagne est une démocratie de mauvaise qualité sert mais démocratie.
Il reste à construire ce pays que de nombreux artistes poètes et simple gens ont rêvé imaginé se jardins des délices. Mais sans la liberté c’est mission impossible !



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